Le Winterclash 2019 fait le plein
Le renouveau du Winterclash ? Le contest hivernal de roller street n’a pas encore débuté que l’organisation se félicite déjà de la mobilisation du monde de l’aggressive skating pour venir assister à la compétition de référence. Pour la 15ème édition du Winterclash, ce ne sont pas moins de 50 nationalités qui sont attendues, riders et … Continued
Par Vernon SULLIVAN

Le renouveau du Winterclash ?
Le contest hivernal de roller street n’a pas encore débuté que l’organisation se félicite déjà de la mobilisation du monde de l’aggressive skating pour venir assister à la compétition de référence. Pour la 15ème édition du Winterclash, ce ne sont pas moins de 50 nationalités qui sont attendues, riders et spectateurs confondus : Australie, Autriche, Belgique, Brésil, Bulgarie, Canada, République tchèque, Colombie, Danemark, Finlande, France, Allemagne, Gibraltar, Grèce, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Japon, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Macédoine, Malte, Pays-Bas , Norvège, Pologne, Portugal, Roumanie, Russie, Slovaquie, Slovénie, Afrique du Sud, Espagne, Suède, Suisse, Turquie, Royaume-Uni, Ukraine, États-Unis, Thaïlande, Inde, Croatie, Estonie, Cameroun, Venezuela, Argentine, Serbie et Chili. Rares sont les événements qui peuvent se targuer d’une telle audience dans l’univers du roller.
Un passé cahotique
On peut dire que le Winterclash revient de loin. Certains d’entre vous s’en souviendront peut-être. Le contest a connu de nombreuses difficultés au fil des années. Son organisateur Jojo Jacobi s’est retrouvé dans une situation financière compliquée après plusieurs éditions. En 2016, Jojo Jacobi racontait les déboires du Winterclash : le skatepark Belge qui partait en flamme, la solution de repli en urgence aux Pays-Bas, le gouffre financier de la tentative à Berlin en 2010, plus de 100.000 € de dettes personnelles accumulées, des créanciers qui le trainent au tribunal.
Depuis lors, le Winterclash a établi ses quartiers au skatepark Area51 d’Eindhoven (Pays-Bas). Il semble avoir trouvé son rythme de croisière et c’est tant mieux. Pourvu que ça dure…