Retour sur le Sauterelles Contest 2007

La 6ème édition du Sauterelles Contest s'est déroulée récemment à Saint-Jean-de-Liversay, ville perdue dans la campagne à une trentaine de kilomètres de la Rochelle. Ce rendez-vous automnal est devenu incontournable après une saison chargée. Ses épreuves nouvelles et originales motivent chaque année les riders acrobatique. Retour sur l'évènement...

Par alfathor

Retour sur le Sauterelles Contest 2007

Roller acrobatique : Retour sur le Sauterelles Contest 2007 RETOUR SUR LE SAUTERELLES CONTEST 2007 La 6ème édition du Sauterelles Contest s’est déroulée récemment à Saint-Jean-de-Liversay, ville perdue dans la campagne à une trentaine de kilomètres de la Rochelle. Ce rendez-vous automnal est devenu incontournable après une saison chargée. Ses épreuves nouvelles et originales motivent chaque année les riders acrobatique. Retour sur l’évènement…

Sauterelle contest : l’événement automnal de référence

Bienvenue à Saint-Jean-de-Liversay, ses champs, ses vaches, son temps pluvieux et son « Sauterelles Contest ». Après avoir participé aux compétitions tout l’été, les riders se trouvèrent fort dépourvus lorsque la bise fut venue.
Pour réchauffer les esprits et les cœurs, Pierre Célat et son équipe de choc organisent pour la 6e année consécutive le dernier rendez-vous acro de l’année.

Des épreuves sans cesse renouvelées

Le fait que le « Sauterelles Contest » soit organisé hors d’un cadre fédéral favorise la naissance d’épreuves nouvelles et originales.
L’ambiance conviviale des lieux a accompagné un grand spectacle, notamment grâce à une mixité des niveaux. La recette plaît, et on ne saurait dire si la renommée de la compétition tient à sa pérennité ou à toutes ces qualités.
L’édition 2007 a été annoncée jusqu’à Moscou, et les Italiens voulaient organiser un déplacement ! Hé bien, ils auraient du venir ! Cette année (pour combler l’absence des incontournables généralement présents, le club marannais a mis le paquet sur le show…

Samedi matin : saut en longueur et obstacles

Tout a commencé samedi matin de bonne heure. Mini-pouces obligent, le programme de la journée débute à 9h00 avec les inscriptions et les premières épreuves. Les catégories C1 et C2 auront au menu du saut en longueur, les C3 et les C4 du saut d’obstacles (épreuve qui avait fait fureur l’an passé).
Pour les premières, le principe est simple : deux plaques métalliques sont posées au sol, et éloignées l’une de l’autre au fur et à mesure.
Avec la distance qui s’accroît, on peut remarquer les différentes techniques employées : les moins bons pédalent dans le vide en espérant reproduire le mécanisme de vol des oiseaux, certains lancent bras et jambes en avant comme en athlétisme (mais attention la réception sur les roues arrières, il n’y a pas de bac à sable où planter les roues). D’autres encore adaptent le sac à dos, certainement plus spectaculaire mais pas très aérodynamique.
Touchés, mordus, mauvaises réceptions, chutes, rien ne fait peur aux jeunes qui se prennent vite à ce nouveau jeu : 9 minuscules et 22 autres moins minuscules participent.

Résultats saut en longueur des différentes catégories

Félicitations à Jordan Forect du SAM, Maxence Cluzaz de l’USM et Etienne Maréchal, le trio de tête des C1 : ils sautent respectivement 280, 250 et 230 cm : c’est dire s’ils maîtrisent déjà leur patins !
Le podium de la catégorie supérieure surenchérit d’un mètre sur celui des plus jeunes : le vainqueur est Stanislas Billard (USM) avec 405 cm devant Thomas Renaud (Sauterelles) et Kenny Czesniewski (ATP 79). Ces deux derniers sont ex-aequos avec 380 cm et sont départagés au nombre d’échecs.
Saluons la 6e place de Maéliss Conan (USM). Elle laisse ses concurrentes loin dernière : la détentrice du record de France féminin de hauteur pure n’a pas dit son dernier mot !

Saut d’obstacles en tous genres pour les anciens

Pour les plus âgés, l’épreuve de saut d’obstacle sera plus complexe. Si les premiers passages ne demandent pas un niveau exceptionnel, le chrono se charge d’éliminer les moins rapides à chaque niveau.
L’aspect psychologique joue beaucoup : un tas de pneus ou une voiture posent des difficultés aux freeriders en herbe par leur volume et leur caractère d’exception.
Enfin, pour corser le tout, ajoutez un zest « d’endurance » (enchaînement de plusieurs sauts), de précision (impulsion ou atterrissage sur une planche étroite), de gestion de l’espace (transfert table-voiture), de force, de technique : bref, plus besoin de chrono, les riders tombent comme des mouches, et les favoris doivent ruser pour rester en lice.
Ainsi il faut croire chez les C3 que la nouvelle coupe fashion de Thomas Rataud est plus faite pour faire impressionner les filles que ses adversaires, et que le mignon dragon à roulettes de l’USM a plus de chance de faire fondre toute opposition : Flavien du Peloux et Arnaud Bequet remportent les 1ère et 3e place, et encadrent Thomas (Sauterelles) malheureux deuxième à cause de 4 secondes de retard.
Pour les C4, même combat : Thibaut Léger (Dogs Riders) s’était bien entraîné à sauter toutes les poubelles de son île (de Ré) mais c’était sans compter Marc Frémond.
Après un coude à coude serré lors des 2 derniers passages, il finit par s’incliner au temps, avec ici seulement 3 secondes de décalage ! Yohan Neyraval, Sauterelle lui aussi, complète le podium du parcours du combattant. Ceux-ci sont rendu dès la fin de l’épreuve, afin d’éviter une trop longue cérémonie à la fin du week-end.
Ces longues heures seront ponctuées des sempiternelles problèmes de musique. A quand une sono définitivement informatisée ?

Slalom figure

L’épreuve de slalom figure prendra toute l’après-midi. Premiers pas en compétition ou aguerris, des plus petits aux séniors, tous sont venus pour s’amuser « sans se prendre la tête ».
A coté des figures basiques, tous tentent de placer leurs nouvelles figures : compas et toupies sont toujours à la mode, mais attention à la casse ! Chutes, plots tombés ou évités, déséquilibres grossiers : la plupart des participants ont les yeux plus gros que le ventre. Technique quand tu nous tient… les trop nombreux rattrapages ne donnent finalement qu’une piètre note, les résultats sont généralement médiocres, et les déceptions nombreuses.

Robin Tessier, vainqueur toutes catégories

Dans la catégorie des plus jeunes, on retrouve tout de même avec plaisir Robin Tessier, licencié depuis peu au MUC Roller. Il remporte la compétition haut la main, avec le meilleur score toutes catégories confondues.
Le reste du podium est composé par Stanislas Billard de l’USM et Alexandre Claris du SAM.
Clémence Guicheteau, la blondinette de Roller Bug au caractère bien trempée et qui n’a pas la langue dans sa poche (ça promet) devance comme toujours ses concurrentes : rien de moins que 10 points de plus qu’Alizée Bert (2ème – Roller-Bug) et Laurie Colombet (3ème – Sauterelles).
Pour la catégorie 3, le nombre de participants est moindre, mais le niveau commence à être plus intéressant.
Chez les hommes, Clément Luxey (Rollerbug) prend la première place sans problème, devant son compagnon d’entraînement Thomas Cébé et Arnaud Bequet avec un run époustouflant (moi j’ai cru qu’il allait mourir de fatigue avant la fin, mais même pas, il était frais comme un gardon).
Chez les filles, petit moment d’incertitude entre Eva Cochhez-Cahuzac (Acrollier) et Chloé Ingremeau (Sauterelles) : avec son bloc tectonique très remarqué, c’est cette dernière qui gagne. Claire Lopez, du même club, complète le podium.

Slalom figures : catégorie seniors

Ce fut un classement mixte pour la catégorie sénior, qui ne comptait que 3 filles. Pour renforcer le spectacle, seul les 7 meilleurs étaient retenus pour un deuxième passage.
Les garçons ont rivalisé d’ingéniosité pour séduire les juges, mais c’est peine perdue d’avance, Fanny Violeau (même si elle a toujours du mal avec ses wheeling) prend la tête du classement immédiatement.
Les deux parisiens Julien Boucry et Damien Manssard (du PUC) créent une petite surprise, avec des runs ambitieux qui leur feront perdre tout de même beaucoup de points de pénalité : ils se classent respectivement 2ème et 3ème.
D’un point de vue sportif, on peut regretter que le point de vue « fun » adopté pour l’ambiance le soit également… par les compétiteurs : ça rigole, papotte, regarde affalé ou boude dans son coin au lieu de s’échauffer et de se concentrer : le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y avait pas foule sur l’aire d’entraînement.
Ne faut-il pas y voir la cause de blessures, de runs ratés, de tricks mal passés ? Les nouveaux compétiteurs n’en ont pas conscience, les anciens la refuse, et l’épineux dilemme « la compétition pour le plaisir » revient : est-ce si difficile à concilier ?
Enfin, le programme annonçait une suite alléchante…

Hé ! A ton avis, c’est quoi le big show ?

Alors le big show selon les Sauterelles, c’est chaud ! la tension monte parmi spectateurs et riders en attendant d’y voir un peu plus clair. 0n éteint toutes les lumières, on monte la table dans la pénombre.
Quelques réglages plus tard, on allume les projecteurs. C’est tout de suite plus classe.
Les riders commencent à s’échauffer, jusqu’à ce que Pierre décide de faire monter la voiture (oui, rappelez-vous, celle de ce matin)… sur la table bien sur !
Un groupe de gros bras s’y collent et réussissent à percher le bolide. Oula, c’est impressionnant. Tout de suite, ça se dégonfle, hein !
Quelques minutes de bricolage plus tard, on peut rajouter une barre. C’est là qu’on se dit qu’il vaut vraiment mieux être sûr de son coup. Les papas chefs cuisiniers viennent pimenter les choses en rajoutant de quoi faire pendant les derniers sauts
Les quatre tête brûlées de la catégorie C3 s’assurent ainsi du soutien de toutes les minettes de la salle, mais c’est Martin Violeau qui réussi à mettre tout le monde d’accord.
Arnaud Bequet (USM) s’empare de la 2e place sous l’œil inquiet de son entraîneur, alors que Clément Luxey (Roller Bug) se métamorphose et ne doit sa 3e place qu’à une barre chutée supplémentaire. Quelle ambiance ! Avec la musique, un speaker toujours en forme et Martin (qui commençait lui à être un peu fatigué) on a pas été déçu du voyage.

Après l’effort…

Pour se remettre de ces émotions, rien de tel qu’un plateau repas concocter avec amour. Le prix fait toujours autant grincer des dents (10 euros pour une petite entrée, pattes-escalope, fromage salade de fruit), mais on se dit que c’est pour la bonne cause (le prochain Sauterelle Contest) et qu’on se marre vachement plus ici avec ses copains en regardant les vidéos projetées en 2 mètres sur 3 qu’à se peler dehors devant une pizzeria et/ou pour seule conversation les ronflements de votre copain de chambrée qui dort déjà à 22h00.

Le lendemain, slalom vitesse

La compétition commence bien tôt pour les petits compétiteurs : l’épreuve de slalom vitesse occupera toute la matinée. Malgré l’ingénieuse technique unique au Sauterelles Contest, l’épreuve prendra du retard : elle consiste à faire passer les concurrents 4 pour 4 (au lieu de 2 par 2 pour les systèmes fédéraux), chacun des compétiteur passant sur chacune des lignes pour les times trials. On ne retient que les 4 premiers pour les runs de finale.

Catégorie 1

Dans la catégorie 1, filles et garçons sont coudes à coudes. Des huit petits participants, seule la moitié est retenue : le jeune Jonah Allé Manné s’impose en y réalisant à chaque fois les meilleures temps, avec près d’une seconde d’avance sur Jordan Forect (SAM) et Alexis Perrocheau, respectivement 2ème et 3ème.

Catégorie 2

Les C2 féminines sont plus nombreuses et les places d’autant plus chères.
Clémence Cuicheteau, de Rollerbug, y brille une nouvelle fois, en remportant 3 des meilleurs temps sur les 7 passages de finale (6″275 pour le plus rapide).
Aliée Bert, elle aussi de Rollerbug, 30 cm plus grande et 0,4 secondes en plus, prend la seconde place.
Maéliss Conan, de l’USM, monte sur la 3e marche.
Chez les garçons, on trouve les premiers temps sous la barre des 6 secondes pour le trio de tête. C’est la tête d’affiche blondinette du SAM, Alexandre Claris qui remporte la finale, avec 3 des meilleurs runs.
Robin Tessier (MUC Roller), moins régulier, se blesse à l’adducteur mais réussi à monter sur la marche du podium.
Stanislas Billard (USM), avec un seul temps à 5″965, occupe la 3e place.

Catégories C3 et C4

Les filles C3 et C4 concourent ensembles. Comme précédemment, les qualifications annoncent clairement les podiums. Claire Lopez s’assure de sa place en finale avec des runs propres et réguliers. Même les quelques ratés en finale ne suffisent pas à la détrôner de sa 1ère place acquise avec un temps de 6″259.
Chloé Ingremeau, avec une coupe de cheveux légère et aérodynamique, devance sans peine Eva Cockey-Chahuzac et son temps de 7″010.
Avec ses 15 participants, les C4 hommes, voient s’affronter les niveaux les plus divers. Seuls les cinq meilleurs réussissent à faire chuter le chrono sous les 6 secondes, mais les nombreuses pénalités viennent souvent chambouler le classement.
C’est finalement Mathieu Rataud, avec un remarquable 5″175 qui prend la première place, secondé par son compagnon d’entraînement Martin Violeau (5,675). Venu de Toulon, Meher Garrab (RPM) prend la 3e place.

Saut figure

L’épreuve enfin terminée, on s’organise pour déjeuner et s’installer le plus confortablement afin de regarder l’épreuve suivante : le saut figure.
Les juges sont les mieux lotis, installés dans de profonds fauteuils et canapés en cuir.
Les concurrents descentent d’un haut quarter pour l’élan. On utilise un tremplin fédéral pour les petits et la table pour les grands afin d’augmenter l’amplitude. Pour la réception : l’effet est spectaculaire, surtout lorsqu’à la surprise générale et pour le bonheur des compétiteurs toutes les rotations sont permises.

Catégorie 1 : Les minots ouvrent le bal

Avant d’en arriver là, place aux champignons à roulettes. Equipés de toutes les protections possibles et coiffés d’un bon casque, c’est d’abord du haut du module que l’épreuve commence.
Pour les petits bouts de chou, cette épreuve est un exploit en soi… et les premières chutes renforcent cette conviction.
En effet, les premiers à s’élancer n’arrivent pas jusqu’au tremplin qu’il faut compter les chutes.
Finalement, tout le monde descend, et on prend son élan en poussant sur les gambettes comme d’habitude. Les figures sont simples, les réceptions plus ou moins équilibrées, mais les agents de la Sécurité Civile sont là en cas de problème.
Jordan Forect, du SAM, remporte la première place grâce à un style propre, les Sauterelles Jonah Allé Monné et Etienne Maréchal complètent le podium en prennant respectivement la 2e et 3e place.

Catégorie 2

Pour la catégorie 2, ça frise l’écatombe : beaucoup de sauts sont ratés, et les chutes sont nombreuses.
Seul Stanislas Billard, de l’USM, réussit à valider ses 3 sauts et remporte ainsi facilement la victoire.
Gabriel Duluc, des Sauterelles, rate quant à lui le dernier saut, mais sa meilleure finition lui assure la seconde place devant Ioann, qui rate quant à lui son 1er essai.
Petit clin d’œil à Rodrigue Bernioles, d’Acroller, qui nous offre les premières rotations impressionnantes, mais qui termine en milieu de tableau à cause de 2 sauts non validés en technique.

Catégorie 3

C’est la catégorie 3 qui commence réellement à faire chauffer la salle. Clément Luxey mène la danse, alors qu’il nous avait déjà prouver son talent de sauteur la veille. Back flip et front flip, des rotations en veux-tu-en-voilà, des doubles et des triples combinaisons, on en reste tout étonné : y a-t-il une épreuve dans laquelle il ne tiendrait pas le haut du pavé ?
À coté de lui, Jules Fontaines (Sauterelles) et Arnaud Bequet (SAM) pourtant pas si mauvais, occupent respectivement les 2ème et 3ème places.

Catégorie 4

Chez les plus grands, c’est Christian Ourn qui survole la compétition. Le jeune outsider vient d’Acroller. Il parle une langue bizarre, aux teintes américaines. Speakers, juges et public, non initiés, ont bien du mal à le comprendre.
Tout droit venu du street, il maîtrise la table (et la douleur des chutes, il faut bien le dire aussi).
Toutes les rotations et leurs combinaisons y passent, et lui permettent de rafler la 1ère place du podium.
Yohann Nerval, plus propre et posé, prend la seconde place, talonné par Martin Violeau, qui décidément n’aurait pas pu mieux coller au nom de son club.

Battle

Pour clore le week-end, on met en place la dernière épreuve avec une scénographie qui intrigue beaucoup : des cordes sont étalées à terre… puis installées… un ring de boxe bien sur !
Pour le battle, quoi de plus normal ? Rentré depuis l’an passé dans le planning, c’est l’occasion de réunir toutes les catégories, même si filles et garçons restent séparés.
L’espace est agrémenté par 2 lignes de plots, du 50 et du 80, ainsi que d’un carré au milieu, flanqué par un couple de plots de chaque coté.
Chaque passage dure entre 30 et 40 secondes et laisse libre choix aux patineurs. Malgré caractère « libre » prôné par les amateurs, force est de constater que l’on retrouve vite les mêmes enchaînements entre chaque passage. Un spectateur appliqué les aura vite replacés dans les runs de la veille.
L’ambiance monte et les applaudissements nourris du public comblent d’aise les patineurs.

Catégorie féminine

Chez les filles, Chloé Ingremeau et Eva Cockey-Chahuzac se disputent les faveurs du public, mais il faut avouer que le déjà célèbre bloc de Chloé fait fureur comparé à l’air appliqué d’Eva.
Elle avouera d’ailleurs déçue qu’elle ne savait pas que la note de show-biz était prise en compte dès le départ.

Catégorie masculine

Chez les garçons, le combat est plus serré. Fred Feyt va se faire éliminé pour avoir tenté de corrompre le jury en lui faisant un strip-tease.
Les jeunes dragons orangés réuniront toutes leurs forces et leurs technique (dont une très remarquée kasakchok to christie sans se relever).
Les 2 pucistes, Julien Boucry et Damien Manssard, se démènent entre wheeling et chicken leg : ils obtiendront respectivement la 2e et 3e place.
Enfin, la ceinture de la gloire et les baisers pulpeux des deux demoiselles à la plastique aguicheuse (en réalité deux travestis qui annonçaient les rounds) reviennent à Yan, le fameux quadeur d’Acroller, grâce à son style et sa polyvalence que peu ont atteinte.

Podiums

Les podiums terminent le week-end dans la bonne humeur. Rares sont les compétiteurs ayant désertés le hangar avant la fin. Seuls Martin et Fanny Violeau font remarquer avec humour leurs absences, grâce à leurs parents qui se plient de bonnes grâces à la réception des lots et aux habituelles poses photos.
Les quelques petits cafouillages dans la remise des récompenses ou dans les noms annoncés permettent à Pierre d’achever son week-end de speaker en beauté : blagues, remerciement aux bénévoles et un « la prochaine fois, c’est pas la peine de venir » à Luc Bourdin et moi-même, qui n’avons pas eu l’obligeance de participer. Ne vous inquiétez pas, ce n’est que partie remise ! Vivement le Sauterelles Contest 2008 !

Liens utiles

www.sauterelles.net
Reportage sur le site des Sauterelles (avec de belles photos)
www.clochette.biz
Galerie photo du Sauterelles Contest sur le site de Clochette Texte : Clochette
Photos : Clochette et Sauterelles

2007 contest sur retour Sauterelles
Auteur
Alexandre Chartier 'alfathor'

Bonjour à tous, je suis Alexandre Chartier, fondateur et webmaster de rollerenligne.com. Le site a vu le jour officiellement le 11 décembre 2003 mais l'idée germait déjà depuis 2001 avec infosroller.free.fr. Le modeste projet d'étude est devenu un site associatif qui mobilise une belle équipe de bénévoles. Passionné de roller en général, tant en patin traditionnel qu'en roller en ligne, j'étudie le patinage à roulettes sous toutes ses formes et tous ses aspects : histoire, économie, sociologie, évolution technologique... Aspirine et/ou café recommandés si vous abordez l'un de ces sujets !

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