Podcast : Luc Bourdin – sa carrière à la FFRS (2/3)

Second volet de la série de trois podcasts consacrée à Luc Bourdin. Nous explorons aujourd'hui sa carrière au sein de la Fédération Française de Roller et Skateboard. et la diversité de ses fonctions. Breveté d'état, Luc a participé au développement de la CNRA, à la formation des moniteurs, à la conception de skateparks, etc. Une plongée passionnante dans la riche carrière d'un acteur aux multiples talents et casquettes.

Par alfathor

Podcast : Luc Bourdin – sa carrière à la FFRS (2/3)
Portrait de Luc Bourdin en noir et blanc

Second épidode avec Luc Bourdin au sein de la FFRS. Nous abordons toute sa carrière au sein de la Fédération Française de Roller et Skateboard, pendant près de vingt ans.

Entretien avec Luc Bourdin (seconde partie) consacrée à sa carrière à la Fédération Française de Roller et Skateboard – télécharger le mp3

Bonjour Luc Bourdin, comment te fais-tu embaucher à la FFRS ?

C’est dans le cadre d’une réforme sur les brevets d’état en 1998. Il y a une possibilité de réformer les textes et d’intégrer de nouvelles disciplines. Avec la CNRA, nous avons l’opportunité de créer un diplôme d’éducateur sportif pour le roller acrobatique. C’est une super opportunité pour moi.

A l’époque, c’est Christian Debackère le président de la CNRA. J’avais alors travaillé avec Annie Valençot et Christine Carré. Annie était alors élue à la Commission Enseignement. Elle était en charge de mettre en oeuvre cette réforme. Christine venait du handball, elle m’avait pris sous son aile. Ces personnes m’ont accueilli pour un premier stage au titre de la commission nationale de roller acrobatique.

Je venais tout juste d’avoir mes titres de champion de france de saut en 1996 et de street en 1998. J’avais donc une aura de pratiquant. J’avais également tout le passif de l’UCPA sur la partie pédagogique, mais aussi celle de mon club où j’ai donné des cours pendant plusieurs années. Mon passé a fait que la fédération est venue me chercher, je m’étais créé des opportunités.

Luc Bourdin en wall-ride en 2006
Luc Bourdin en wall-ride en 2006

Donc tu as déménagé à Bordeaux à ce moment-là ?

Oui, même si je suis venu un peu avant pour des réunions. J’avais peu de moyen pour me déplacer. On me donnait alors l’opportunité de vivre de mon sport. C’est l’une de mes plus grandes fiertés d’avoir participé à cela. Aujourd’hui, cela permet à des passionnés de partager leur passion et d’en vivre. Je n’ai pas créé le truc, mais j’y ai contribué. J’ai amené ma pierre à l’édifice.

Luc Bourdin, combien de temps a-t-il fallu pour créer cette formation à la FFRS ?

Il a fallu un an. Je me souviens que ma première session de formation, avec Gilles Albuge, futur team manager de Salomon. Nous avions fait la première formation juste pour lui. Ensuite, il y a eu plein de candidats. Cela m’a enrichi énormément. j’étais là pour transmettre mais cela crée de l’émulation et tu apprends aussi de ceux que tu cotoies. J’étais vraiment à un poste super privilégié. Ce brevet d’état m’a aidé à me construire. Ensuite, Pierre Célat a eu le même poste. Tu retrouvais tous les patineurs les plus investis de l’Hexagone dans cette formation.

Luc Bourdin à Roller Parc Avenue
Luc Bourdin à Roller Parc Avenue

Quelles étaient les disciplines ?

Je n’ai jamais réussi à les séparer, mais il y avait autant de saut que de slalom, de street, de rampe et de bowl dans le même temps de formation. Quand cela s’est spécialisé, cela n’avait plus de sens. Les équipements ne sont pas les mêmes entre un skatepark et une aire de slalom. Nous avions pourtant le même temps de formation que la course ou l’artistique, alors qu’il fallait que nous brossions quatre disciplines dans le même délai. Nous devons permettre à des spécialistes de travailler dans leur sport.

Luc Bourdin, peux-tu nous donner des exemples d’autres personnes que tu as formées à la FFRS ?

Disons que j’ai contribué à leur parcours en mettant en place ce diplôme. Ils sauront évaluer mieux eux-mêmes ce que j’ai pu leur apporter. Le premier auquel je pense est bien évidemment Pierre Célat. C’est lui que j’ai eu le plus en formation, quand il avait 16 ans et qu’il ne pouvait pas passer le diplôme parce qu’il était trop jeune, puis une autre fois quand il avait oublié de s’inscrire. Et il est revenu une troisième fois en formation !

Peux-tu nous dire quelques mots sur Pierre Célat ?

Oh, j’imagine que vous allez l’interviewer bientôt ! Pierre était athlète auparavant, plutôt en slalom à la Rochelle. Très bon pratiquant qui a passé son brevet d’état. Il a ensuite bossé pour sa ligue. C’était un éducateur sportif brillant. Puis il a monté sa franchise ROOL. Il fait bosser plusieurs moniteurs en France. Il était encore sélectionneur de l’équipe de France assez récemment.

Luc Bourdin au Roller Tour Paris 2002
Luc Bourdin au Roller Tour Paris 2002

Et il y en a d’autres qui te viennent à l’esprit ?

Oui, Igor Cheremetieff qui est le second que j’ai eu le plus en formation. Je l’ai eu pendant six mois en stage à la fédération. Il est aujourd’hui chez Seba FR Skates. Il a son propre pro-modèle de roller de slalom.

Je me souviens que pendant son stage, nous avons fait un listing des figures de slalom. Il me parlait de figures et je lui disais : « tu vas voir, la discipline va évoluer de telle manière ». Par exemple : « des patineurs feront des Christies sur une roue, et puis ils les feront même en rotation ! « . Il me disait :  » Non, mais c’est impossible ! « . Et puis finalement, il a été l’un des premiers à le faire par la suite. Il m’a autant apporté que j’espère lui avoir apporté.

Il m’avait identifié dans son rapport de stage comme « sauveur ». j’ai vite compris que c’était un défaut et pas une qualité ! (rires). Mais il avait visé juste à l’époque. Cela m’a aidé à me comprendre.
Après, il y a eu Skali, Anthony Avella, Monic Hémar, Précilia Verdier, etc. Je vais en oublier plein ! Chacun est arrivé avec son bagage. Trop de gens continuent de marquer le roller encore aujourd’hui. J’ai eu cette opportunité de former pendant 10 ans tout ceux qui ont passé le BE de roller acrobatique. Nous vivions des moments de partage assez forts pendant environ trois semaines.

Je pense également à Stouf’ (Stéphane Luchie) qui est aujourd’hui sélectionneur de l’équipe de France de roller street. Il a bossé avec son BE au plus beau skatepark indoor de France, le Hangar de Nantes. Pour lui, le BE se concrétise puisqu’il en vit. Maintenant, il bosse chez ROOL avec Pierre. Ce sont de belles histoires.

Dans un podcast précédent, nous évoquions aussi Manu Locus…

Oui, c’est l’un des premiers que j’ai eu en formation. Je me souviens de lui au Trocadéro. Manu Locus faisait le misty en compétition. C’est drôle de le voir toujours impliqué.

Portrait de Luc Bourdin (2022)
Portrait de Luc Bourdin (2022)

Le souvenir que j’ai de toi à la FFRS, Luc Bourdin, c’est quelqu’un capable de créer ses postes et ses opportunités. Que ce soit sur la pédagogie ou les équipements. Tu as toujours cherché à te renouveler…

En fait, les deux sont arrivés à peu près en même temps. L’opportunité d’arriver à la fédération s’est faite par le Brevet d’Etat. On m’embauche dans le cadre d’un emploi solidarité aidé pendant 5 ans par l’Etat. Pour pérenniser mon poste, j’ai créé une prestation de service pour dessiner des skateparks pour les collectivités.

L’autre but était aussi de développer la Commission Nationale de Roller Acrobatique. Je participe donc aux formations, aux compétitions aux équipements, à la création de la norme AFNOR, dans les sélections. J’avais un champ de mission très large.

J’étais pratiquant de très bon niveau. Il a fallu laisser de côté un peu la pratique pour mettre la casquette de sélectionneur pendant une période.

Au fil du temps, la ventilation des tâches a évolué, notamment avec le départ de Christian. Par la suite, on ne me proposait plus tout à fait les mêmes missions. J’ai continué sur la formation, mais il y a eu un moment où une cellule développement s’est créée et à laquelle j’ai participé. J’ai poussé dans ce sens de l’offre loisir, pour qu’on ne prenne pas tout par le prisme de la compétition. En effet, rares sont les BE à vivre de la compétition. La plupart du temps, ils vivent sur l’école de patinage. Il est difficile d’entraîner des compétiteurs de haut niveau à plein temps. Le gros des pratiquants, c’est du loisir. C’est le cas d’outils comme les Roller Mix, les roues.

Luc Bourdin en roller de descente
Luc Bourdin en roller de descente

Quelle est ta vision de la pratique informelle et la capacité d’une fédération à aller chercher ces patineurs loisir ?

Ma pierre à l’édifice là dessus est l’offre : que propose-t-on aux clubs pour proposer une pratique loisir ? Comment aider les moniteurs et quels outils leurs procurer ? Quels sont les équipements qui peuvent servir de support à la pratique ? J’ai notamment parlé des pumptracks qui sont totalement sous-exploités. Je vois avec ma nouvelle profession qu’il sort presque une piste de pumptrack toutes les semaines. J’avais alerté la fédération à ce propos. Tout est à faire ! Nous avons des équipements pour évoluer et peu de clubs y vont

Tu as vu le roller à 360°, dans la pratique, dans la structuration… Peu de gens ont pu voir le roller sous autant d’angles…

Oui, j’ai eu la chance d’être embauché dans une structure avec les choix du Directeur Technique National Hervé Lallement, à qui je dois à la fois mon embauche et mon départ. Pour ce dernier, il a vu avant les autres que j’avais besoin d’autre chose pour m’épanouir, j’avais besoin de reconnaissance et je ne l’avais plus de l’intérieur. Il m’a poussé dehors sans me le dire, mais je le vois comme la plus belle chance qu’il m’ai offerte de faire ce que j’aime. Et c’est aussi grâce à lui que j’ai eu mon poste au début.

Nous n’avons pas encore parlé de la refonte du système de notation…

Oui, j’ai été dans ceux qui ont créé les premiers réglements. Mais le fait de le figer met des freins à la discipline. La structure fédérale a évolué après le départ de Christian Debackère. Nous avons perdu le poste alloué à la Commission de Roller Freestyle. Je n’ai plus été exploité pour cela. A ma connaissance, cela reste la seule discipline dans ce cas à la fédération. C’est un comble à l’heure où la discipline a acquis le statut de haut niveau alors qu’elle n’a plus de salarié. C’est assez hallucinant.

La chance m’a été redonnée quand Précilia Verdier est arrivée à la tête de la Commission Roller Freestyle. Nous avons échangé sur les compétitions hors du cadre fédéral. Elles étaient nombreuses, elles existaient et elles étaient hors du circuit. Nous, en tant que fédération, n’avions pas la science infuse et ils faisaient sans doute les choses mieux que nous. C’es pourquoi nous avons ouvert les portes à ces compétitions. Ainsi, nous sommes partis des événements que nous avons labellisés en fonction de leur niveau d’attractivité. Cela m’a valu de me froisser avec les potes de l’époque qui profitaient du système d’avant et qui voyaient la réforme d’un mauvais oeil.

Le tournant actuel obtenu par Précilia Verdier avec l’obtention du statut de haut niveau est une énorme étape. D’autant qu’à côté de cela le rink hockey, lui, a perdu ce statut…

Oui, et le rink hockey a des moyens humains que le roller acrobatique n’a pas. Tant mieux pour le rink hockey, mais ce n’est pas normal que le freestyle ne soit pas davantage soutenu par la fédération. L’accompagnement est un peu mou ! Surtout au regard des résultats aux derniers World Skate Games

Luc Bourdin, la discipline reste relativement jeune malgré tout au sein de la FFRS…

Oui, enfin, 1998. D’autres disciplines arrivées plus tard comme la randonnée, le roller derby bénéficient de plus de soutien.

En street, Luc Bourdin, tu es bien placé pour le savoir, nous avons une spécificité en France, c’est le nombre de skateparks. Il y en a plusieurs milliers. J’imagine qu’il existe également plusieurs centaines de pumptracks.

Oui, nous arrivons à 400 ou 500 pistes de pumptrack. Concernant les skateparks, bien qu’il y en ai environ 3000, nous ne pouvons pas tous les considérer comme de véritables skateparks. Il doit y en avoir vraiment 300 ou 400 de bonne qualité. En tant que fédération, les autres ne peuvent pas être classés. De niveau régional à national, ils se compteraient plutôt en dizaines.

Comment pousser la discipline ? Qu’est-ce qui manque pour que cela pousse un peu plus ?

La communication manque pour montrer que la discipline et les skateparks existent. Tu reviens toujours au nerf de la guerre : les moyens donnés pour montrer ce qui existent. Les skateparks dignent d’accueillir des compétitions sont de plus en plus nombreux. Ceux qui se montent sont de mieux en mieux pensés et conçus. Cependant, beaucoup sont pensés pour le skatepark et ne répondent pas aux besoins des rollers ou de la trottinette. La majorité des nouveaux skateparks est pensée par des skateboarders pour des skateboarders. Tant mieux pour eux. Mais le roller reste un peu le parent pauvre.

En parallèle de la fédération, c’est aussi l’arrivée du roller sur Internet. Tu participes à la structuration de circuits également…

Oui, tu fais référence à l’IFSA, l’International Free Skating Association, avec Vincent Vu Van Kha et Maxime Galichet. Tous deux étaient slalomeurs. Moi je suis plutôt slalomeur du dimanche. Ce projet était porté par Vincent pour accompagner et surfer sur la dynamique de structuration du slalom en France. Nos sites Internet nous ont permis de communiquer avec les Russes, les Coréens, les Italiens beaucoup plus proches, avec les Suisses. Vincent disposait du sponsoring Rollerblade et de son réseau.

Logo de l'IFSA
Logo de l’IFSA

Ainsi, se lancer dans une association avec son esprit d’entrepreneur, c’était plutôt facile pour lui. Moi je l’ai aidé au poste de trésorier. Nous avons fait beaucoup de formations de juges. Nous avons aussi jugé beaucoup de compétitions à l’étranger. J’ai fait deux fois Moscou, Singapour, Taïwan, la Chine. Cela a vraiment structuré et permis au slalom d’atteindre une nouvelle dimension. J’ai souvenir que nous avons été accueillis en Chine comme si nous étions des stars ! Et une semaine plus tard, ils avaient appris tout ce qui nous savions faire. De vraies machines de guerres ! Aujourd’hui, ils ont une culture de la performance hallucinante. La période IFSA a duré jusqu’en 2008/2010, jusqu’à ce qu’Universkate prenne le lead.

Je regrette qu’à cette époque Sébastien Laffargue et Vincent se soient affrontés par le biais de leur circuit, plutôt que de collaborer. Sébastien avait la force de sa marque. L’IFSA était une association et n’avait pas les mêmes moyens. Je trouve dommage que nous ayons perdu quatre ou cinq ans. Mais aujourd’hui, le circuit tourne bien, il y a un super circuit, le slalom est arrivé à un super niveau et chacun a fait son chemin.

A part l’IFSA et la FFRS, au niveau associatif, Luc Bourdin, tu faisais également des choses au niveau local…

Oui, quand je suis arrivé à la fédération, il y avait l’association AIR où je me suis senti accueilli quand je suis arrivé à Bordeaux. Cela m’a ouvert un réseau de potes et de patineurs avec lesquels je m’entendais bien.

manon derrien fise experience rennes sur roulettes 2011
Manon Derrien au FISE Experience Rennes sur Roulettes 2011

Puis, sur le tard, vers 2016, je me suis investi avec Bordeaux Rollerblading Association pour aider à mettre en place le West Coast Contest. J’étais en même temps à la fédération et cette compétition rentrait dans le circuit. Nous avions des riders internationaux qui venaient comme CJ Wellsmore. Par exemple, nous construisions des modules spécialement pour l’événement en collaboration avec des fabricants. Nous avons aussi mis en place le label Girls Welcome avec Précilia Verdier pour le développement de la pratique féminine en skatepark. A l’époque Manon Derrien était une figure internationale du sport et faisait de très belles performances. J’étais aussi juge sur la compétition.

Ensuite, cela s’est arrêté à cause de la préfecture, parce que notre dossier est arrivé un jour trop tard. C’était super chaud pour tous ceux qui avaient déjà pris leurs billets. L’année d’après, nous avons été super carrés mais ils parlaient de détruire le skatepark. Nous n’avons donc pas pris le risque de relancer l’événement. Aujourd’hui, le skatepark de Bordeaux est tel qu’il n’est plus possible d’y faire du roller. Il est super bien pour le skateboard à l’échelle de la ville, mais il n’y a plus rien pour les autres disciplines à Bordeaux.

[Walid Nouh] Avec toi Luc Bourdin, alors à la FFRS et avec Alexandre Chartier, nous avons tous les trois un point commun. A cette époque, nous avons tous trois collaboré à un magazine de roller qui s’appelait Rollerskate…

Oui, parmi les magazines de roller de l’époque, il y a Rollerskate dirigé par Nicolas Mouton-Bretonnel. Il succède à Ridemag. Le noyau dur se composait de Sam Nieswizksi pour l’histoire, Serge Rodriguez, Jean-Marc Gravier, Walid Nouh. Je n’étais pas là au début du magazine. J’ai dû contribuer des numéros 11 à 16. Cela démarre par la couverture d’un événement fédéral.

Au début, il vient me chercher pour couvrir un événement, un peu de pédagogie et à la fin j’ai vraiment écrit la moitié du magazine !

Couverture du magazine Rollerskate n°12
Couverture du magazine Rollerskate n°12 avec Vincent Vu Van Kha

Au début du magazine, d’ailleurs, il y avait deux photographes : Keuj et Gilles Danger. Ce dernier venait de la glisse et nous avons bien accroché avec lui. Il faisait vraiment des photos innovantes à l’époque…

J’ai fait une séance de shooting avec chacun d’entre eux, la fibre de Gilles était chouette en effet. J’écrivais pour les sites Internet, j’écrivais pour les contenus de formation, pour le magazine. C’était vraiment intéressant dans mon parcours. Même chose quand j’ai écrit le guide du skatepark.

Cela fait une bonne transition avec le Web où nous nous rendons compte que les magazines ne sont plus la panacée pour parler aux gens…

Dans toute cette période fédérale où tout se mène en parallèle, j’ai passé énormément de temps avec Kami et nous avons partagé beaucoup de choses.

Oui, il est discret, mais il a eu une place centrale à la vidéo et en photographie, avec un regard décalé, très chill, avec sa relation à la musique. Il a apporté énormément de choses et vous pouvez les retrouver dans son podcast.

Pour aller plus loin

Voir la page Balado Roller

Site de l’entreprise Evolving Skatepark

Fédération française de roller et skateboard podcast roller FFRS luc bourdin Fédération Française de Roller-Skating podcast
Auteur
Alexandre Chartier 'alfathor'

Bonjour à tous, je suis Alexandre Chartier, fondateur et webmaster de rollerenligne.com. Le site a vu le jour officiellement le 11 décembre 2003 mais l'idée germait déjà depuis 2001 avec infosroller.free.fr. Le modeste projet d'étude est devenu un site associatif qui mobilise une belle équipe de bénévoles. Passionné de roller en général, tant en patin traditionnel qu'en roller en ligne, j'étudie le patinage à roulettes sous toutes ses formes et tous ses aspects : histoire, économie, sociologie, évolution technologique... Aspirine et/ou café recommandés si vous abordez l'un de ces sujets !

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