Paris Slalom World Cup 2009 : le Battle
Après l'article consacré aux épreuves dites "classiques", voici le récit des compétitions de battle du Paris Slalom World Cup 2009. Le battle est sans contestation l'épreuve qui aura eu le plus de succès auprès des compétiteurs : 69 inscrits chez les hommes, 26 chez les femmes. Bilan...
Par alfathor

Battle Freestyle (dimanche 31)
Battle Women – Qualifications (Huitièmes de Finale)
Les femmes étaient 26 pour une fois! Le battle a commencé avec un premier round de huit groupes. Parmi les concurrentes, une petite dizaine de françaises, une poignée de russes et ukrainiennes, des européennes d’Italie, d’Allemagne, de Belgique, d’Espagne, d’Angleterre, et de Pologne. Un bon brassage de nationalités pour un bon brassage de styles !
Fin du jeu après le premier round pour l’anglaise Ann-Marie Philip, la polonaise Renata Bulgaska, la russe Maria Nikolaenko, la belge Isabelle Swennen, la lilloise Céline Mailfait, la lyonnaise Sophie Lovato, et les parisiennes Emilie Audrezet, Claire Ploton, Audrey Ranemachise et Marianne Rio. Quant aux têtes des huit groupes de qualification, elles promettent de belles confrontations pour les rounds suivants !
Quarts de Finale
Dans le groupe #1 les deux françaises Chloé Seyrès et Eva Cochey-Cahuzac se qualifient pour les demi-finales, et sortent l’espagnole Emma Natividad (bon freestyle mais quelques lacunes en technique) et l’allemande Miriam Kwasny (bonne technique mais quelques lacunes en style).
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Dans le groupe #2 Angelika Babiy (RUS) et Anya Ziertman (GER) prennent les deux premières places sans trop de contestation, devant Sara Masi (ITA) et Nancy De Mesmaker (BEL).
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Le groupe #3 est plus serré quant à la deuxième place… Nadezhda Zelenova (RUS) remporte le groupe haut-la-main, mais la deuxième place se joue au best trick entre Fanny Violeau (FRA) (qui remporte le best trick avec une christie arrière très propre) et Chiara Lualdi (ITA).
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Dans le groupe #4, Polina Semenova (RUS) et Marina Boyko (UKR) ne laissent aucune chance à Barbara Bossi (ITA) et Vicky Denissen (BEL), techniquement en-dessous.
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Demi-Finales
Dans le Groupe 1, Chloé Seyrès (FRA) (1) et Angelika Babiy (RUS) (2) se qualifient pour la finale aux dépends de Marina Boyko (UKR) (3) et Fanny Violeau (FRA) (4).
Malgré quelques démonstrations techniques de Marina Boyko (grande coréenne complète switch to normal) elle est dans l’ensemble moins propre qu’Angelika Babiy (cf. plots chutés), qui elle est plus posée et avec des combos plus travaillés. Fanny Violeau est un cran en-dessous techniquement et son dynamisme n’est pas suffisant pour la repêcher.
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Dans le Groupe 2, Les deux russes ne font pas de cadeau aux deux européennes… Nadezhda Zelenova (RUS) (1) termine première, suivie de Polina Semenova (RUS) (3) : elles éliminent ainsi Anya Ziertmann (GER) (3) et Eva Cochey-Cahuzac (FRA) (4).
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Finale
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La finale, c’est la revanche de Battle Moscow (Championnat d’Europe, Mars 2009): Les quatre même protagonistes – i.e. la française Chloé Seyrès et les trois russes Polina Semenova, Angelika Babiy et Nadezhda Zelenova.
Chloé Seyrès reste abonnée à sa première place de passage, Nadezhda Zelenova se retrouve deuxième par défaut (la plus loin classée au World Ranking), Angelika Babiy choisit la troisième place, et Polina Semenova ne déroge pas de sa quatrième place tactique.
C’est Nadezhda Zelenova qui remporte cette finale de la PSWC 09 grâce à des tricks hautement techniques… des heel special one foot, heel fish-legs, sevens avant et arrière (bien qu’un peu hors des plots – cf. dévers), retournés (le double-retourné avant-arrière-avant ne passe pas mais le simple est indéniablement là)… elle ne laisse aucune chance à ses concurrentes. Chloé Seyrès, qui termine deuxième, rivalise comme elle peut mais ne finalise pas ses éléments en wheeling : un heel seven hors des plots, un retourné 5×5 avec une chute en prime sur la fin du trick, et elle rate le dix plots en heel wheeling arrière. Polina Semenova (troisième) et Angelika Babiy (quatrième) sont plus axées sur les toupies à toutes les sauces (avant-arrière-croisée-décroisée-simple-double-heel-toe, et probablement tout simultanément si on leur demande) que sur les wheelings, qu’elles sont en train d’intégrer à leur répertoire ; les deux rideuses gratifient le public d’une démonstration de souplesse en croisage de jambes entre les flat butterflies d’Angelika Babiy et les cobras dans tous les sens de Polina Semenova.
Les quatre finalistes sont également bien au point en figures assises – type de figures qui semble attirer beaucoup plus les rideuses que les riders si on compare la récurrence d’utilisation dans le battle women et dans le battle men…
Nadezhda Zelenova place des combos du style christie free arrière to kasakchoc, ou encore heel wheeling to christie free to kasak-christie-spin (recette maison) to kasakchoc arrière ; Polina Semenova aussi aime les longs enchaînements avec figures assises intégrées, comme son combo de grands compas croisés arrière heel-toe to cobra arrière to christie free arrière to kasakchoc arrière to kasakspin *reprise de souffle*. Angelika Babiy n’est pas de reste non plus avec ses aller-retours de kasakchoc avant-arrière (4×4), et sa christie free avant to arrière to butterfly ! Chloé Seyrès surenchérit un coup avec un aller-retour de kasakchoc avant-arrière (6×6), et place aussi un disaster-kasakspin to toe-toe spin en sortie.
Quant aux last tricks, Chloé Seyrès et Polina Semenova partent sur le même type de wheelings en escargot, Chloé en toe et Polina en heel… Chloé prend l’avantage en amorçant un début de transfert de ligne après l’escargot. Lika Babiy pose un butterfly sur 20 plots.
Nadezhda Zelenova tente un heel wheeling to heel seven – ses deux essais sont équivalents : elle fait une touchette pendant la transition aux deux essais, trois plots en seven sur le premier et quatre (avec un chuté) sur le deuxième.
Résultats du Freestyle Battle Women
1) Nadezhda Zelenova (RUS)
2) Chloé Seyrès (FRA)
3) Polina Semenova (RUS)
4) Angelika Babiy (RUS)
Battle Men
Qualifications
Les qualifications pour les hommes ont lieu la veille (samedi) du gros de l’épreuve… un peu victime de son succès, l’organisation se retrouve avec 69 participants… deux rounds de qualification (au lieu d’un seul prévu) sont nécessaires pour écrémer les riders jusqu’aux quarts de finales.
Quarts de Finale
Quart de Finale 1 : Igor Cheremetieff (FRA), Terence Cheung (SIN), Antoine Colange (FRA), Dmitri Milyokhin (RUS)
Quart de Finale 2 : Olivier Herrero (FRA), JB Milleret (UK), Xuan Le (FRA), Martin Sloboda (GER)
Les deux premiers quarts de finale n’offrent pas trop de surprise quant aux qualifiés : Terence Cheung (1) et Igor Cheremetieff (2) du groupe 1 ; et Martin Sloboda (1) (avec son marathon de retournés de 30 secondes) et Xuan Le (2) (avec ses vingt plots en heel wheeling arrière) du groupe 2, partent en demi-finale.
Quart de Finale 3 : Kim Sung Jin (KOR), Tiziano Ferrari (ITA), Yohan Fort (FRA), Tim Shraepen (BEL)
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Kim Sung Jin (1) finit loin devant grâce à des combos de wheeling ultra-techniques qu’il lance à la chaîne, et à sa rapidité et fluidité d’exécution. Tiziano Ferrari et Tim Schraepen jouent un peu sur le même tableau du style asiat’ remixé à l’européenne – cependant Tiziano Ferrari (2), un peu plus rapide et technique, prend le dessus sur Tim Schraepen (3), le chouchou du public. Yohann Fort (4), tout en puissance, enchaîne les tours de force en wheeling et figures assises notamment, mais manque de liant entre ses tricks pour assurer une impression générale cohérente.
Quart de Finale 4 : Kyan Sanchez (FRA), Thomas Vilcans (GER), Adrian Almazan (SPA), Rudy Op’t Veld (GER)
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Rudy Op’t Veld (1) remporte cette poule avec des enchaînements techniques plus complexes et plus longs que son concurrent direct, Adrian Almazan (2) dont le style personnel commence à bien s’affirmer, prend la deuxieme place. Kyan Sanchez (3) termine troisième avec une exécution dynamique ponctuée d’éléments techniques (heel wheeling arrière de dix plots)… mais quelques rates (retourné) et des lacunes (figures assises justes) ne lui permettent pas de décrocher la qualification pour les demi-finales. Thomas Vilcans (4), globalement moins équilibré (dans son freestyle) que son adversaire direct Kyan Sanchez, n’était pourtant pas de reste.
Demi-Finales
Autant la première demi-finale restait prévisible point de vue classement final, autant la deuxième était impossible à pronostiquer: c’était une finale avant l’heure avec quatre des Top-10 freestylers mondiaux. Les quatre pouvaient potentiellement passer, et la moindre erreur s’avérerait fatale pour chacun d’entre eux.
Demi-Finale 1 :
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Martin Sloboda (GER), Tiziano Ferrari (ITA), Adrian Almazan (SPA), Terence Cheung (SIN)
Dans le premier groupe, ce sont Terence Cheung et Martin Sloboda qui se qualifient : Terence Cheung (1) obtient la première place notamment grâce à des enchaînements de wheelings osés (il tente un day-night to seven) et des retournés, des sevens tenus (~5 plots), et un toe wheeling tout en faisant du zèle avec sa casquette qu’il fait passer sous sa jambe libre avant de la remettre sur la tête. Martin Sloboda (2), toujours impressionnant techniquement (cf. régularité de réussite de ses marathons de retournés wheeling), est moins propre (plots chutés, chute tout court, décalage par rapport à la ligne par moments) et termine deuxième. Les éléments techniques proposés par les deux autres riders étaient équivalents (sevens sur 3 plots, spécials one foot sur 4) – Tiziano Ferrari (3), dans un style punchy et assuré, se classe troisième devant Adrian Almazan (4), dont le style est un peu moins dynamique. Demi-Finale 2 :
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Igor Cheremetieff (FRA), Xuan Le (FRA), Kim Sung Jin (KOR), Rudy Op’t Veld (GER)
Kim Sung Jin (1) s’empare de la première place du groupe avec quelques tricks judicieusement placés – des retournés arrière-avant-arrière, un heel seven de 7 plots fini en spin, un toe special one foot de 7 plots aussi (un shooté).
Rudy Op’t Velt (4) réussit deux ou trois joli tricks, comme deux heel fishleg reverse (au lieu de : virage externe avant to pied arrière, c’était virage externe arrière to pied avant) mais dans l’ensemble il passe un peu à côté de ses runs avec beaucoup de déséquilibres, des tricks hors des plots, des strikes… ce qui le relègue en quatrième position.
La deuxième place était convoitée par Igor Cheremetieff et Xuan Le. Difficile de départager entre les deux français qui ont tous deux posé des tricks self-made : entre les jeux de wheeling d’Igor (cercle arrière to escargot avant to wheeling avant, ou aller-retour avant-arrière en toe) et ceux de Xuan (une douzaine de plots en heel wheeling arrière en partant de l’arrêt) ; les effets de style d’Igor (gros disaster 5.4) et ceux de Xuan (flat coréenne to bloc, toe spin fini en tailleurs, gigavolte, travail de coordination sur les bras) ; et le reste… C’est finalement à Xuan Le (2) que le Jury octroie la seconde place qualificative pour la finale, laissant Igor Cheremetieff (3), le tenant du titre des trois dernières éditions, rejoindre la finale de consolation.
Co-Finale
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Les recalés des demi-finales se retrouvent en finale de consolation : Tiziano Ferrari (ITA) et Adrian Almazan (SPA) de la première demi-finale, et Igor Cheremetieff (FRA) et Rudy Op’t Veld (GER) de la deuxième demi-finale. Les riders ont seulement deux runs et un last trick pour faire leurs preuves…
Igor Cheremetieff (2), qui commence à accuser le coup (fatigue de la compétition et de l’organisation cumulées), semble en baisse de régime pour cette finale de consolation. Il réussit cependant à nouveau son combo en wheeling-escargot, un toe seven de 7 plots, et un retournement 5×5 en last trick, pour citer les principaux. Mais les plots qui volent parasitent l’impression générale. Il termine deuxième de cette finale de consolation, derrière Tiziano Ferrari (1) qui ne déroge pas à son style tout en assurant suffisamment de technique pour décrocher la première place (5e au classement général) : il ponctue un freestyle efficace avec un heel special one foot, un toe seven de trois tours, des wheelings arrière… et il passe 20 plots aller et 10 retour en brush toe-toe en last trick.
Rudy Op’t Veld (3) finit troisième du groupe à cause d’un taux de réussite trop faible – il passe pourtant un bon last trick en retourné arrière-avant-arrière 4x4x3. Enfin Adrian Almazan (4) termine quatrième, malgré un joli toe spécial one foot sur 5 plots et un last trick exécuté plus proprement que Rudy Op’t Veld (retourné arrière-avant-arrière 4x4x2).
Résultats de la Co-Finale Battle Men
5-Tiziano Ferrari (ITA)
6-Igor Cheremetieff (FRA
7-Adrian Almazan (SPA)
8-Rudy Op’t Veld (GER)
Finale
Les finalistes décident de l’ordre de passage comme suivant : 1. Xuan Le, 2. Kim Sung Jin, 3. Terence Cheung, et 4. Martin Sloboda.
Si on s’appuie sur le potentiel technique de chaque rider, on peut prédire l’organisation de la finale comme suivant… Kim Sung Jin et Martin Sloboda ont une très bonne maîtrise des tricks à base de wheeling – linéaires (ex : avant, arrière, retournés), latéraux (ex : spécial one foot), spins (ex : sevens) ; Terence Cheung maîtrise aussi ces différentes techniques mais est peut être moins régulier sur la réussite ; Xuan Le assure la technique linéraire, mais pas les autres.
Quant au style des quatre finalistes… chacun a son style propre, abouti et mûrement réfléchi. Peut-être que Martin Sloboda a encore besoin de faire mûrir son patinage : il est tout aussi fluide que ses concurrents mais n’a pas encore posé sa touche personnelle.
Xuan Le (4) semble avoir du mal à se concentrer et enchaîne les erreurs, entre les strikes, une chute, et un dérapage incontrôlé ; il réussi quand même quelques beaux éléments techniques (heel retourné 10×10, heel wheeling arrière de 13 plots, et de 16 en partant à l’arrêt en last trick), et stylés (enchaînements de toe spins, une gigavolte qui lui sert de transfert du 80s au 50s, des pas feintés, etc.) Il finit quatrième de cette finale du PSWC 2009. Terence Cheung (3) assure le spectacle avec ses tours de passe-passe-casquette : un toe seven de quatre tours avec passage de la casquette sous la jambe libre ! En technique pure il se concentre comme ses concurrents sur des enchaînements de wheelings : toe wheeling to seven, toe chicken leg interne de deux tours… son last trick aussi est original, une sorte de double-retourné arrière interne-avant externe-arrière interne puis retournement pendant le transfert de la première ligne à la deuxième qu’il finit en toe wheeling avant. Son bonus de showman ne lui permet cependant pas d’accéder plus haut que la troisième place de la finale.
Pour les premières et deuxièmes places, c’est Kim Sung Jin (1) qui remporte cette finale du battle avec des runs bluffants – et même son last trick raté (un spécial one foot sur le petit 80s où il décroche au bout de 4 plots et se rattrape sur les 2 derniers) n’est pas suffisamment pénalisant pour le reléguer à la seconde place… alors que Martin Sloboda (2) avait, lui, pris l’avantage sur le last trick en surenchérissant (spécial one foot de 5 plots, décroche mais raccroche pour finir le petit 80s, fait un transfert sur le 50s où il place un retourné 5×2 avant de reposer).
Kim Sung Jin a sorti le grand jeu : en plus des figures techniques « bateau » à la mode (spécial one foot – qu’il lance tout aussi aisément depuis un pied arrière, double retournés arrière-avant-arrière 2x4x2 en heel et toe, etc.), il présente quelques variantes amusantes (heel seven sur 3 plots to toe seven sur 5 qu’il finalise avec un toe-toe spin). Il achève ses adversaires avec son dernier run où il enchaine un combo de retournés que-j’ai-pas-compris-parce-que-trop-compliqué-désolée, mais aussi un retourné « de base » en toe arrière-avant-arrière 2x4x2 to transfert (toujours en arrière) to la moitié du 50s (oui, toujours en arrière).
Martin Sloboda tient tête pourtant entre son heel special one foot de 6 plots et son marathon de retournés : 5×5 sur le petit 80s, to 50s, to re-80 où il place un 18×2, retourné en avant pendant le transfert sur le 50s qu’il passe en entier (en sautant un plot).
Mais Kim Sung Jin a fait preuve de plus d’innovation dans les tricks proposés.
Résultats du Freestyle Battle Men
1) Kim Sung Jin (KOR)
2) Martin Sloboda (GER)
3) Terence Cheung (SIN)
4) Xuan Le (FRA)
WSSA World Ranking
Les résultats de la PSWC 2009, événement « deux cones » international, amènent des changements significatifs dans le nouveau classement mondial du mois de mai 2009. En voici quelques un…
Hommes
Chez les hommes, le Top-5 est particulièrement chamboulé : le chinois Guo Fang (CHN) garde sa place de #1, Kim Sung Jin (KOR) (gagnant des épreuves de freestyle classic et de battle) et Igor Cheremetieff (FRA) échangent leurs places respectives du mois dernier, Kim Sung Jin devenant #2, et Igor Cheremetieff #5. Même échange entre Martin Sloboda (GER) (qui se retrouve #4) et Rudy Op’t Veld (GER) (relégué #6).
Dans le reste du Top-20, Adrian Almazan (SPA) gagne 3 places et devient #12, Terence Cheung (SIN) #13 (+6 places), et Tim Schraepen (BEL) entre dans le Top-20 (#19, +4 places).
Quelques autres changements significatifs dans le Top-50 : Alex Shulhan (BRS) gagne 27 places et se retrouve #26, Kyan Sanchez (FRA) 21 et se retrouve #39, les russes Dmitri Milyokhin et Denis ‘Disa’ Islamov gagne respectivement 11 et 15 places pour atteindre les places #40 et #43.
Femmes
Les changements ne sont pas très significatifs dans le Top-10, mis à part que les russes Angelika Babiy et Nadezhda Zelenova gagnent respectivement 3 et 2 places ce qui les conduit aux places #7 et #9. Les italiennes Barbara Bossi et Chiara Lualdi, fraîchement entrées dans le classement, remontent une centaine de places chacune grâce à leurs résultats à la PSWC et se classent à présent #13 et #14. Sara Masi (ITA) et Vicky Denissen (BEL) montent en #15 et #16. Emma Natividad (SPA) passe de la place #37 à #23, Anya Ziertmann (GER) gagne 39 places en passant de #77 à #38 !
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