Prendre les transports en commun en roller

Un gadget qui n’empêche pas d’être verbalisé

Attention, pour l’instant, les rollers sont interdits dans la plupart des lieux publics et dans les transports en commun. Vous êtes en infraction si vous vous déplacez dans une gare ou dans le métro en roller. 

Les rollers à platine détachable

Pour gagner un maximum de temps et d’efficacité quand on alterne les modes de transports (roller, bus, métro) on peut s’équiper de roller à platines amovibles tels que les Hypno, les Rossignol, les Salomon SmartSkates ou les Powerslide Step and Walk.
Cette solution n’est pas la moins chère mais elle est très pratique. Les paires coûtent entre 100 et 250 euros environ. La seule limite de ces produits vient du fait que ce ne sont pas les patins les plus performants. Les rollers à chaussure qui se glisse dans une coque sont probablement les plus aboutis. Les « Step-in » sont plus raides, ni trop adaptés à la marche, ni trop performant en balade à roulettes…

Et les arrêtoirs ?

Une seconde solution plus économique consiste à acheter des « arrêtoirs » qui se positionnent entre les roues des rollers. C’est la marque Hyper qui a eu cette excellente idée mais nous ne sommes pas sûr qu’ils existent encore sur le marché. Attention, rien ne dit que la RATP ou le SNCF ne vous diront rien car vous portez toujours des rollers aux pieds et vous êtes passibles d’amende !
Ces produits restent dur à trouver, mieux vaut aller vous renseigner dans les shops spécialisés. Voici l’explication du système : Une visse écarte ou resserre une mâchoire qui vient se positionner entre deux roues de vos patins. C’est simple mais il fallait y penser non ?
Notre conseil : Déchaussez dans les enceintes S.N.C.F. et R.A.T.P.

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La législation roller

Texte : Alfathor
Photos : Alfathor