La Coupe du Monde fait escale à Bruxelles

Les 31 mai et 1er juin s'est déroulée la première étape de la Coupe du Monde de Saut-Slalom. C'est à Bruxelles, au coeur de l'Europe, que se sont retrouvés dans la bonne humeur italiens et français mais aussi belges, allemands, hollandais, espagnols...

Par alfathor

La Coupe du Monde fait escale à Bruxelles

Escale à Bruxelles pour la Coupe du Monde IFSA de saut et de slalom à roller ESCALE A BRUXELLES POUR LA COUPE DU MONDE IFSA SAUT-SLALOM Les 31 mai et 1er juin s’est déroulée la première étape de la Coupe du Monde de Saut-Slalom. C’est à Bruxelles, au coeur de l’Europe, que se sont retrouvés dans la bonne humeur italiens et français mais aussi belges, allemands, hollandais, espagnols…

De nombreuses nationalités représentées

C’est donc au club de Ganza Roller, épaulé par Rodats, que s’est ouverte la saison internationale.

Le spot

La Patinoire Poséidon : à peine sorti du métro, le bâtiment nous tend les bras. Sous un grand auvent fermé sur trois côtés, la dalle ultra lisse est enserrée de grandes barrières de sécurité typiques d’une patinoire à glace.
Derrière, de quoi placer une aire de compétition aux dimensions plus que généreuses et une aire d’échauffement garnies de 6 lignes de plots.
Sur les côtés extérieurs, le revêtement caoutchouteux noir amortit élan des roulettes et affûtage des lames. Des gradins en durs sont placés sur le « petit » côté de la patinoire, et une buvette de l’autre.
Autant le dire tout de suite : le standing du lieu de compétition n’a d’égal que le professionnalisme des sports de glace.

Les forces en présence

Qui dit organisation professionnelle, dit sportifs professionnels : à peine passés les inscriptions et l’accueil chaleureux des bénévoles, que le regard est happé par une vague bleue et mouvante au fond de l’aire : l’équipe d’Italie s’échauffe déjà : Forza Azura ! Ils sont une quinzaine à avoir revêtu les tenues officielles.
C’est sans compter tous les autres clubs italiens qui ont également fait le déplacement ! Heureusement, on peut compter sur le club de Rollerbug, qui seul peut rivaliser quand il s’agit de nombre et de tenues.
Parmi les Français, on retrouve également le team Rollerblade, avec Vincent Vu Van Kha et Christophe Flinnois, Powerslide avec Skali, et Clochette. On rencontre également les Allemands Thomas Vilcans et Rudy Op T’Veld, le Hollandais Martin Wiegersma, les deux sympathiques espagnols Jorge Teba et Juan Carlos Fidalgo.
Les Belges, eux, seront plus nombreux dans le public que chez les compétiteurs : par timidité plus que par le manque de niveau. On ne retrouve que Tim Schraepen, Huubs Hostyn et Eduardo Martinez. Les présentations et les retrouvailles faites, et le temps de tout mettre en place, la compétition peut démarrer.

Speed slalom féminin

Les dames ouvrent les hostilités. Le duel est comme prévu essentiellement franco-italien, pour ne pas dire Séverine Thomas contre le reste du monde. En effet, ni les deux jeunes française Alizée Bert et Chloé Hivert, ni la belge Magali Vandist ne passent les times trials.
Les 12 italiennes sont bien entrainées, et les petits shorts moulants laissent voir de belles jambes bien musclées. C’est pourtant (presque) sans surprise que l’on retrouve en demi finale : Sara Barlocco, Barbara Bossi et Sara Veronese. Malgré sa blessure à la cuisse (et une belle colère) cette dernière réussit à l’emporter sur sa compatriote Barbara Bossi et accède en finale avec un 5,73 en perfect.
De l’autre coté, Séverine Thomas, la seule Française, se bat jusqu’à la troisième manche contre Sara Barlocco mais n’obtiendra qu’une place en petite finale, qu’elle perdra contre Barbara Bossi.
Sara Barlocco affronte donc la Championne du Monde en titre, Sara Veronese : la favorite se laisse pourtant dépasser. Moins propre et moins rapide, blessée, elle cherche à s’économiser pour l’épreuve de style du lendemain. Ce choix déplaira pourtant fortement au manager italien. Sara Barlocco monte sur la première marche du podium avec des temps de 5″73 et 5″74 sans pénalité : la régularité prime.

Pause, ravitaillement, échauffement

Le speed slalom se termine dans les temps, et laissent aux compétiteurs et aux juges le temps de souffler une petite heure.
L’organisation vient distribuer les sandwiches : les bénévoles avaient pris soin de rappeler aux têtes en l’air qu’ils voulaient passer commande. Cependant, le repas est pris sur le pouce par les 22 hommes inscrits pour le style slalom : l’aire de compétition est ouverte une heure avant la reprise des hostilités, afin de permettre à tous de prendre leurs marques.

La compétition masculine en freestyle slalom

Le niveau s’annonce élevé : on retrouve bien sûr les favoris français, avec Yohan Fort, Vincent Vu Van Kha, Robin Tessier, Guillaume Barbaz, Christophe Flinnois.
Les têtes de série italiennes sont également présentes : Luca Ulivieri, champion du Monde en titre, Tiziano Ferrari, entré cet hiver chez Powerslide, et le malicieux Andrea Bellotto.
Les autres nationalités sont représentées par leurs meilleurs patineurs : Jorge Teba pour l’Espagne, Rudy Op T’Veld pour l’Allemagne, Tim Schraepen pour la Belgique, Martin Wiegersma pour les Pays-Bas : bref, il n’y a pas de quoi s’ennuyer !
Après une mauvaise manipulation de chrono au premier participant, quelques rires et moqueries viennent détendre l’atmosphère. Les concurrents doivent pourtant se ressaisir rapidement : les runs sont dans la droite lignée de la saison 2007, avec un hiver d’entraînement supplémentaire : wheelings, rotations sur une roue et figures assises (de plus en plus sur le 80) sont à l’honneur. Clin d’oeil à Emilien Holveck et Walid Nouh que l’on pourrait accuser bien à tort d’être favorisés : les deux français sont de purs quadeurs, avec la facilité que l’on sait que ça entraîne pour ce genre de figures.
Mais c’est l’esprit libre et joueur qu’ils se lancent dans la compétition, renouant pour quelques minutes émouvantes et surprenantes avec le passé : vagues et tranches ont la part belle, et le 120 les mains sur la tête de Wawa, dont la réputation a franchi bien des frontières, obtient les applaudissement nourris de tout le public, même si sa musique du dessin animé « Albator » n’a de sens que pour les plus « vieux » français. Ils termineront ex aequo à la 11e place, coude à coude avec également les italiens Andrea Bellotto et Savio Brivio.
Rudy Op T’Veld (9e), qui fait ses premiers pas en IFSA, se fait rapidement remarquer : malgré sa méconnaissance des règles qui lui valent une assez mauvaise note technique par rapport à son niveau réel. Il impressionne avec ses rotations en wheeling. Seven et chicken n’ont plus de secret, alors il se lance dans le…seven arrière royal catché ! Parmi les autres nouveaux sur le circuit international, on trouve également le jeune Flavien Dupeloux, venu de Paris, qui fait honneur à son club les Dragons Riders en s’attribuant la 7e place.
Chez les Italiens, Tiziano Ferrari (8e) déclenche des tonnerres d’applaudissement pour ses runs et Luca Ulivieri (4e) persévère dans les figures accroupies sur le 50.
Le reste du haut de la liste est bien tenu par les Français : Christophe Flinnois (5e) allie judicieusement style et technique mais sera pénalisé par un trop grand nombre de plots chutés, Skali (Guillaume Barbaz, 6e) se démarque toujours par les combinaison de compas croisés et en présente la version « snake ».
Le podium est donc tenu uniquement par des Français : Yohan Fort (3e) fidèle à lui-même, nous offre deux runs parfaitement réalisés, toujours surprenant de maîtrise malgré la technique omniprésente. Vincent Vu Van Kha (1er) enchaîne les figures en impérial (no wiper, chicken leg…) tout en restant dans le rythme de la musique (dommage qu’elle soit reprise 3 autres fois par les compétiteurs). Enfin, Robin Tessier offre au public international son escargot coréen frontal : alors que beaucoup déjà réussissent à faire son fameux aigle croisée, au moins, là, on risque pas de l’imiter avant quelques temps…

Session sauvage

Vers 17h, le style slalom homme est terminé. Enfin pas tout à fait, puisque les patineurs locaux proposent une session à leur spot favori : le Bois de Cambre. Les convois de voiture ou de métro s’organisent, et l’on se retrouve un peu plus tard dans le plus grand parc de Bruxelles.
En fait le nom de bois est tout à fait approprié : c’est immense. Sous le soleil doré de fin de journée, s’étalent pelouse à perte de vue, allées goudronnées ou sablées, lac, et vendeurs de glaces et de gaufres. On se croirait à Hyde Park !
La fin de journée se passe donc agréablement, à patiner et plaisanter avec les riders locaux. La faim poussant les riders du bois, on se retrouve finalement au restaurant, puis dans un bar, afin de goûter aux spécialités culinaires belges, tout en passant devant les hauts lieux touristiques.

Dimanche

Hauteur pure féminine

Le dimanche matin, la compétition recommence de bonne heure pour la hauteur pure féminine. Petite révolution, dans la catégorie, quatre jeunes italiennes sont dans la course ! Les deux française de Rollerbug, Alizée Bert et Chloé Hivert, habituées à être sans rivales, se font surprendre par le niveau des nouvelles venues : de toute évidence, elles n’ont pas traversé la moitié de l’Europe pour finir au pied du podium !
La compétition est rondement menée : après plusieurs impasses et barres passées sans problème pour tout le monde, la barre des 85 cm élimine Federica Stangalino. Le sursit est pourtant de courte durée pour les filles de Saint Médard en Jalles. Si Chloé Hivert réussi in extrémis à passer la barre des 90 cm, Alizée Bert échoue.
Les 95 cm arrêtent donc en toute logique la dernière française, et plus surprenante, Cecilia Dellantonio, qui avait réalisé jusque là un sans faute. Elle prend toute de même la 3e marche du podium, puisque Chloé avait écopé d’une pénalité à la barre précédente.
Marta Preude Massara qui réussit quant à elle a du premier coup les 95 cm, n’est pas inquiétée et s’assure la médaille d’argent.
Valeria Raccuglia, après une barre chutée puis réussie à un mètre, échoue à celle de 1,05 m. Cette première place, et le déroulement de l’épreuve, sont tout de même révélateurs du niveau en plein essor que prend cette discipline chez les filles : dommage que Maëliss Conan, tenante du record de France à 1,06 m, et la russe n’aient pas été là. Les places seront certainement beaucoup plus chères cette année que sur les compétitions précédentes.

La compétition masculine en hauteur pure

Chez les hommes, la compétition est tout aussi élevée, mais cette fois-ci, les Français prennent l’avantage sur les Italiens.
On remarque également la participation des Belges Huub Hostyn et Tim Schraepen, mais qui malheureusement seront éliminés dès les premières barres, 1 m et 1,15 m respectivement.
La barre des 1,25 m va faire un tri draconien parmi les 10 compétiteurs en lisse : les français Walid Nouh et Clément Luxey, et les italiens Luca Ulivieri et Simone Nai Oleari n’arriveront pas à la franchir.
Grâce à son parcours sans faute, ce dernier réussit cependant à décrocher la 7e place, contrairement aux autres qui restent ex eaquo à la 8e place. Même cas de figure pour Emilien Holveck et Andrea Pastormerlo : ils doivent se partager la 5e place, aucun des deux ne réussissant à franchir à 1m30, alors qu’ils n’avaient subi aucun échec auparavant.
Les deux jeunes athlètes de Rollerbug décident quant à eux de la jouer tactiques, en faisant impasse jusqu’à 1,15 m. Antoine Imbert ne saute donc que 6 barres, dont les deux dernières le laissent au pied des marches à 1,30 m.
Flavien Du Peloux est au coude à coude avec l’italien Enrico Sordi à 1,35 m pour déterminer l’ordre du podium. Une malheureuse pénalité à une barre inférieure les départagera en faveur de Flavien, qui s’octroie de fait la seconde place. La première revient à Laurent Catroux, le seul à franchir les 1,40 m.

Speed slalom homme

Elle est très attendue, avec 21 compétiteurs qui se pressent pour les times trials. Parmi eux, les Italiens et les Français forment comme toujours le gros des participants, mais on retrouve aussi quelques belges, espagnols et hollandais.
Malheureusement, le niveau est tellement élevé que dès le KO système, on ne retrouve plus que des transalpins : :italiens et français.
Un peu perdu au milieu, Jorge Teba sera éliminé sans concession par Luca Ulivieri dès les 1/8 de finales.
Sont sortis de la même manière Antoine Imbert, Thomas Cebe, Davide Piacentini, Flavien Du Peloux. Petite tragédies habituelles, Nicolas Quiriconi n’avait pas plus de chance face à Clément Luxey, meilleur temps aux times trials avec un 5″19.
Andrea Bellotto est confronté au Champion du Monde Yohan Fort et les deux sedanais venus pour la journée, Jason Gonzales et Romain Chambord, doivent se faire face.
Les quarts de finales se pimentent avec la confrontation de Romain Chambord et Yohan Fort : il faut trois manches pour départager des temps qui descendent deux fois pour Yohan à 5″02 et 5″01 ! Ce dernier arrive donc naturellement en finale, et devient encore plus époustouflant.
Face à Clément Luxey il réalise descend sous la barre des 5 secondes, avec un 4,98 en bonne et due forme, sans plots chutés et un départ immobile impeccable. C’est le meilleur temps de la compétition.
L’autre demi finale oppose les deux italiens Luca Ulivieri et Tiziano Ferrari. Les temps sont beaucoup moins bons comparés à l’autre duel (5,29 au mieux pour Luca) sans compter les pénalités.
C’est Tiziano qui s’incline et affronte pour la petite finale Clément Luxey, qui gagne haut la main et monte ainsi sur la 3e place du podium.
La finale entre Yohan Fort et Luca Ulivieri est plus corsée. En effet, la différence de temps est si minime, qu’un seul plot tombé ou déplacé de l’un joue en faveur de l’autre (une pénalité égale 0,20 seconde). Trois manches non nécessaire à Yohan Fort pour démontrer sa supériorité et monter sur la première marche. L’italien Luca Ulivieri doit se contenter de la seconde.

Style slalom féminin

Finalement, le style slalom féminin vient clore la compétition. Comme les hommes la veille, les patineuses mangent rapidement avant de filer sur l’aire de compétition, ouverte pour les échauffements une heure avant.
C’est là que la vague « azura » est la plus impressionnante : sur les 15 inscrites, on ne retrouve que trois françaises, perdues dans la masse de l’équipe italienne et des clubs de la péninsule.
La compétition commence avec les sempiternels problèmes de musique, et l’ordre de passage sera modifié pour quelques unes, rajoutant une dose de stress.
De manière générale, il est à noter chez les italiennes : une bonne partie d’entre elles ont intégré l’aigle coréen dans leur run, et les goûts musicaux, déplorés par une bonne partie des spectateurs (français) les années précédentes et la veille, ont évolué : plus de musique techno aux basses surpuissantes et au rythme intenable, mais tango, rock, pop, variété internationales ont pris place dans la playlist.
La française Chloé Hivert (6e) garde de son run des Coupes de France, multipliant les dédicaces « pointées du doigt » très en vogue chez Rollerbug.
Aux places suivantes, quatre italiennes se suivent dans un mouchoir de poche. Sara Barlocco (5e) talonne Chiara Lualdi (4e), qui réussit sur son 2e run un très beau chiken leg royal.
La 3e place du podium est une surprise sans en être une : la jeune Christina Rotunno est faite pour être une championne, à surveiller de très près ! Ses belles jambes bien musclées lui offre grâce et puissance à la fois.
Petite déception en revanche pour Sara Veronese : après des problèmes de musique qui la mettent dans tous ses états, elle n’est pas dans les meilleures conditions pour réussir. De fait, elle chute sur son 120 et rate une partie de ses figures, ce qui ne l’empêche pas pour autant de glisser un clin d’oeil complice entre deux lignes à son adversaire et amie Chloé Hivert.
La première place revient à la française Caroline Lejeune (Clochette), qui semble survoler la compétition : même son premier run pas tout à fait réussi, lui assure la victoire avec une très large avance. Son second run, en dépit d’un petit raté sur sa nouvelle figure sur le 120, lui permet de finalement de s’octroyer avec 74,25 points le meilleure run de la compétition.

Clôture de la compétition

La compétition close, les juges s’accordent une vingtaine de minutes pour vérifier les résultats du freestyle slalom féminin. En effet, cette année chaque épreuve de freestyle est filmée intégralement pour vérifier la cohérence des résultats des podiums.
L’organisation en profite pour ranger l’aire et installer le podium. Après un petit discours de remerciement général, tous les compétiteurs sont invités à se présenter en ligne, dans leurs vêtements « de parade » : le plus sérieusement du monde, les officiels distribuent à chacun une lettre de remerciement et d’encouragement pour la suite.
Les podiums viennent ensuite, et l’ambiance est assurée par les acclamations des italiens (mais c’est pas de la mauvaise volonté de la part des autres spectateurs, ils sont tous simplement plus nombreux que tous réunis). Coupes, diplômes et lots sont distribués dans la félicité générale.
Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, chacun ramasse ses affaires, et après un rapide coup d’oeil aux résultats et quelques photos souvenirs, se dirige vers la sortie. Trains et avions pour la plupart, les plus chanceux repartent pour le Bois de la Cambre pour une dernière session. Enfin, session gaufres et glaces, bien sûr…

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Vidéo : Freestyle Slalom – Thomas Vilcans Texte : Clochette
Photos : Clochette

Coupe monde fait escale Bruxelles
Auteur
Alexandre Chartier 'alfathor'

Bonjour à tous, je suis Alexandre Chartier, fondateur et webmaster de rollerenligne.com. Le site a vu le jour officiellement le 11 décembre 2003 mais l'idée germait déjà depuis 2001 avec infosroller.free.fr. Le modeste projet d'étude est devenu un site associatif qui mobilise une belle équipe de bénévoles. Passionné de roller en général, tant en patin traditionnel qu'en roller en ligne, j'étudie le patinage à roulettes sous toutes ses formes et tous ses aspects : histoire, économie, sociologie, évolution technologique... Aspirine et/ou café recommandés si vous abordez l'un de ces sujets !

2 responses to “La Coupe du Monde fait escale à Bruxelles”

  1. VinZ
    13 juin 2008 at 1 h 08 min
    Merci pour ton commentaire - Ces compétitions sont ouvertes à tous - La participation des patineurs locaux, sur ces aires de pratique superbes, est le meilleure encouragement donné à l'organisation. En espérant que tu pourras participer aux prochaines World Cup / à l'édition 2009 de Bruxelles Amicalement,/
  2. Aragorn
    11 juin 2008 at 12 h 44 min
    Bravo et merci;merci surtout pour cette première place.çà met en lumière un sport peu pratiqué parce que peu connu.Quand je vois ces lieux d'entrainements sauvages,je pleure en voyant les miens!!!! amicalement

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