Naissance de Kim Sung Jin (Corée du Sud)
Kim Sung Jin, un artiste et un slalomeur Le rider Kim Sung Jin est Sud-Coréen. Il a vu le jour le 22 août 1990. Il débuta le roller en 2001 et se concentra véritablement le slalom freestyle dès 2002, à l’âge de 12 ans. Et il faisait déjà preuve d’une grande aisance. Il est considéré … Continued
Par
alfathor

Kim Sung Jin, un artiste et un slalomeur
Le rider Kim Sung Jin est Sud-Coréen. Il a vu le jour le 22 août 1990. Il débuta le roller en 2001 et se concentra véritablement le slalom freestyle dès 2002, à l’âge de 12 ans. Et il faisait déjà preuve d’une grande aisance. Il est considéré comme l’un des meilleurs slalomeurs freestyle de tous les temps. Il pratique également le slalom vitesse, le slalom paire ou en core le slide. D’autre part, il a arrêté le Tae Kwon Do pour se consacrer au roller.
Sa contribution aux figures de slalom freestyle
Il inventa de nombreuses figures encores très utilisées aujourd’hui telles que les toupies coréennes, les shifts, les sevens ou encore le Special One Foot.
Ses sponsors
En 2004, il intègre Salomon Korea et réalise des démonstrations. Il fait plusieurs apparitions dans des émissions de télévision à une période où le roller est en pleine ébullition en Corée du Sud.
Un tournant : sa collaboration avec la marque Seba
En 2008, il signe un contrat avec la marque Seba et développe son pro-modèle, le KSJ. Ce patin existe toujours dans les gammes de la marque.

En 2009, il intègre la première équipe nationale de Corée du Sud de slalom freestyle. La même année, il remporte le titre de champion du monde FIRS / WSSA à Shanghaï (Chine).
En 2010, il est numéro 1 mondial du classement WSSA en slalom freestyle et numéro 3 en slalom vitesse.
Les études et sa carrière de Kim Sung Jin
Il étudia l’administration commerciale à l’université. Cependant, il ne laissa pas de côté sa dimension artistique ni le roller. Il diversifie sa pratique en réalisant des chorégraphies en roller, se rapprochant ainsi plus de la danse et s’éloignant un peu du slalom. Toutefois, ses pas s’inspirent largement des figures de slalom freestyle.
Le 30 novembre 2012, il rejoint le cirque Éloïse à Paris où il entame une nouvelle carrière. Il continue cependant de réaliser des démonstrations et des workshops à travers le monde, que ce soit en Indonésie, en Italie, en Malaisie, à Singapour…
Il continue également de réaliser des show télévisés en Chine au Vietnam, en Corée du Sud.
Sa participation à la cérémonie des Jeux d’Hiver 2018
En 2018, pendant quatre mois, il travaille sur une chorégraphie pour la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Pyeongchang (Corée du Sud) avec un grand nombre de patineurs : pas moins de 102 performeurs sur la piste et 24 crews ! Quatre moins de travail pour trois minutes de show.
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