Frank J. Sulke invente un patin suspendu à deux roues alignées
Frank J. Sulke crée un patin simple et réglable à deux roues sur châssis suspendu C’était un 17 mai (1898), l’américain Frank .J. Sulke inventait une paire de patins à deux roues alignées et suspendues. Cet inventeur était originaire de Philadelphie (Pennsylvanie, Etats-Unis). Description du patin Chaque roue repose sur un bras qui fait aussi … Continued
Par alfathor

Frank J. Sulke crée un patin simple et réglable à deux roues sur châssis suspendu
C’était un 17 mai (1898), l’américain Frank .J. Sulke inventait une paire de patins à deux roues alignées et suspendues. Cet inventeur était originaire de Philadelphie (Pennsylvanie, Etats-Unis).
Description du patin
Chaque roue repose sur un bras qui fait aussi office d’amortisseur. Le châssis de chaque roulette se fixe sur une plateforme réglable en longueur. Un patin au design simple qui ne devait pas être facile à utiliser dans la mesure où il ne possédait pas de chaussure enveloppante pour maintenir la cheville droite.
Introduction du brevet par l’inventeur Frank J. Sulke
Moi, Frank J. Sulkie, citoyen des États-Unis, résidant à Philadelphie, dans le comté de Philadelphie et de l’État de Pennsylvanie, ai inventé une nouvelle et utile amélioration des patins à roulettes, dont voici une spécification.
Mon invention concerne une nouvelle et utile amélioration des patins à roulettes. Elle a pour but de construire des dispositifs de cette description pour rendre la bande de roulement de celui-ci élastique, tout en n’interférant pas avec l’action du patin.
Avec ces fins en vue, cette invention consiste dans les détails de construction et de combinaison des éléments ci-après énoncés, et alors spécifiquement désignée par la revendication.
La description détaillée de l’invention
La figure 1 est une élévation latérale d’un patin réalisé conformément à mon perfectionnement ; Fig. 2, un plan de dessous, et Fig. 3 une perspective détaillée de l’un des cintres.
Dans la réalisation de mon invention telle qu’incarnée ici, A représente la plaque de pied du patin, tandis que B est la plaque de talon de celui-ci, et ces deux plaques sont fixées ensemble de manière réglable au moyen des boulons et des écrous C, ou cette partie de la le patin peut être fabriqué de toute autre manière, en y dépendant les cintres D, constitués chacun d’une bande plate de métal élargie et fendue à une extrémité, les côtés de ladite extrémité élargie étant retournés parallèlement les uns aux autres, et entre ces 40 côtés est tourillonné un rouleau E.
L’extrémité du cintre est incurvée vers le bas et vers l’arrière à un angle aigu par rapport à l’autre partie de la bande, qui est fixée au corps du patin, comme illustré à la Fig. 1 des dessins. Cet agencement donne aux cintres une action de ressort et une traînée dans la direction du mouvement vers l’avant du patin, de sorte que la personne utilisant un tel patin ressentira une bande de roulement douce et rembourrée lors de la mise en service actif du premier patin puis de l’autre.
Un autre avantage de cette construction est que la pression latérale sur les roues sera légèrement modifiée par l’action de torsion des cintres, donnant ainsi un effet extrêmement, gracieux et efficace à l’utilisateur. […]
En foi de quoi j’ai apposé ma signature en présence de deux témoins souscripteurs.
La fiche scannée du brevet de Frank .J. Sulke
Source : Google Patents