Brevet de Celmer : des chaussons pour rouler sur les pointes
Vous ferez bien quelques pas de danse sur roulettes ? C’était un 21 mai (1946), l’américain Boleswava H. Celmer déposait un brevet pour un « toe-dancer slipper ». Littéralement, un « chausson danseur d’orteils ». Ce système pour faire du patin à roulettes ou à glace sur les pointes de pieds. Il fallut plus de trois ans à Boleswaca … Continued
Par
alfathor

Vous ferez bien quelques pas de danse sur roulettes ?
C’était un 21 mai (1946), l’américain Boleswava H. Celmer déposait un brevet pour un « toe-dancer slipper ». Littéralement, un « chausson danseur d’orteils ». Ce système pour faire du patin à roulettes ou à glace sur les pointes de pieds. Il fallut plus de trois ans à Boleswaca H. Celmer pour faire valider sa demande de brevet par l’office américain.
Description du brevet de Celmer
La présente invention vise un perfectionnement aux chaussons ou chaussons de danseuse. Ils sont construits en vue de permettre à la danseuse de démontrer son art en liaison avec un patinage plus ou moins conventionnel. Soit sur glace, soit sur roulettes.
La pantoufle ou la chaussure de danse des orteils habituelle est formée avec une partie d’orteil de forme particulière et de construction relativement dure dont la danseuse dépend largement pour maintenir la position de ses orteils tout en dansant. Cette partie de pointe durcie doit rester intacte pour une utilisation efficace de la chaussure. Et, par conséquent, avec tout accessoire de danse, comme des patins à glace ou à roulettes, la partie de pointe normale de la chaussure doit être maintenue.
Explication des schémas
L’invention s’illustre dans le dessin annexé, dans lequel :
- La figure 1 est une vue éclatée d’un chausson classique de danseur d’orteil muni de la fixation améliorée pour la fixation de patin à roulettes.
- La figure 2 est une vue similaire montrant l’utilisation de l’accessoire pour le patinage sur glace.
- La figure 3 est une vue latérale de la forme représentée sur la figure 1.
L’invention concerne une pièce jointe à travers laquelle un équipement de patin à roulettes ou un patin à glace peut être fixé à une chaussure ou un chausson de danse plus ou moins conventionnel sans interférer avec les caractéristiques essentielles et nécessaires d’une telle chaussure ou pantoufle.
L’attache comprend un connecteur métallique f, formé pour embrasser la partie orteil 2 du chausson 3. L’attache est en forme de coupelle en 4. On la façonne pour recevoir parfaitement l’orteil 2. La partie arrière 5 de l’attache recouvre et se conforme à la semelle 6 du chausson, et étant fixé à cette semelle en 7.
La fiche originale du brevet de Celmer
Source : Google Patents