Bont rassure ses clients sur la solidité des platines roller carbone

L’industrie du roller n’est pas l’industrie du vélo

L’utilisation du carbone et des matières composites est amenée à se développer encore davantage dans le monde du roller en ligne et du patinage à roulettes traditionnel. La firme australienne Bont est particulièrement créative et friande de ces matériaux, qu’elle utilise dans tous ses segments. Son PDG Alexander Bont, a diffusé un message sur les réseaux sociaux. Il souhaite ainsi faire tomber des préjugés et de rassurer sa clientèle sur la solicité des platines de roller en carbone de Bont.

Le mot d’Alexander Bont sur la solidité des platines roller carbone

 » Quand je discute avec des patineurs au sujet des châssis en carbone, j’entends une préoccupation similaire : ils s’inquiètent de la casse. Quand je creuse plus profondément, une grande partie de cette peur provient de l’industrie du vélo. En effet, il y a cette course constante pour voir quel fabricant de cadres de vélo. Chacun souhaite fabriquer le cadre carbone le plus léger. Pour y arriver, les entreprises repoussent les limites de fabrication et d’utilisation des matériaux. Et parfois, elles vont trop loin, ce qui donne lieu à des cadres qui se brisent. Malheureusement, cela affecte la perception des patineurs des platines de roller en ligne en carbone.

Je veux que nos clients sachent que jusqu’à présent, nos châssis en carbone ont été construits avec beaucoup plus de couches que nécessaire. Nous nous assurons ainsi qu’ils ne se cassent pas. Avec notre nouvelle platine Ultralight (UL), nous commençons à explorer jusqu’où nous pouvons alléger. La platine Bont Supercell Ultralight atteint une incroyable masse de 117 grammes. Mais laissez-moi être clair : je ne lâcherai jamais sur le marché un châssis sujet à la casse. Chaque platine en carbone que nous vendons sera rigoureusement testée dans au moins cinq pays différents sur différentes surfaces avant de le mettre sur le marché. Nous demandons aux patineurs de faire de leur mieux pour le casser.

La grande nouvelle c’est que le châssis Ultralight a réussi tous ses tests avec brio. Dans les mois à venir, nous repousserons les limites encore plus loin avec une version encore plus légère et continuerons d’expérimenter différents « layups » (Un layup est la façon dont nous posons le carbone dans le moule) pour voir à quel point nous pouvons encore alléger. »

Pour aller plus loin

Site de la marque australienne