Atlas des fédérations sportives : la place du roller en France

Atlas des fédérations sportives : la place du roller en France selon une étude du MJS

Par alfathor

Atlas des fédérations sportives : la place du roller en France

Chez ReL, on aime les statistiques alors rien de tel qu’un rapport sur la pratique licenciée en France pour susciter notre intérêt ! Le Ministère de la Jeunesse et des Sports diffuse sur son site un atlas des fédérations sportives. Il contient des données intéressantes…

En 2012, 50527 personnes étaient licenciées à la FFRS (28.228 hommes et 22.229 femmes). Ces licenciés sont répartis dans 6464 communes. Cela veut dire qu’il existe des pratiquants de roller adhérents à la FFRS dans 18% des communes françaises. On compterait 66,7 licenciés par club en moyenne.

La carte ci-contre dévoile une forte culture du roller en Bretagne et en Pays de la Loire. Le roller est aussi populaire en Midi-Pyrénées, en Aquitaine et en Champagne Ardenne.

Vous avez envie d’en savoir plus et de comparer le roller à d’autre sports ? Vous pouvez consulter ce rapport. Le roller est concerné par les pages 122 et 123.

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Auteur
Alexandre Chartier 'alfathor'

Bonjour à tous, je suis Alexandre Chartier, fondateur et webmaster de rollerenligne.com. Le site a vu le jour officiellement le 11 décembre 2003 mais l'idée germait déjà depuis 2001 avec infosroller.free.fr. Le modeste projet d'étude est devenu un site associatif qui mobilise une belle équipe de bénévoles. Passionné de roller en général, tant en patin traditionnel qu'en roller en ligne, j'étudie le patinage à roulettes sous toutes ses formes et tous ses aspects : histoire, économie, sociologie, évolution technologique... Aspirine et/ou café recommandés si vous abordez l'un de ces sujets !

1 response to “Atlas des fédérations sportives : la place du roller en France”

  1. l'oeuf ou la poule
    4 septembre 2013 at 13 h 52 min
    C'est trivial : là où il y a une infrastructure (piste, route sécure, patinodrome, voie verte, gymnase par défaut, ...), a fortiori 24/7 et water/rainproof, il y a et il y aura des pratiquants. Une graine, même boostée au carburant de la passion, ne pousse pas dans le désert. Les "promoteurs" du roller, quand ils ne travaillent pas exclusivement pour la conservation de leurs chapelles et de leurs acquis, gaspillent des millions en com et en fumée, c'est tendance et c'est tentant, alors qu'il suffirait de commencer par le commencement, à savoir faire investir nos collectivités dans de l'infrastructure, du concret, la base. La demande existe ou est latente, elle n'a pas besoin d'être forcée, dupée, puis décue, par de fausses cartes postales, promesses ou sirènes. Offrir de meilleures conditions de pratiques au maximum de pratiquants : c'est un schéma trop simpliste, généraliste, vertueux et pas assez cher pour nos chers décideurs qui préfèrent mailler le territoire de skate parks

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