Retour sur les championnats du Monde IFSA 2009 (France)

Les championnats du Monde IFSA de saut et de slalom ont été organisés de main de maître à Saint-Médard-en-Jalles (33) par l'association RollerBug fin août dernier. L'événement a vu d'excellents résultats des français et le record du monde de speed-slalom tomber à deux reprises. Récit...

Par alfathor

Retour sur les championnats du Monde IFSA 2009 (France)

Le bilan des championnats du Monde IFSA 2009 à Saint-Médard-en-Jalles

Bilan à l’issue de la journée de qualification du vendredi et la première journée du Championnat du Monde IFSA 2009. Les compétiteurs déjà qualifiés qui n’étaient pas arrivés sur le site plus tôt découvrent d’un air ébahi l’aire de compétition, mais surtout tout ce qui l’entoure. D’énormes jeux gonflables forment parcours d’agilité et toboggans, un circuit de karting pour enfants et une aire d’initiation aux sports de combats encadrent 2 buvettes. Un dernier lieu de restauration et des casiers complètent la zone près de l’aire d’échauffement.

Yohan Fort au départ du slalom vitesse à Saint-Médard-en-Jalles
Yohan Fort au départ du slalom vitesse à Saint-Médard-en-Jalles

Le speed-slalom féminin

La journée commence à 10h00. Patineuses, soleil et public commencent à (s’) échauffer. Les italiennes et leur favorite Sarah Veronese sont venues avec la ferme intention de conserver le titre de leur coté des Alpes.
Coté Français, Séverine Christ Thomas, récemment championne du Monde à Shanghaï, rêve de vaincre une bonne fois pour toute sa concurrente transalpine. On remarque également la présence des Ukrainiennes, Marina Boyco et Sabina Ismailova. A venir de si loin, autant s’amuser sans prétention ! Les time-trials permettent de sélectionner les huit meilleures concurrentes. Avec un temps de 5,256 Sarah Veronese prend logiquement la tête devant sa compatriote Barbara Bossi. Séverine Christ Thomas prend quant à elle la troisième place.

Aux quarts de finale, on note l’élimination des deux Françaises accompagnant Séverine à cette phase de l’épreuve, Maëliss Conan, sélectionnée en Équipe de France, et Clémence Guicheteau, du club organisateur Roller Bug.

La demi-finale voit s’opposer Sarah Veronese à Cristina Rotunno, et Séverine Christ Thomas à Chiara Lualdi : trois italiennes contre une française. Le premier duel est remporté par Sarah sans grande surprise. Le second duel se joue en trois manches, et c’est la Française qui s’incline face à la transalpine suite à deux run à 8 pénalités – laissant Chiara Lualdi passer en finale sans contestation possible.

La finale de consolation se passe donc entre Cristina Rotunno pour l’Italie, et Séverine Thomas pour la France. C’est l’italienne qui s’impose en faisant moins de pénalité que Séverine. L’Italie est assurée d’ores et déjà d’avoir 100 % du podium.
Il reste plus qu’à départager les deux finalistes, Sarah Veronese et Chiara Lualdi. C’est finalement avec des temps de 5,585 et 5,675 que Sarah Veronese remporte une nouvelle fois le titre de Championne du Monde IFSA, pour la troisième année consécutive.

La compétition de hauteur pure

C’est aux sauteurs que revient l’honneur de finir cette journée de compétition en beauté, devant des tribunes pleines et sous un soleil de plomb.

L’épreuve féminine de hauteur pure

Elle voit s’affronter 7 françaises contre 3 italiennes. Les 2 favorites sont Maëliss Conan pour l’Equipe de France, et Mallaury Dubernet de Colomier. Cependant, une rumeur inquiétante pour les deux jeunes filles s’immisce depuis les Championnat de France jeune, en juin dernier : Charlotte Petrow, du club ATP 79 de Thouars, petit minois timide sur le bord de l’aire de compétition, sauterait 1 mètre 17 ! De quoi attaquer le moral de n’importe quelle concurrente…

Quatre des dix sauteuses ne passeront pas 1m, et deux de plus se feront éliminer à 1m05. A 1m07, c’est la jeune Française Mallaury qui n’arrive pas à laisser derrière elle l’Italienne Valéria Raccuglia. Ayant toutes deux un parcours identique, la barre est redescendue à 1m06. Toutes les deux passent la barre qui remonte donc de nouveau à 1m07.

C’est finalement Mallaury, portée par les retentissants encouragements de son club Acroller et par le public, qui passe cette barre alors que Valéria fatiguée, échoue.
Le podium est donc bien franco-français, but inavoué du trio de tête qui a fini par sympathiser. Il faut attendre 1m13 pour départager Charlotte et Maëliss. La plus jeune athlète de l’Equipe de France, détentrice du record mondial, échoue à cette hauteur. Cette grosse déception fait place à la joie de Charlotte qui s’envole vers le titre mondial et qui continue le spectacle en sautant grâce au public à 1m17.

La compétition masculine de saut en hauteur en roller

Déjà bien chauffé par le spectacle plus que par le soleil pourtant très chaud, on assiste cette fois à la compétition des hommes. Parmi les quinze concurrents, on distingue quelques favoris, avec entre autre Laurent Catroux (Roller Bug), Thomas Rataud et Sébastien Gasnier pour l’Equipe de France ; coté Italien, Marcello Sordi et Enrico Riviera.

Le premier fait important de la compétition apparaît à 1m30, où le niçois Yohann Petit réveille une entorse à la cheville lors de la réception, en ratant son saut. Après quelques minutes et l’application d’une bombe de froid, il s’élance de nouveau et passe la barre malgré la douleur bien visible. Très déterminé, il tente de sauter la barre suivante, mais sans succès. Cette barre à 1m35 voit également l’élimination de Jason Gonzales (Centre Social le Lac, Sedan).
Il reste tout de même encore 4 Français en course et 2 Italiens pour sauter les 1m40. Les transalpins Marcello Sordi, et Enrico Riviera ainsi que le français Marc Fremond n’arriveront pas à passer : tous très populaires, autant parmi les riders que le public, ils bénéficient pourtant de bruyants encouragements.
Reste donc les 3 favoris Français pour le podium, et c’est Laurent Catroux qui lâche le premier à 1m44, suivi de prêt par Sébastien Gasnier. Entré cette année en Equipe de France, le parisien qui s’était fait rapidement remarquer par sa technique originale (tirée du Fosburry d’athlètisme) ne passe pas les 1m46, passés par son acolyte Thomas Rataud. Le tiercé gagnant maintenant dans l’ordre, Thomas, nouveau Champion du Monde IFSA, tente 1m50. Le public hurle tout ce qu’il peut pour l’aider à franchir cette barre, mais les magnifiques déhanchés ne passent pas.

La compétition de freestyle-slalom

Elle enchaine immédiatement après et bénéficie d’une remarquable attention du public. Les tribunes sont pleines à craquer, chacun encourageant de manière plus ou moins discrète leurs favoris. Les notes des premiers runs étant données directement après le passage de chaque concurrent, les troubles-fêtes sont rapidement identifiés : si les Français comptent sur les athlètes réunis sous les couleurs de l’Equipe de France, Robin Tessier, Yohan Fort et Vincent Vu Van Kha, les Italiens scandent en hurlant Tiziano Ferrari, Luca Ulivieri et Andrea Bellotto. Mais les espagnols Jon Larrucea et Adrian Almazan et le biélorusse Alex Shulhan, peu connus, s’inscrivent dès le départ comme des prétendants sérieux.

Sur les runs de finale, les riders se montrent tous très nerveux, multipliant les fautes inhabituelles. Seuls Romain Lebois (Dragons Riders) et Richard Heronneaux (arrivé en finale grâce au best trick de repêchage) réalisent des runs propres et techniques.

Le premier bouleversement est malheureusement pour Vincent Vu Van Kha, qui passe complètement à coté de son run. Après un gros déséquilibre en début de run, il ne réussit pas à se ressaisir et ne valide quasiment aucune figure technique et termine à 9e place. C’est une déception également pour le jeune biélorusse : après un premier run tourbillonnant qui l’avait placé second, il termine finalement à la 7e place, loin, très loin de la première place. Même topo pour Yohan Fort (Roller Bug) : malgré toute la force et l’énergie qu’il met dans chacune de ses lignes, les juges ne le placent qu’en 6e position, derrière Tiziano Ferrari qui réussit à sauver les meubles.

A côté de la compétition

Le malheur des uns fait le bonheur des autres : c’est une surprise pour Richard Heronneaux de voir que ses petits pas parfaitement calés en musique, dans un style inimitable, l’amènent au pied du podium. Adrian Almazan, malgré un esprit distrait, réussit un run technique marqué néanmoins par de gros déséquilibres. Il termine tout de même à la troisième place du podium. Enfin, quiconque a vu les runs de Jon Larrucea et Robin Tessier savait que la première place allait se jouer entre ces deux-là. Le premier nous gratifie d’un run impeccable, parfaitement maitrisé tant d’un point de vue de l’équilibre que de la technique. Cette dernière note est même supérieure à celle de Robin, jusqu’à présent rarement chatouilleux sur la chose.

Des dunks impressionnants !
Dunk avec trampoline

Heureusement, le jeune français peut compter sur une aisance, si ce n’est de la grâce, incomparable. Le calage sur la musique frise la perfection ; quelques figures ne passent pas comme il faudrait et il faut soustraire 2 points de pénalité, mais finalement, dans un soupir de soulagement général, Robin Tessier conserve son titre de Champion du Monde IFSA, pour la 2e année consécutive. Deux petits points derrière, Jon prend la deuxième place. Public et compétiteur sont maintenant avertis : si l’Espagne a mis du temps à produire des athlètes de haut niveau, il faudra désormais compter avec eux, et pas en tant que simple figurants.

La compétition se finit sous les acclamations du public, et laisse place aux divertissements. Avec de nouveau les crazy-dunkers, qui cette fois proposent une initiation pour le plus grand bonheur des enfants…..et des adultes aussi ! Après les acrobaties en trampoline, c’est au tour de la danse avec les Echos-liés qui offrent une démonstration de street-dance, mais surtout un spectacle hilarant. Et pour finir une journée de fête et de record, rien ne vaut un beau feu d’artifice.

Journée du dimanche du championnat du monde IFSA 2009

Le style slalom féminin

Le dimanche matin voit s’ouvrir traditionnellement l’épreuve de style slalom dame. On y retrouve les habituées du circuit international avec entre autre, Sarah Veronese (ITA), Sara Barlocco (ITA), Barbara Bossi (ITA). Pour la France, on note la présence de très jeunes compétitrices, Chloé Arbonna (Les Roller Marseillais) et Clémence Guicheteau (Roller-Bug), qui pourtant n’en sont pas à leur première expérience internationale ! La double championne du monde Caroline Lejeune est également présente sous les couleurs de l’Equipe de France, et fait figure de favorite. Les deux ukrainiennes de la veille, Sabina Ismailova et Marina Boyco, montrent dès l’échauffement qu’elles ne sont pas venues pour des clopinettes et qu’elles briguent le titre mondial IFSA.

L’épreuve commence par le traditionnel best trick

Pour déterminer l’ordre de passage. Après avoir vu quelques « cobra », kasatchock et autre wheeling arrière, le moment des runs arrive. Dès l’épreuve de qualification, le podium est déjà trouvé. En effet, seules trois compétitrices se hissent au dessus des 55 points, Caroline Lejeune (FRA) avec 58,07 pts, Sabina Ismailova (UKR) avec 58,25pts et Marina Boyco (UKR) avec 60,43. Les Italiennes Sarah Veronese, Barbara Bossi, Chiara Lualdi se trouvent à 15 points derrière.

Suite au Best trick de rattrapage, les italiennes Christina Rotunno et Sarah Barlocco viennent rejoindre leurs trois autres compatriotes pour essayer de perturber le trio de tête. Mais malgré un deuxième run très réussi Sarah Veronese ne se rapproche encore qu’à 6 point du podium. Le podium se joue donc entre la championne du monde et les deux Ukrainiennes.

Suite à un décalage sur sa musique, lui valant des pénalités de plot non slalomés, Caroline Lejeune prend 2,5 point de pénalité, contre un seul pour ces deux concurrentes. En plus de lui couter son titre, elle rate la deuxième marche du podium. Le titre de Championne du monde IFSA revient à Marina Boyco grâce à une note de musique supérieure de 3 points à sa compatriote Sabina Ismailova. Bien que supérieure techniquement, la jeune slalomeuse (14 ans !) n’est pas suffisamment en rythme pour confirmer son avance. Le titre s’est quand même joué dans un mouchoir de poche, avec un écart de seulement 75 dixièmes de points entre la troisième et la première place.

Le High-Jump

La pause-déjeuner bien méritée est placée sous le signe de la rigolade avec les Echos-Liés. S’appropriant les disciplines en compétition ce week-end, ils miment et gesticulent sous la direction de Yohan Fort, Guyom Haensler et Enrico Paparo, qui jouent le jeu jusqu’au bout sans se laisser avoir par les facéties des danseurs et pour le plus grand bonheur du public, très fier de ces émissaires qui semblent leur donner du fils à retordre. Enfin, la compétition peut reprendre ses droits avec le High-Jump masculin et féminin.

On déplore l’absence de filles dans la discipline. Seulement une Française, Maéliss Conan, se présente. Elle arrive tout de même à sauter 2 m mais échoue à 2m03, à 2 cm de son record personnel.

Coté garçons, cinq concurrents sont présents, dont 4 français et un italien, en la personne Marcello Rivierra. Pour les Français on retrouve des petits nouveaux sur le circuit IFSA : Freddy Miquel et Yohann Petit de Nice Roller Attitude. Suivent les deux derniers Français et habitués des compétitions; Marc Fremond et Jason Gonzales.

L’épreuve commence à 2m, sans aucun problème pour personne. Le premier éliminé, l’Italien Marcello Rivierra échoue à 2m10. C’est ensuite le tour du niçois Freddy Miquel à 2m15. La barre monte toujours, et on note beaucoup d’impasse pour Yohann Petit. Blessé la veille, il s’économise pour les hauteurs plus importantes face aux deux derniers candidats en lice. La troisième marche du podium est finalement prise par Marc Fremond,qui rate le saut à 2m35. Viens ensuite Yohan Petit, qui échoue à 2 m40. Couronné d’or, Jason n’en continue pas moins le spectacle pour la plus grande joie du public, avant de s’arrêter à 2m50.

Le speed slalom

Le clou de la compétition se déroule sans doute possible avec la dernière épreuve. Les 26 concurrents en speed slalom se disputent le titre mondial IFSA avec plus ou moins de convictions : on retrouve tous les meilleurs athlètes de la discipline, à commencer par le double champion du monde en titre et grand favoris de l’épreuve,Yohan Fort qui avec sont compatriote Lucas Romain portent les couleurs de l’Equipe de France. On retrouve également avec la maglieta azura Luca Ulivieri et Tiziano Ferrari, qui ne rêvent que de déposséder le jeune Français de son titre. Ici encore on remarque la présence de très jeunes compétiteurs comme Davide Ferrara et Nicolas Quiriconi pour l’Italie et de Mathieu Messina (Roller Sassenage) et Jimmy Fort (Roller Bug) pour la France.

Première phase de la compétition

Les times trials déterminent les seize meilleurs concurrents. On retrouve logiquement Yohan Fort à la première place. Son temps de 4,982 montre bien qu’il n’est pas prêt à laisser son titre s’envoler.

Après des seizièmes de finale sans coup de théâtre, les huitièmes commencent à se corser pour le Français Robin Tessier qui peine à se qualifier face à l’italien Sivio Brivio avec 3 manches dans les 5,2 secondes. De plus, le jeune membre de l »Equipe de France joue de malchance en affrontant en quart de finale son compatriote Yohan Fort, qui ne lui laisse aucune chance. D’autre part, les Italiens Luca Ulivieri, et Tizianno Ferrari se qualifient pour les demi-finales en éliminant leurs camarades, respectivement Davide Piacentini et Simmone Nai Oleari. Le dernier qualifié de ces quarts est bien sur le patineur de Saint Médard Lucas Romain, qui élimine un autre Français, Romain Lebois (Dragon Rider).

Les demi-finales

Elles voient les duels Yohan Fort face à Luca Ulivieri, et Lucas Romain contre Tiziano Ferrari. Tous se sont déjà rencontrés, et ils sont prêts à en découdre dans les plots une nouvelle fois. Et à ce petit jeu, c’est Yohan le meilleur. En effet, après un premier run cédé à l’Italien, Yohan réalise son deuxième run à la vitesse de l’éclair, en raflant le record du monde avec un temps de 4,828. Le public exulte et accompagne Yohan, qui, sans coup férir arrache la troisième manche avec une facilité déconcertante (4,921 secondes).
Le deuxième duel, entre Lucas Romain et Tiziano Ferrari, tourne à l’avantage de l’Italien après 3 runs très serrés. Lucas Romain affronte Luca Olivieri pour la troisième marche du podium. Le français ne fait qu’une bouchée de son adversaire en gagnant le duel en 2 manches et remporte la petite finale sans problème. Une finale très rapide…

En remettant en jeux pour la 3e fois son titre mondial et qui plus est dans sa propre ville, Yohan Fort avait toutes les raisons de ressentir une pression énorme sur les épaules. Mais le public est venu très nombreux et porte le Français durant tout le duel l’opposant à Tiziano Ferrari. Le premier run est remporté par Yohan en 4,909s loin devant Tiziano qui avec cinq pénalité n’avait aucune chance. Pour la deuxième manche, l’ambiance est déchainée. Yohan finit par demander le calme à « son » public, et un silence religieux se fait afin de permettre au champion de se concentrer. Car il ne fait plus aucun doute maintenant que Yohan renouvellera son titre.

Finalement, après le bip sonore, il s’élance et file en 4,796 vers la plus haute marche du podium en clouant son adversaire sur place, et explosant au passage le record du monde qu’il avait déjà raflé quelques minutes plus tôt. Yohan se retrouve donc Champion du Monde IFSA pour la troisième année consécutive, et devient par la même occasion le slalomeur le plus rapide du monde, tous circuits confondus.

Les podiums

Après quelques minutes d’attentes, le spectacle d’énergie full (chorégraphie alliant danse et full- contact) et les traditionnels discours de remerciements, la cérémonie peut enfin commencer. Le public est survolté à l’appel de son chouchou en speed slalom, Yohan Fort (Roller Bug).

Pour le style slalom, c’est la surprise, personne ne connaissait les récompensés. Les déceptions se lisent sur les visages de certains athlètes mais une fois la cérémonie passée, les traits se dérident et laissent la place au sourire (un peu forcé) pour les traditionnelles photos de « famille ».
On ne remerciera et félicitera jamais assez le club Roller-Bug, Guyom Haensler, et tous les bénévoles, pour l’excellente organisation tant au niveau de la ponctualité qu’au niveau des animations et de l’accueil. C’est la première fois qu’une organisation atteint un tel niveau de perfection.

Vidéo du championnat du monde IFSA 2009

Liens utiles

Le site de RollerBug
Les photos de Vincent Vu Van Kha

Texte : Bichon et Bichette – Photos : Vincent Vu Van Kha

2009 sur Les monde Championnats retour IFSA
Auteur
Alexandre Chartier 'alfathor'

Bonjour à tous, je suis Alexandre Chartier, fondateur et webmaster de rollerenligne.com. Le site a vu le jour officiellement le 11 décembre 2003 mais l'idée germait déjà depuis 2001 avec infosroller.free.fr. Le modeste projet d'étude est devenu un site associatif qui mobilise une belle équipe de bénévoles. Passionné de roller en général, tant en patin traditionnel qu'en roller en ligne, j'étudie le patinage à roulettes sous toutes ses formes et tous ses aspects : histoire, économie, sociologie, évolution technologique... Aspirine et/ou café recommandés si vous abordez l'un de ces sujets !

2 responses to “Retour sur les championnats du Monde IFSA 2009 (France)”

  1. Ralph
    14 octobre 2009 at 18 h 19 min
    Les photos : *****/
  2. evilys
    12 octobre 2009 at 20 h 59 min
    Ce que j'aime c'est Bichon et Bichette ;-)

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