Le brevet de système de serrage de John Norman
Un système de serrage qui renforce la structure du patin C’était un 14 juin 1881, John Norman voyait sa demande de brevet pour un patin à roulettes validée par l’office des brevets américains. Il avait formulé sa demande de brevet quelques semaines avant, le 21 avril 1881. Originaire de New-York (Etats-Unis), il avait pour objectif … Continued
Par alfathor

Un système de serrage qui renforce la structure du patin
C’était un 14 juin 1881, John Norman voyait sa demande de brevet pour un patin à roulettes validée par l’office des brevets américains. Il avait formulé sa demande de brevet quelques semaines avant, le 21 avril 1881. Originaire de New-York (Etats-Unis), il avait pour objectif d’améliorer et de simplifier le système de serrage et sa fixation à la plateforme du patin.
Extrait du brevet de John Norman
La présente invention dans les patins à roulettes concerne la manière de relier les sangles de retenue à la semelle. Elle a notamment pour but de simplifier et de réduire le coût de cette liaison. D’autre part, elle vise aussi à renforcer le support auquel les roulettes se fixent.
L’invention consiste à former sur le support un rebord en saillie pour recouvrir les extrémités des sangles de maintien sur le fond de la semelle. Ledit rebord en saillie possèdeun goujon pointu adapté pour passer à travers les extrémités des sangles et dans le dessous de la semelle. Il fixe ainsi fermement les sangles à la semelle. D’autre part, il évite l’utilisation des vis ou d’autres dispositifs.
La semelle en bois a, la sangle de cou-de-pied « b » et les rouleaux de talon « c » sont de construction ordinaire. Les sangles « d » fixent la partie avant du patin au pied. Elles sont dans les patins à roulettes tels qu’ils sont fabriqués actuellement, généralement fixés au dessous de la semelle a au moyen de vis.
Et pour économiser les ennuis et les dépenses liés à l’utilisation de ces vis, je construis le support de rouleau avant, e, comme indiqué. C’est-à-dire avec la bride en saillie « f », qui s’étend sur les extrémités qui se chevauchent des deux sangles faites à la centre de la semelle « a ». De manière à appuyer dessus lorsque l’étrier « e » se fixé à la semelle au moyen des vis « e ». La bride « f » se dote d’un goujon pointu « f' ». Il passe à travers des trous dans les extrémités des sangles et dans la semelle. Ainsi, il maintient fermement les sangles en place.
Le visuel du brevet original
Source du brevet de John Norman : Google Patents