Voila le dernier compte rendu. Remarquez, ça me fait de l'occupation
Bonne lecture
Le 2 Mars 2007 : ski à « NOTRE DAME DE BELLECOMBE ».
Dérapage en travers et en parallèle avant les remontes pentes. Et la, en pleines minuscules bosses, je tombe assez lourdement. Mes skis s’en vont, ma tête et mon bras droit heurtent violement sur la neige très dure et très peu dense due à un hiver très peu rigoureux.
Je reste à terre jusqu’à ce qu’un secouriste vienne me voir. (Il y a une caserne de pompiers, juste à côté, mais fermée depuis peu). Je suis sous le choc. Le secouriste me demande si je suis en état de me relever et m’aide avec une écharpe. Etant donné que mon bras est de travers, il m’indique que je vais être évacué chez un docteur à quelques kilomètres de la station (la ou je suis, il n’y en a pas) et qu’il va me remettre mon épaule en place. J’arrive chez le docteur en ambulance, il me fait une radio, me fait une radiographie, me conseille d’en refaire une 8 jours après, puis me prescrit des médicaments et une écharpe de contention.
De plus, j’ai une petite luxation au pourtant, je n’aurais pas du l’avoir, mais on me dite que mes chaussures de skis devaient êtres mal serrées.
Le 12 Mars, une radiographie me montre que j’ai une fracture du trochiter non déplacée et non détectée chez le 1er médecin. Je l’appelle mais, au lieu de s’excuser, il prend juste une voix embarrassée, c’est tout. Mon médecin traitant m’envoie faire une échographie qui détecte une bonne tendinite avec du liquide due certainement au port de l’écharpe.
Rééducation chez une kiné, mais elle me fait plus de mal que de bien. Elle dit qu’elle doit forcer, car j’ai trop de muscles abîmés, mais mon médecin me dit que l’on ne doit pas forcer. J’arrête la Kiné.
6 Avril radios qui montre une discrète solution de continuité du trochiter et une discrète ascnsion de la tête humérale droite.
25 Juin, des radiographies me montre toujours la fracture, mais rien d'autre.
Radio de nouveau, la fracture est toujours présente, car l’épaule bouge toujours.
Le 29 Octobre, un bilan sanguin montre un taux légèrement plus élevé d'acide urique, ce qui, d'après le laloratoire et le médecin, me donne des cristaux dans le sang, qui augmentent ma douleur, je doit donc boire plus pour éliminner ces cristaux.
Novembre 2007
J’appelle chez un professeur rhumatologue qui m’avait déjà suivi pour mon genou il y a quelques années, et en qui je fais toute confiance. Malheureusement, il est très pris et le rendez-vous n’est pas immédiat. Je demande où je peux voir un rhumatologue, devant l’urgence et au devant de mes douleurs. Je continue à prendre des médicaments.
Juste avant de voir le médecin, on me demande de rayer sur un dessin, la où j’ai mal. La rhumatologue me prescrit un IRM à mon épaule droite et me dit que l’on se concentre sur cette épaule d’abord.
J’appelle une clinique très réputée, où j’avais déjà fait in IRM de mon genou. Rendez-vous non immédiat, sinon, dépassement d’honoraires. 2 docteur près de mon travail, mais ils me donnent des prix différents avec dépassements également et me disent où ils font les IRM. J’appelle l’hôpital, et me disent que pour cet examen, je peux venir directement sans voir de médecin, juste une ordonnance et un papier à remplir, c’est tout.
Cet IRM du 19 Novembre montre, en plus de cette fracture, un médecin sur place montre une rupture partielle d’un tendon.
Le médecin me préconise de recoudre le tendon sous artroscopie, car il y a risque de déchirure.
Je vois mon médecin traitant qui me préconise aussi çela.
J’appelle pour le rendez-vous avec la rhumatologue. Elle me dit que je dois faire des piqures tous les jours pendant 15 jours, puis après 2 fois par semaine pendant 2 semaines, médicaments et balnéothérapie. Elle va me faire prendre également un rendez-vous pour une infiltration sous échographie.
Décembre 2007
On m’appelle de la part de la rhumatologue en me fixant un rendez-vous. On me dit qu’il faut que je me présente au sous-sol, ensuite, je vais devoir aller à l’étage.
Je vais donc me présenter, et puis on me dis d’aller presque au fond du couloir. La, je demande si je peux prendre un relaxant, car je suis très angoissé mais personne n’en a. Je voie, dans ce couloir du sous-sol, et non pas à l’étage, un homme, jeune, habillé en chirurgien ; sur chaussures, veste et masque. Je pense que heureusement il n’est pas la pour moi. En plus, il est dans le couloir, bonjour l’hygiène. Et badaboum, il est la pour moi.
J’entre donc dans la salle où je me met torse nu. L’infirmière me fait remarquer en premier temps que je ne me suis pas rasé l’épaule. J’étais étonné, car personne ne m’a rien dit. Elle me demande ensuite mon ordonnance, j’ai dis que je n’en avais pas. « Obligatoire » elle me répond, et je réplique en disant que c’est la rhumatologue qui m’avait fait prendre ce rendez-vous en interne à l’hôpital. Elle demande aussi si j’ai les médicaments sur moi. Bien sur que non. Elle appelle pour s’occuper de tout, puis me met de la bétadine sur l’épaule en me disant que l’on va me faire une anesthésie locale, m’injecter un produit pour colorer les muscles et m’injecter du sérum physiologique. De plus, j’étais sous un appareil de radiologie et non pas d’échographie comme prévu.
Je suis blanc de peur en disant que ce n’était pas ce qui était prévu et que je n’était pas préparé psychologiquement. Je refuse donc les piqûres et moi je répond que je suis mal pour elle et le chirurgien, car ils ont énormément de travail et sont fatigués. Je regrette pour eux. L’infirmière me dit gentiment que je reviendrais dès que je serais prêt et le médecin me faisait la tête et ne me répondais pas.
Entre-temps, le premier rhumatologue m’a fait appelé et je le voie Lundi.
Je l’ai vu. Il m’a fait une ordonnance pour une radiographie, le médecin m’a dit que ma fracture était consolidée, qu’il ne voyait pas pourquoi le rhumatologue m’en avait faire une,
parcequ’il n’est pas sur de ce que j’ai, c'est-à-dire, une capsulite rétractive au vu de mes mouvements. Je doit faire aussi une échographie dans son service, mais mon rendez-vous n’est que le 7 Février. J'ai reçu le 11 Janvier, un courriel qui avance le rendez-vous au 17 Janvier.
Entre-temps, j’ai eu la secrétaire du chirurgien orthopédique. Ce dernier a pris une année de repos. Elle m’a dit que soit, il m’appelait pour me voir malgré tout, soit il me conseillait un de ses collègues.
15 Février : courrier pour dire que, suite à des circonstances atténuantes, mon rendez-vous du 7 Février a été annulé, et reporté au 21 Février. Je viens d'appeler, mon rendez-vous est bien le 17 Janvier. Il y a dû avoir un croisement entre lettre et courriel.
Rendez-vous du 17 Janvier, échographie artro-musculaire en mouvement. Le médecin pense que ce doit-être une capsulite rétractive.
De plus, il apparait une petite déchirure.
De plus, 2 radios paraissent de l'épaule gauche, elles ont donc étées imprimées à l'envers.
Je vais donner l'échographie et les dernières radiographies au secrétariat du rhumatologue, on doit donc m'appeler pour un rendez-vous.
Puis, je me rend au sécrétariat du Chirurgien pour voir s'il y a des nouvelles de ce dernier, mais il n'y a personne et l'on m'indique d'aller dans le bureau des rendez-vous. On m'en a donné un le 14 Mars avec le chirurgien remplacant.