[Santé] Médecine et déboire
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- Régis
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[Santé] Médecine et déboire
Lors de mon rendez-vous la semaine Mardi dernier, la rhumato m'avait dit, je vais vous faire prendre un rdv pour une infiltration. Jeudi, on m'apelle pour le rdv Lundi.
Arrivé dans le couloir, j'ai vu un médecin en blouse et avec un masque attendant dans le couloir. J'ai pensé "heureusement qu'il n'est pas la pour moi". En plein dans le mille.
Il m'ont demandé mon ordonnance, j'ai dit que c'était la rhumato de l'hôpital qui avait demandé un rdv pour moi directement et que je n'en avais pas. Il m'ont dit : Ah, vous ne vous êtes pas rasé à l'épaule, j'ai précisé que l'on ne m'avait rien dit. L'infirmère m'avait dit vous n'avez pas les médicaments non plus, j'ai dit que tout s'est passé en interne à l'hôpital. On devais me faire une injection sous les muscles sous échographie et la, on m'a dit que l'on me faisait une anésthésie locale, m'injecter un produit pour colorer les muscles, et m'injecter du sérum physiologique, et c'était sous un appareil de radiologie. Non seulement, j'étais vraiment blême parceque ce qu'ils devaient me faire n'était pas prévu au programme, et parceque, moralement, je n'étais pas prêt ::shin:: et puis, quelqu'un que je connais m'a dit que c'était une arthroscopie et que ce ne servait à rien si je n'avais pas de morceau de cartilage qui se promenaient. C'est juste pour détendre mes muscles, et j'ai juste une rupture du tendon.
Arrivé dans le couloir, j'ai vu un médecin en blouse et avec un masque attendant dans le couloir. J'ai pensé "heureusement qu'il n'est pas la pour moi". En plein dans le mille.
Il m'ont demandé mon ordonnance, j'ai dit que c'était la rhumato de l'hôpital qui avait demandé un rdv pour moi directement et que je n'en avais pas. Il m'ont dit : Ah, vous ne vous êtes pas rasé à l'épaule, j'ai précisé que l'on ne m'avait rien dit. L'infirmère m'avait dit vous n'avez pas les médicaments non plus, j'ai dit que tout s'est passé en interne à l'hôpital. On devais me faire une injection sous les muscles sous échographie et la, on m'a dit que l'on me faisait une anésthésie locale, m'injecter un produit pour colorer les muscles, et m'injecter du sérum physiologique, et c'était sous un appareil de radiologie. Non seulement, j'étais vraiment blême parceque ce qu'ils devaient me faire n'était pas prévu au programme, et parceque, moralement, je n'étais pas prêt ::shin:: et puis, quelqu'un que je connais m'a dit que c'était une arthroscopie et que ce ne servait à rien si je n'avais pas de morceau de cartilage qui se promenaient. C'est juste pour détendre mes muscles, et j'ai juste une rupture du tendon.
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- Régis
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Ca dépend aussi des médecins. Je voie un professeur le 24, en qui je fais toute confiance, et si jai vu quelqu'un d'autre , c'est que c'est très difficile de le voir. et il a finit par me faire appeler. En tout cas, si je lui fait confiance, ce n'est pas parcequ'il est très renommé et dans un service très connu, c'est parceque j'avais été dans son service pour mon genoux et il c'était très bien occupé de moi, et ça c'était très bien passé.
- Gadget
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je suis bien désolé pour toi, Régis, mais le rhumato n'a manifestement pas bien fait sn boulot car on ne confond pas une infiltration avec un arthroscanner ou un arthoscopie, ce sont des choses très différentes, et les deux dernières ont d'abord une visée diagnostique avant la visée curative....
Enfin , j'espère qu'en tout cas pour la suite tu seras mieux pris en charge.....
Enfin , j'espère qu'en tout cas pour la suite tu seras mieux pris en charge.....
Modifié en dernier par Gadget le 14 déc. 2007 16:15, modifié 1 fois.
Carpe ridiem, l'usure de ta roue est ta force, Dunlop rime avec sale hop 

- Régis
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Merci gadget. Je ne sais pas si c'est la rhumatologue qui a fait une erreur. De toute façon, il y a erreur de communication interne d'une part, et d'autre part, elle m'avait dit que je devais aller au sous-sol avant de monter à l'étage, et l'examen était au sous-sol. De toute façon, elle n'était pas la, et elle n'est présente que le mardi.
En plus, je lui ai aussi plusieurs fois parlé de mes autres douleurs, j'avais aussi rempli des croix que l'on me demande de faire sur un dessin, et elle n'en a jamais tenu compte.
En plus, je lui ai aussi plusieurs fois parlé de mes autres douleurs, j'avais aussi rempli des croix que l'on me demande de faire sur un dessin, et elle n'en a jamais tenu compte.
- Régis
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Vu une sommité, un professeur en rhumathologie en qui j'ai toute confiance car il est très serieux et compétent, comme il l'a été par le passé.
Eh bien, il m'a dit que j'avais été mal prin en main et que, d'après ce qu'il a vu, n'était pas forcément une capsulite rétractive. Radiographie et échographie, puis on va voir.
Eh bien, il m'a dit que j'avais été mal prin en main et que, d'après ce qu'il a vu, n'était pas forcément une capsulite rétractive. Radiographie et échographie, puis on va voir.
- Régis
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La radiographie que je viens de voir ne révèle rien et le docteur ne comprend pas pourquoi pourquoi je l'ai fait. Certains médecins ne comprennent pas pourquoi je n'ai pas vu de chirurgien à propos de ma fracture du tendon et je n'arrive jamais à joindre le secrétariat d'un chirurgien en qui je fait confiance. J'en ai raz le bol, je laisse tomber. Mon tendon risque de se déchirer, il se déchirera. Et M.....
- gui_gui
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Salut Régis, je compatis ! Des fois on se sent vraiment largué dans un monde Kafkaïen... Hiérarchie inextricable, communication en cul-de-sac, etc... ça me rappelle : 3 jours après mon opération de la hanche, les infirmières avaient pour consigne de "faire lever le malade et de le faire marcher un peu dans la chambre"... sauf que là, je le sentais vraiment pas. Malgré mes protestations un peu molles, elles m'ont forcé à me lever, en me tenant, j'étais dans un état de douleur, de nausée indescriptible. Je suis tombé dans les pommes au beau milieu des infirmières qui m'obligeaient à marcher, et perdre connaissance de cette façon 3 jours seulement après une anesthésie générale, c'est pas ce qui est de plus indiqué. J'étais allongé sur le lino de la chambre avec tout un tas de gens penchés au dessus de moi, avec des gants de toilette mouillés qu'on me tartinait dans la tronche et on me disait de ne plus bouger... ça rassure...
- Régis
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Ah oui, pour être largué, on est largué. A mon réveil d'une celioscopie (on perce au lieu d'ouvrir, on met une lumière, une caméra et des instruments) pour une hernie hiatale, la première phrase dont je me souviens, c'est "eh oh, vous n'êtes pas le seule ici". Juste après plus rien. A mon avis, on m'a rendormi, car j'hurlais certainement.
- gui_gui
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Eh oui, on ne peut que se sentir choqué par ce manque d'humanité de la part du corps médical. En effet on a du mal à admettre que ces gens là n'ont pas fait médecine par amour du prochain, bien au contraire. La médecine permet justement une approche de l'autre purement mécanique, et non pas "sentimentale". En gros, le patient est un bout de barbaque. (désolé pour la caricature)
- Régis
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Des médecins et infirmières ne nous considèrent pas tous comme de la marchandise, mais ce qui est le plus énervant, c'est que certains disent des choses contradictoires et même si tu veux un autre avis, il n'est pas forcément le bon.
La seule solution est d'avoir pas mal d'argent et d'aller dans un hôpital privé où tu donnes aussi à des oeuvres. La, ils vont mieux s'occuper de toi.
Heureusement, ce n'était pas mon cas lorsque j'ai été aux urgences pour mon genou il y a 2 ans à peu près. Attendu 5 heures pour me trouver une chambre. et encore, j'ai eu de la chance.
La seule solution est d'avoir pas mal d'argent et d'aller dans un hôpital privé où tu donnes aussi à des oeuvres. La, ils vont mieux s'occuper de toi.
Heureusement, ce n'était pas mon cas lorsque j'ai été aux urgences pour mon genou il y a 2 ans à peu près. Attendu 5 heures pour me trouver une chambre. et encore, j'ai eu de la chance.
- Régis
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Voila le dernier compte rendu. Remarquez, ça me fait de l'occupation
Bonne lecture
Le 2 Mars 2007 : ski à « NOTRE DAME DE BELLECOMBE ».
Dérapage en travers et en parallèle avant les remontes pentes. Et la, en pleines minuscules bosses, je tombe assez lourdement. Mes skis s’en vont, ma tête et mon bras droit heurtent violement sur la neige très dure et très peu dense due à un hiver très peu rigoureux.
Je reste à terre jusqu’à ce qu’un secouriste vienne me voir. (Il y a une caserne de pompiers, juste à côté, mais fermée depuis peu). Je suis sous le choc. Le secouriste me demande si je suis en état de me relever et m’aide avec une écharpe. Etant donné que mon bras est de travers, il m’indique que je vais être évacué chez un docteur à quelques kilomètres de la station (la ou je suis, il n’y en a pas) et qu’il va me remettre mon épaule en place. J’arrive chez le docteur en ambulance, il me fait une radio, me fait une radiographie, me conseille d’en refaire une 8 jours après, puis me prescrit des médicaments et une écharpe de contention.
De plus, j’ai une petite luxation au pourtant, je n’aurais pas du l’avoir, mais on me dite que mes chaussures de skis devaient êtres mal serrées.
Le 12 Mars, une radiographie me montre que j’ai une fracture du trochiter non déplacée et non détectée chez le 1er médecin. Je l’appelle mais, au lieu de s’excuser, il prend juste une voix embarrassée, c’est tout. Mon médecin traitant m’envoie faire une échographie qui détecte une bonne tendinite avec du liquide due certainement au port de l’écharpe.
Rééducation chez une kiné, mais elle me fait plus de mal que de bien. Elle dit qu’elle doit forcer, car j’ai trop de muscles abîmés, mais mon médecin me dit que l’on ne doit pas forcer. J’arrête la Kiné.
6 Avril radios qui montre une discrète solution de continuité du trochiter et une discrète ascnsion de la tête humérale droite.
25 Juin, des radiographies me montre toujours la fracture, mais rien d'autre.
Radio de nouveau, la fracture est toujours présente, car l’épaule bouge toujours.
Le 29 Octobre, un bilan sanguin montre un taux légèrement plus élevé d'acide urique, ce qui, d'après le laloratoire et le médecin, me donne des cristaux dans le sang, qui augmentent ma douleur, je doit donc boire plus pour éliminner ces cristaux.
Novembre 2007
J’appelle chez un professeur rhumatologue qui m’avait déjà suivi pour mon genou il y a quelques années, et en qui je fais toute confiance. Malheureusement, il est très pris et le rendez-vous n’est pas immédiat. Je demande où je peux voir un rhumatologue, devant l’urgence et au devant de mes douleurs. Je continue à prendre des médicaments.
Juste avant de voir le médecin, on me demande de rayer sur un dessin, la où j’ai mal. La rhumatologue me prescrit un IRM à mon épaule droite et me dit que l’on se concentre sur cette épaule d’abord.
J’appelle une clinique très réputée, où j’avais déjà fait in IRM de mon genou. Rendez-vous non immédiat, sinon, dépassement d’honoraires. 2 docteur près de mon travail, mais ils me donnent des prix différents avec dépassements également et me disent où ils font les IRM. J’appelle l’hôpital, et me disent que pour cet examen, je peux venir directement sans voir de médecin, juste une ordonnance et un papier à remplir, c’est tout.
Cet IRM du 19 Novembre montre, en plus de cette fracture, un médecin sur place montre une rupture partielle d’un tendon.
Le médecin me préconise de recoudre le tendon sous artroscopie, car il y a risque de déchirure.
Je vois mon médecin traitant qui me préconise aussi çela.
J’appelle pour le rendez-vous avec la rhumatologue. Elle me dit que je dois faire des piqures tous les jours pendant 15 jours, puis après 2 fois par semaine pendant 2 semaines, médicaments et balnéothérapie. Elle va me faire prendre également un rendez-vous pour une infiltration sous échographie.
Décembre 2007
On m’appelle de la part de la rhumatologue en me fixant un rendez-vous. On me dit qu’il faut que je me présente au sous-sol, ensuite, je vais devoir aller à l’étage.
Je vais donc me présenter, et puis on me dis d’aller presque au fond du couloir. La, je demande si je peux prendre un relaxant, car je suis très angoissé mais personne n’en a. Je voie, dans ce couloir du sous-sol, et non pas à l’étage, un homme, jeune, habillé en chirurgien ; sur chaussures, veste et masque. Je pense que heureusement il n’est pas la pour moi. En plus, il est dans le couloir, bonjour l’hygiène. Et badaboum, il est la pour moi.
J’entre donc dans la salle où je me met torse nu. L’infirmière me fait remarquer en premier temps que je ne me suis pas rasé l’épaule. J’étais étonné, car personne ne m’a rien dit. Elle me demande ensuite mon ordonnance, j’ai dis que je n’en avais pas. « Obligatoire » elle me répond, et je réplique en disant que c’est la rhumatologue qui m’avait fait prendre ce rendez-vous en interne à l’hôpital. Elle demande aussi si j’ai les médicaments sur moi. Bien sur que non. Elle appelle pour s’occuper de tout, puis me met de la bétadine sur l’épaule en me disant que l’on va me faire une anesthésie locale, m’injecter un produit pour colorer les muscles et m’injecter du sérum physiologique. De plus, j’étais sous un appareil de radiologie et non pas d’échographie comme prévu.
Je suis blanc de peur en disant que ce n’était pas ce qui était prévu et que je n’était pas préparé psychologiquement. Je refuse donc les piqûres et moi je répond que je suis mal pour elle et le chirurgien, car ils ont énormément de travail et sont fatigués. Je regrette pour eux. L’infirmière me dit gentiment que je reviendrais dès que je serais prêt et le médecin me faisait la tête et ne me répondais pas.
Entre-temps, le premier rhumatologue m’a fait appelé et je le voie Lundi.
Je l’ai vu. Il m’a fait une ordonnance pour une radiographie, le médecin m’a dit que ma fracture était consolidée, qu’il ne voyait pas pourquoi le rhumatologue m’en avait faire une,
parcequ’il n’est pas sur de ce que j’ai, c'est-à-dire, une capsulite rétractive au vu de mes mouvements. Je doit faire aussi une échographie dans son service, mais mon rendez-vous n’est que le 7 Février. J'ai reçu le 11 Janvier, un courriel qui avance le rendez-vous au 17 Janvier.
Entre-temps, j’ai eu la secrétaire du chirurgien orthopédique. Ce dernier a pris une année de repos. Elle m’a dit que soit, il m’appelait pour me voir malgré tout, soit il me conseillait un de ses collègues.
15 Février : courrier pour dire que, suite à des circonstances atténuantes, mon rendez-vous du 7 Février a été annulé, et reporté au 21 Février. Je viens d'appeler, mon rendez-vous est bien le 17 Janvier. Il y a dû avoir un croisement entre lettre et courriel.
Rendez-vous du 17 Janvier, échographie artro-musculaire en mouvement. Le médecin pense que ce doit-être une capsulite rétractive.
De plus, il apparait une petite déchirure.
De plus, 2 radios paraissent de l'épaule gauche, elles ont donc étées imprimées à l'envers.
Je vais donner l'échographie et les dernières radiographies au secrétariat du rhumatologue, on doit donc m'appeler pour un rendez-vous.
Puis, je me rend au sécrétariat du Chirurgien pour voir s'il y a des nouvelles de ce dernier, mais il n'y a personne et l'on m'indique d'aller dans le bureau des rendez-vous. On m'en a donné un le 14 Mars avec le chirurgien remplacant.

Bonne lecture

Le 2 Mars 2007 : ski à « NOTRE DAME DE BELLECOMBE ».
Dérapage en travers et en parallèle avant les remontes pentes. Et la, en pleines minuscules bosses, je tombe assez lourdement. Mes skis s’en vont, ma tête et mon bras droit heurtent violement sur la neige très dure et très peu dense due à un hiver très peu rigoureux.
Je reste à terre jusqu’à ce qu’un secouriste vienne me voir. (Il y a une caserne de pompiers, juste à côté, mais fermée depuis peu). Je suis sous le choc. Le secouriste me demande si je suis en état de me relever et m’aide avec une écharpe. Etant donné que mon bras est de travers, il m’indique que je vais être évacué chez un docteur à quelques kilomètres de la station (la ou je suis, il n’y en a pas) et qu’il va me remettre mon épaule en place. J’arrive chez le docteur en ambulance, il me fait une radio, me fait une radiographie, me conseille d’en refaire une 8 jours après, puis me prescrit des médicaments et une écharpe de contention.
De plus, j’ai une petite luxation au pourtant, je n’aurais pas du l’avoir, mais on me dite que mes chaussures de skis devaient êtres mal serrées.
Le 12 Mars, une radiographie me montre que j’ai une fracture du trochiter non déplacée et non détectée chez le 1er médecin. Je l’appelle mais, au lieu de s’excuser, il prend juste une voix embarrassée, c’est tout. Mon médecin traitant m’envoie faire une échographie qui détecte une bonne tendinite avec du liquide due certainement au port de l’écharpe.
Rééducation chez une kiné, mais elle me fait plus de mal que de bien. Elle dit qu’elle doit forcer, car j’ai trop de muscles abîmés, mais mon médecin me dit que l’on ne doit pas forcer. J’arrête la Kiné.
6 Avril radios qui montre une discrète solution de continuité du trochiter et une discrète ascnsion de la tête humérale droite.
25 Juin, des radiographies me montre toujours la fracture, mais rien d'autre.
Radio de nouveau, la fracture est toujours présente, car l’épaule bouge toujours.
Le 29 Octobre, un bilan sanguin montre un taux légèrement plus élevé d'acide urique, ce qui, d'après le laloratoire et le médecin, me donne des cristaux dans le sang, qui augmentent ma douleur, je doit donc boire plus pour éliminner ces cristaux.
Novembre 2007
J’appelle chez un professeur rhumatologue qui m’avait déjà suivi pour mon genou il y a quelques années, et en qui je fais toute confiance. Malheureusement, il est très pris et le rendez-vous n’est pas immédiat. Je demande où je peux voir un rhumatologue, devant l’urgence et au devant de mes douleurs. Je continue à prendre des médicaments.
Juste avant de voir le médecin, on me demande de rayer sur un dessin, la où j’ai mal. La rhumatologue me prescrit un IRM à mon épaule droite et me dit que l’on se concentre sur cette épaule d’abord.
J’appelle une clinique très réputée, où j’avais déjà fait in IRM de mon genou. Rendez-vous non immédiat, sinon, dépassement d’honoraires. 2 docteur près de mon travail, mais ils me donnent des prix différents avec dépassements également et me disent où ils font les IRM. J’appelle l’hôpital, et me disent que pour cet examen, je peux venir directement sans voir de médecin, juste une ordonnance et un papier à remplir, c’est tout.
Cet IRM du 19 Novembre montre, en plus de cette fracture, un médecin sur place montre une rupture partielle d’un tendon.
Le médecin me préconise de recoudre le tendon sous artroscopie, car il y a risque de déchirure.
Je vois mon médecin traitant qui me préconise aussi çela.
J’appelle pour le rendez-vous avec la rhumatologue. Elle me dit que je dois faire des piqures tous les jours pendant 15 jours, puis après 2 fois par semaine pendant 2 semaines, médicaments et balnéothérapie. Elle va me faire prendre également un rendez-vous pour une infiltration sous échographie.
Décembre 2007
On m’appelle de la part de la rhumatologue en me fixant un rendez-vous. On me dit qu’il faut que je me présente au sous-sol, ensuite, je vais devoir aller à l’étage.
Je vais donc me présenter, et puis on me dis d’aller presque au fond du couloir. La, je demande si je peux prendre un relaxant, car je suis très angoissé mais personne n’en a. Je voie, dans ce couloir du sous-sol, et non pas à l’étage, un homme, jeune, habillé en chirurgien ; sur chaussures, veste et masque. Je pense que heureusement il n’est pas la pour moi. En plus, il est dans le couloir, bonjour l’hygiène. Et badaboum, il est la pour moi.
J’entre donc dans la salle où je me met torse nu. L’infirmière me fait remarquer en premier temps que je ne me suis pas rasé l’épaule. J’étais étonné, car personne ne m’a rien dit. Elle me demande ensuite mon ordonnance, j’ai dis que je n’en avais pas. « Obligatoire » elle me répond, et je réplique en disant que c’est la rhumatologue qui m’avait fait prendre ce rendez-vous en interne à l’hôpital. Elle demande aussi si j’ai les médicaments sur moi. Bien sur que non. Elle appelle pour s’occuper de tout, puis me met de la bétadine sur l’épaule en me disant que l’on va me faire une anesthésie locale, m’injecter un produit pour colorer les muscles et m’injecter du sérum physiologique. De plus, j’étais sous un appareil de radiologie et non pas d’échographie comme prévu.
Je suis blanc de peur en disant que ce n’était pas ce qui était prévu et que je n’était pas préparé psychologiquement. Je refuse donc les piqûres et moi je répond que je suis mal pour elle et le chirurgien, car ils ont énormément de travail et sont fatigués. Je regrette pour eux. L’infirmière me dit gentiment que je reviendrais dès que je serais prêt et le médecin me faisait la tête et ne me répondais pas.
Entre-temps, le premier rhumatologue m’a fait appelé et je le voie Lundi.
Je l’ai vu. Il m’a fait une ordonnance pour une radiographie, le médecin m’a dit que ma fracture était consolidée, qu’il ne voyait pas pourquoi le rhumatologue m’en avait faire une,
parcequ’il n’est pas sur de ce que j’ai, c'est-à-dire, une capsulite rétractive au vu de mes mouvements. Je doit faire aussi une échographie dans son service, mais mon rendez-vous n’est que le 7 Février. J'ai reçu le 11 Janvier, un courriel qui avance le rendez-vous au 17 Janvier.
Entre-temps, j’ai eu la secrétaire du chirurgien orthopédique. Ce dernier a pris une année de repos. Elle m’a dit que soit, il m’appelait pour me voir malgré tout, soit il me conseillait un de ses collègues.
15 Février : courrier pour dire que, suite à des circonstances atténuantes, mon rendez-vous du 7 Février a été annulé, et reporté au 21 Février. Je viens d'appeler, mon rendez-vous est bien le 17 Janvier. Il y a dû avoir un croisement entre lettre et courriel.
Rendez-vous du 17 Janvier, échographie artro-musculaire en mouvement. Le médecin pense que ce doit-être une capsulite rétractive.
De plus, il apparait une petite déchirure.
De plus, 2 radios paraissent de l'épaule gauche, elles ont donc étées imprimées à l'envers.
Je vais donner l'échographie et les dernières radiographies au secrétariat du rhumatologue, on doit donc m'appeler pour un rendez-vous.
Puis, je me rend au sécrétariat du Chirurgien pour voir s'il y a des nouvelles de ce dernier, mais il n'y a personne et l'on m'indique d'aller dans le bureau des rendez-vous. On m'en a donné un le 14 Mars avec le chirurgien remplacant.
dites, est-ce que quelqu'un sait quel sont les passerelles vers la médecine après avoir travaillé dans la vae du coaching ?
parce que j'ai tout ça à débattre avec Igor ou des gens passionnés qui deviennent sérieux par la force des choses...
exemple :
liquide, solide ou un chewing-gum. Ceci évite une trop grande perturbation du mental, permettant de regagner sa voiture ou son domicile sans corrompre l’évolution et la confiance.
Pour les chutes plus lourdes, une prise en charge des plaies et impérative. Les consignes de sécurité correspondent aux PSC1.
L’hygiène :
La poussière est omniprésente en roller et skate. La montagne et la mer impose la protection thermique, ici, un hygiène corporelle est à considérer tant les outils ; patins, skates, sont en permanence, au sol. Ceci impose une vigilance envers le lavage des mains, étant inévitablement en contact avec les éléments de glisse. (surtout le skate)
L’approche passive / active en sécurité :
En terme de roller et skate, l’art martial de ces sports génère une pleine connaissance de ces capacités à recouvrer ses blessures. En tout état de cause, les blessures graves sont rare. Cependant, il convient de savoir que les contusions bénignes et ponctuelle ne sont pas exclues d'une pratique engagée ou régulière.
Le partage de l’espace public :
Le terrain de pratique des sports urbains est infini. Un sol goudronné, bétonné, permet une expression dans tout les domaines de l’aménagement public. Cependant, il convient de définir une notion d’appropriation de l’espace en fonction du caractère de chaque patineur. D’un pratiquant en zone sécurisée, il faut aussi considérer les
parce que j'ai tout ça à débattre avec Igor ou des gens passionnés qui deviennent sérieux par la force des choses...
exemple :
liquide, solide ou un chewing-gum. Ceci évite une trop grande perturbation du mental, permettant de regagner sa voiture ou son domicile sans corrompre l’évolution et la confiance.
Pour les chutes plus lourdes, une prise en charge des plaies et impérative. Les consignes de sécurité correspondent aux PSC1.
L’hygiène :
La poussière est omniprésente en roller et skate. La montagne et la mer impose la protection thermique, ici, un hygiène corporelle est à considérer tant les outils ; patins, skates, sont en permanence, au sol. Ceci impose une vigilance envers le lavage des mains, étant inévitablement en contact avec les éléments de glisse. (surtout le skate)
L’approche passive / active en sécurité :
En terme de roller et skate, l’art martial de ces sports génère une pleine connaissance de ces capacités à recouvrer ses blessures. En tout état de cause, les blessures graves sont rare. Cependant, il convient de savoir que les contusions bénignes et ponctuelle ne sont pas exclues d'une pratique engagée ou régulière.
Le partage de l’espace public :
Le terrain de pratique des sports urbains est infini. Un sol goudronné, bétonné, permet une expression dans tout les domaines de l’aménagement public. Cependant, il convient de définir une notion d’appropriation de l’espace en fonction du caractère de chaque patineur. D’un pratiquant en zone sécurisée, il faut aussi considérer les
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Y'aurait pas 41 posts au compteur (dont certains pas complètement délirants), j'aurais parié sur un robot spammeur postant des mots et bouts de phrase au hasard, juste pour mettre en avant le lien www dans son profil.
... et je me demande si je n'aurais pas préféré, parce que là au moins, j'aurais cru percevoir un embryon de rationalité à l'affaire...

... et je me demande si je n'aurais pas préféré, parce que là au moins, j'aurais cru percevoir un embryon de rationalité à l'affaire...

Sexa pathétique à roulettes (purée, j'ai commencé ces signatures à "quadra"...)
- Gadget
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j'ai tout lu... digestion difficile! un certain nombres d'incohérences, quelques invraissemblances aussi.
Un conseil pour Régis: fais toi accompagner par quelqu'un de ton assurance la prochaine fois, il pourra relever ce qui est de l'erreur de prise en charge de l'abusif ou du charlatanisme, mais surtout il pourra t'éclairer sur le "parcours patient" et lers modalité habituelle de bonne prise ne charge.
Enfin pour rappeler à tous un élément essentiel: la "Médecine" n'est pas toute puissante ni parfaite ne vous en déplaise, c'est une science humaine qui met en relation des humains avec son lots de non dit, de mak compris et tout et tout...
Un conseil pour Régis: fais toi accompagner par quelqu'un de ton assurance la prochaine fois, il pourra relever ce qui est de l'erreur de prise en charge de l'abusif ou du charlatanisme, mais surtout il pourra t'éclairer sur le "parcours patient" et lers modalité habituelle de bonne prise ne charge.
Enfin pour rappeler à tous un élément essentiel: la "Médecine" n'est pas toute puissante ni parfaite ne vous en déplaise, c'est une science humaine qui met en relation des humains avec son lots de non dit, de mak compris et tout et tout...
Carpe ridiem, l'usure de ta roue est ta force, Dunlop rime avec sale hop 

- Régis
- Membre bienfaiteur
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- Enregistré le : 11 mars 2007 10:46
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Merci de ton conseil gadget, mais si à chaque fois que je voie le docteur je dois me faire accompagner d'un conseiller, il vont me prendre pour un dingue
Plus de peur que de mal.
En France, un enregistrement audio ou vidéo n'est pas officiel, sinon je le ferait depuis bien longtemps.
Quand on me demande des conseils pour un docteur, je ne préfère pas, car même s'il a été bien avec moi, il peut ne pas convenir à une autre personne.
La meilleure chose en cas de doute sur quelque chose qui peut-être grave est d'avoir plusieurs avis.
Il faut savoir aussi que pour certains spécialistes, pas besoin de passer par le médecin traitant, tel que l'ophtalmo.
Je sait que la médecine n'est pas parfaite.

Plus de peur que de mal.
En France, un enregistrement audio ou vidéo n'est pas officiel, sinon je le ferait depuis bien longtemps.
Quand on me demande des conseils pour un docteur, je ne préfère pas, car même s'il a été bien avec moi, il peut ne pas convenir à une autre personne.
La meilleure chose en cas de doute sur quelque chose qui peut-être grave est d'avoir plusieurs avis.
Il faut savoir aussi que pour certains spécialistes, pas besoin de passer par le médecin traitant, tel que l'ophtalmo.
Je sait que la médecine n'est pas parfaite.