[Solo] Dormir ou pas ?
Posté : 21 juin 2009 23:44
J-6 jours... Bouffetance saine, check - Provisions de barres et de poudres pour la course, check - Plan alimentaire, check - Rollers au confort éprouvé (pas comme ceux de l'année dernière...) avec des roues neuves et des roulements choyés, check - Les accessoires habituels, check - L'entrainement, euh... Franchement pas assez d'entraînement à part mes salvateurs trajets quotidiens - il faudrait que je rehausse ça dans mes priorités... Ca donnera ce que ça donnera, mais je serai quoiqu'il en soit ravi d'aller à la rencontre de moi-même sur le circuit.
Une question continue néanmoins à me tarauder : dormir ou pas ?
Le moment le plus dur pour moi c'est la seconde partie de la nuit - vers 2H30 - 4H30. Avant, je suis frais, et après je ne le suis plus mais ze power of ze dark side fait avancer pas à pas malgré tout. Mais de trois heures à cinq heures c'est le point bas de mon rythme circadien, c'est un peu de stress sécuritaire vue la baisse de vigilance et c'est aussi la mi-course et sa remise en question psychologique. Bref - à ce moment là j'avais tendance à privilégier une grosse pause salutaire (presque deux heures l'année dernière à ce moment, dont 1H30 de sommeil) d'autant que l'année dernière mes rollers inadaptés me torturaient les pieds.
Mais à partir du moment où on se sent bien dans ses rollers, s'alimenter en route et récupérer en continu est un atout décisif pour gagner des tours pendant que les autres dorment - le lièvre, la tortue et tout ça... La stratégie de Rphil du "mouvement perpétuel" l'illustre, et d'autres ont aussi déja fait ce choix avec succès. Et puis 1H30 de sommeil font-elle une telle différence ? Un stimulant caféiné (je n'en utilise habituellement jamais) peut-il aider à passer ce cap de baisse de vigilance ?
Si j'hésite sur la question du sommeil, je suis bien rôdé pour le reste : pause à chaque fois que ma bosse de chameau est vide, avec quelques étirements au passage pendant que je m'assied par terre en remplissant. Je conserverai certainement ces petites pauses qui me vont bien, même si j'apprécierai de ne pas être tout seul pour assurer à la fois la course et la logistique. Donc probablement pas de mouvement perpétuel pour moi... Mais pour le sommeil, j'hésite encore...
Et vous ? Dormir ou pas ?
Une question continue néanmoins à me tarauder : dormir ou pas ?
Le moment le plus dur pour moi c'est la seconde partie de la nuit - vers 2H30 - 4H30. Avant, je suis frais, et après je ne le suis plus mais ze power of ze dark side fait avancer pas à pas malgré tout. Mais de trois heures à cinq heures c'est le point bas de mon rythme circadien, c'est un peu de stress sécuritaire vue la baisse de vigilance et c'est aussi la mi-course et sa remise en question psychologique. Bref - à ce moment là j'avais tendance à privilégier une grosse pause salutaire (presque deux heures l'année dernière à ce moment, dont 1H30 de sommeil) d'autant que l'année dernière mes rollers inadaptés me torturaient les pieds.
Mais à partir du moment où on se sent bien dans ses rollers, s'alimenter en route et récupérer en continu est un atout décisif pour gagner des tours pendant que les autres dorment - le lièvre, la tortue et tout ça... La stratégie de Rphil du "mouvement perpétuel" l'illustre, et d'autres ont aussi déja fait ce choix avec succès. Et puis 1H30 de sommeil font-elle une telle différence ? Un stimulant caféiné (je n'en utilise habituellement jamais) peut-il aider à passer ce cap de baisse de vigilance ?
Si j'hésite sur la question du sommeil, je suis bien rôdé pour le reste : pause à chaque fois que ma bosse de chameau est vide, avec quelques étirements au passage pendant que je m'assied par terre en remplissant. Je conserverai certainement ces petites pauses qui me vont bien, même si j'apprécierai de ne pas être tout seul pour assurer à la fois la course et la logistique. Donc probablement pas de mouvement perpétuel pour moi... Mais pour le sommeil, j'hésite encore...
Et vous ? Dormir ou pas ?