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bonjour

pas de grand prix roller à Chambéry cette année....

la date du 14 mars coincide avec les élections régionales et l'école qui accueille le "village inscriptions-buvette-organisation" est occupée par un bureau de vote.

la course cycliste co partenaire de l'organisation s'est délocalisée sur un circuit non envisageable en roller.

un report sur le 2 mai en centre ville est à l'étude.

G DETROYAT
président du RRCC
secrétaire du CDRS73

Merci pour l'info et pour ce que vous faites dans le 73, Greg.

bon courage !

PascalSR a écrit :Merci pour l'info et pour ce que vous faites dans le 74, Greg.

Hérétique !!! 73 !!!

bah vive "les" savoie ( sans "s")

tant mieux, peut etre on aura un circuit plus plat et à une meilleure date pour avoir plus de kil dans les jambes vu qu'on a encore la neige ici.

Oui, on peut espérer que le ski maintienne le niveau

Mais c'est un moindre mal...

pour le fond je dis pas, mais pour l'alpin bof.

Niveau physique pour le fond oui, mais pas tant que ça au niveau technique (cf la poussée des jambes et le retour du patin, prise de carres). Pour l'alpin, ça fait travailler pas mal les chevilles et les jambiers. Donc AMHA un mix des 2 est profitable !

bon...chut hein ! mais comme il fait froid dehors, eh bien entamons tranquilou ce sujet...en plus il se met encore à neiger donc.....

Le fond est particulièrement adapté pour garder l'ensembles des chaines musculaires en eveil durant l'hiver, notament les membres inférieurs et du bassin.

Perso, depuis que je fais du roller de vitesse (recent) eh bien je pose de suite bien mieux mon pied sur la carre extérieure du ski d'attaque en debut de saison.
La position fléchie des jambes et la phase de poussée correspondent de pres aux amplitudes et au type d'effort du roller.

Pour l'alpin (que je ne pratique plus) la position serrée ( godille ou bon niveau) ne permet pas les détentes/extensions comme le roller. On travaille assez souvent en isométrie et l'amplitude des mouvements ( flexion/extension) est tres limitée, les adducteurs ne travaillent quasiment pas.

Tu parles des chevilles, eh bien au niveau amplitude; les mouvements du fond sont aussi plus adaptés. L'alpin propose plus de sollicitation et de charge du fait des nombreuses bosses mais le travail d'amplitude de la cheville ( sans compter le maintien des chaussures) est plus limité.

bref.....

Faudra des bornes de roller pour aller à chambery en mai

alpi a écrit :Le fond est particulièrement adapté pour garder l'ensembles des chaines musculaires en eveil durant l'hiver, notament les membres inférieurs et du bassin.

C'est ce que je sous-entendais par le maintien du côté physique. Mais ne pas oublier que tu plies plus les jambes en roller, notamment pour le croisé ; heureusement il y a la salle pour bosser ça.

alpi a écrit :Perso, depuis que je fais du roller de vitesse (recent) eh bien je pose de suite bien mieux mon pied sur la carre extérieure du ski d'attaque en debut de saison. La position fléchie des jambes et la phase de poussée correspondent de pres aux amplitudes et au type d'effort du roller.

Oui pour avoir un niveau correct ; mais si tu aspires à avoir un très bon niveau de roller (une bonne vitesse de pointe), ce ne sera pas suffisant et tu t'installeras dans un niveau d'amateur correct sans accéder au petit plus (j'en suis un exemple !). Pour améliorer la poussée, il faut qu'elle soit la plus longue possible, et là 2 solutions ou soit tu plies tes jambes à fond où soit tu balances ton centre de gravité au delà de ta chaussure en carre externe ; difficile en ski de fond, accessible en roller. Autre chose, il ne faut pas négliger le retour du patin, qui à un moment doit être le plus loin possible derrière toi, à la perpendiculaire du sol ; difficile de travailler ça avec des skis au pied. Et oui, c'est un sport d'endurance des plus techniques, rares sont les grands sportifs immigrants réussissant une reconversion.

alpi a écrit :Pour l'alpin (que je ne pratique plus) la position serrée ( godille ou bon niveau) ne permet pas les détentes/extensions comme le roller. On travaille assez souvent en isométrie et l'amplitude des mouvements ( flexion/extension) est tres limitée, les adducteurs ne travaillent quasiment pas.

Tu parles des chevilles, eh bien au niveau amplitude; les mouvements du fond sont aussi plus adaptés. L'alpin propose plus de sollicitation et de charge du fait des nombreuses bosses mais le travail d'amplitude de la cheville ( sans compter le maintien des chaussures) est plus limité.

Je n'ai qu'un niveau intermédiaire en alpin (en gros pistes rouges), mais de mon point de vue il est plus important de travailler la musculature de la cheville que son amplitude, souvent déjà acquise. D'ailleurs les chaussures d'alpin ne monteraient pas aussi haut sur la jambe si la musculature standard de la cheville suffisait.

Comme tu dis, bref, et il est l'heure pour moi d'aller rouler en salle !

Toox a écrit :

PascalSR a écrit :Merci pour l'info et pour ce que vous faites dans le 74, Greg.

Hérétique !!! 73 !!!

Ah oui, pardon ! J'ai vraiment pas fait gaffe…

Mais ça n'enlève rien au mal que vous vous donnez pour le roller dans la région… Rhône-Alpes.