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En sortant ce matin sur une piste recouverte d'un épais tapis de feuilles mouillées particulièreemnt glissantes, je me demandais s'il y avait une technique de pose des rollers, de placement du centre de gravité pour conserver sa vitesse ou au moins limiter les dégas.

Je ne parle pas d'un passage d'une dizaine de mètres, mais de chemins en sous bois sur plusieurs centaines de mètres voire kilométres (pas une centaine de kilométres ).

La poussée lattérale est inéficace car tout de suite en perte d'adhérence (sans être en carre interne pour autant), une piste peut être en poussant le pied vers l'avant dès le contact au sol ?
J'imagine que cette technique pourrait être extrapolée dans les montées glissantes.

il faut rouler comme si tu faisais si tu étais dans la lune (espace) càd mouvements biens suivis et retenus. sans oublier de s'abaisser par précaution et d'allonger/minimiser ses pas.

ça doit limiter les dégâts mais ça reste une pratique assez difficile.
la montée l'est bcp trop.

Tout à fait Tristank ! Et si les montées sont difficiles, je te raconte pas la dangerosité des descentes ! Franchement, les feuilles mortes, ça craint. J'en connais même qui ont failli se planter en VTT : Arrivés trop vite dans une descente, en bas, impossible de négocier un virage sur les feuilles mortes. Alors, direction tout droit à travers champs. Et heureusement pour eux que c'était un champ, et pas des arbres ou un mur.

sur les feuilles mortes une seule technique: à fond à fond à fond.... tout droit

C'est un exercice en effet plutôt perilleux de rouler sur des feuilles...faudrait penser à inventer des feuilles à rouler

Gadget a écrit :sur les feuilles mortes une seule technique: à fond à fond à fond.... tout droit

chanceux.

et attention aux teints clairs, car les feuilles mortes (débris) ont définitivement ruiné ma seule paire de basket "blanche", je me suis amusé à taper dans le tas comme sur la neige...

ma seule technique pour les feuilles mortes : l'évitement.

S'il y a plusieurs kilomètres à parcourir sur ce type de "revetement" c'est pas compliqué je passe à un autre mode de transport.

Vous confirmez donc ce que je craignais, face aux feuilles une seule soluce : faire comme s'il n'y en avait pas et attendre le printemps...

Donc pour résumer, je ferme les yeux, je pousse sur les talons et j'atend que l'adhérence revienne.

C'est très dangereux, parce que d'un endroit à l'autre les mêmes feuilles peuvent êtres sèches (pas de souci) ou grasses (perte d'adhérence totale) et il n'y a pas vraiment de technique, c'est comme marcher sur une peau de banane ou une bouse de chien.

Même en étant particulièrement prudente et attentive tu peux te faire surprendre, surtout si le revêtement est déjà un peu glissant au départ (comme certaines bandes de bitume frais très noir qui se transforme en patinoire à la moindre goutte de pluie).

Si c'est tout un chemin qui en est recouvert et qu'il a plut --> vélo

Le roller est un sport de glisse et d'équilibre, c'est le plaisir qui doit dicter ses sorties en conditions délicates.

Je ne recherche pas le mouillé et le glissant, pourtant quand j'en rencontre, je trouve ça plutôt rigolo. Evidemment, il ne faut pas que ça dure trop longtemps et que ça finisse par ressembler à une punition. Et bien entendu, il n'est plus question de performance, mais de jeux.

C'est un exercice utile pour mieux connaître ses limites , à condition d'éviter de prendre des risques excessifs. (Eviter les descentes rapides!)

Comme le dit Tristank, il faut gérer sa poussée en douceur, en évitant de trop éloigner ses 2 pieds latéralement, pour pouvoir poser rapidement le deuxième près du premier quand celui-ci se dérobe. Et s'accroupir prestement en cas de déséquilibre.

Si on contrôle bien au début, il faut arrêter le jeux avant d'être fatigué, car c'est là qu'est le risque principal: les 2 km ou les 10 mn de trop...

J'ai joué à ça y'a pas longtemps. Descente à côté du Troca sur le trottoir (là est peut-être l'erreur...) et feuilles par terre.

Je me suis rendu compte que le freinage sur cette descente modérée devenait inexistant. Pas de grosse tralle à la clé mais une belle frayeur. J'ai failli embrasser un arbre, sous le coup de l'émotion.

Les Feuilles grasses sont des ennemies mortelles difficiles à distinguer, c'est l'équivalent des petits cailloux, petites branches. ça fait trèèèèèès mallll.

plus que chuter de façon prévisible.

jp2copter a raison. Pour moi, pour rouler sur les feilles en descente, par exemple, laisser les patins l'un derrière l'autre puis, se laisser glisser tout droit dans les descentes.

Pour les montées, c'est vrai que c'est plus dur, mais serrer plus les patins dans le rythme, les laisser donc moins de temps en l'air.

Les feuilles sèches peuvent aussi être surprenantes!

Vécu à la ride d'aujourd'hui: des branchettes cachées sous les feuilles.

Bien sur, il m'en faut plus pour tomber, et c'est une vieille branche (un pote rider!) qui a réussi à me faire bouler... Sans mal.

Sinon, pour aborder une descente sur feuilles glissantes, je préconise le freinage en demi chasse neige.
Un patin qui roule en conservant la direction, et l'autre en travers sur l'avant.
Si le freinage n'est pas suffisant et qu'on sent qu'on accélère plus que souhaité, on est déjà en position pour terminer le cess slide qui est déjà à moitié fait par le patin en travers sur l'avant.
Il suffit de mettre le second patin parallèle au premier (en travers de la pente) en s'accroupissant sur la jambe arrière.
On peut même contrôler la stabilité en posant la main arrière au sol, si elle est protégée...

pas de secret, prends une bonne vitesse en arrivant et passe patins alignés

Pour la montée perso je vois pas trop comment faire sur un sol vraiment très glissant, à part prendre une paire de tennis au cas où.


Comme dit plus haut attention aux branches voir aux nids de poules qui ne pardonnent jamais ^^

Par contre d'excellents spots pour travailler les magic slide et autres je suppose !

jp2copter a écrit : Sinon, pour aborder une descente sur feuilles glissantes, je préconise le freinage en demi chasse neige.
Un patin qui roule en conservant la direction, et l'autre en travers sur l'avant.
Si le freinage n'est pas suffisant et qu'on sent qu'on accélère plus que souhaité, on est déjà en position pour terminer le cess slide qui est déjà à moitié fait par le patin en travers sur l'avant.
Il suffit de mettre le second patin parallèle au premier (en travers de la pente) en s'accroupissant sur la jambe arrière.
On peut même contrôler la stabilité en posant la main arrière au sol, si elle est protégée...

J'ai découvert cette technique par inadvertance en travaillant le chasse-neige sous la pluie (plus ça glisse plus c'est facile pour débuter) et c'est maintenant ma manière préférée de contrôler ma vitesse sur des surfaces glissantes ou au moins lisses.

Bonjour,

Je m'appelle nara et j'ai 37 ans. Je aime fere robe le patinage, je couture

Snif, snif, bot?

nara a écrit :Bonjour,

Je m'appelle nara et j'ai 37 ans. Je aime fere robe le patinage, je couture

ça a rapport avec le topic "rouler sur les feuilles"
c'est vrai qu'autrefois à la Havane, les belles cigarières roulaient les feuilles de tabac entre leurs cuisses pour en faire de fameux cigares ...

J'adore

Nara, dis nous en plus parce que là...