www.rollerenligne.com

Pour moi :
- la première fois que j'ai dépassé les 100 bornes, à mon premier 6h solo, l'impression d'être sur un nuage et de pouvoir enquiller 3h de plus...
- les longs entraînements au lever du jour sur les pistes de l'ile de Ré, désertes, avec pour seuls compagnons les hérons et les aigrettes. Magique !
- toutes les sorties au bord de la mer, chez moi, avec les potes ou mon fiston
- globalement dès que je suis sur mes rollers je me sens bien, de toute façon. C'est un truc de dingue. Si je ne vais pas bien, rien qu'une petite balade ou un cours donné à mes "ouailles" et hop, j'ai la banane !

Ca va paraître idiot, mais j'ai eu mon premier cours de roller et c'était incroyable comme sensation, quand, au bout de quelques exercices, je réussissai à avancer avec assurance et essayer d'accelerer sur quelques metres.
Rien que ça c'était incoryable comme sensation de se sentr glisser sur le sol sans tomber.

Je n'ai qu'une hate c'est d'avoir le niveau pour rouler dehors et me comparer a vos feelings !

Passer la ligne d'arrivée de mon premier marathon...

La joie de ma nièce de 10 ans après son premier "cours" de descente avec tonton quand elle dit à toute la famille qu'elle n'est pas tombée une seule fois...

Cet après midi, j'ai fait 7km en roller, mes premiers tours de roue depuis ma triple fracture du poignet le 17 août dernier. Un bien fou ! Et des protège poignets ...

Pour l'instant le plus gros trip en roller est ma première participation aux 24H du Mans en juin dernier. Déjà c'est une belle aventure en soi, mais on avait une super ambiance dans l'équipe, et rouler sur le circuit était un kiff permanent tellement le revêtement est bon. Et se taper la montée du Dunlop au lever du soleil (pile sous l'arche)... ça se mérite, mais la récompense est au rendez vous.

Niveau gros kiff (un cran au dessus) j'ai fait un marathon à pied en octobre 2016. Ce n'est pas du roller certes... mais 3 mois de préparation spécifique et finir (déjà...) en moins de 4H pour une première, ça rend franchement euphorique.

pour une première, ça rend franchement euphorique.

C'est ça en fait Même les petites choses te rendent euphoriques quand c'est ta première...

La semaine dernière, alors que je finissais mon premier ride 56 bornes du dimanche (la veille je m'étais fait 112 km) - et le dimanche après-midi j'allais me refaire 56 km, mais en plusieurs runs, bref.
800 m avant le pont D52, qui marque mon terminus, je me fais rattraper et dépasser par un jeune en VTC 29 pouces, il est en recherche d'aéro et mouline à fond.
Faut dire que j'étais en mode tranquille à 26 kmh. (il devait être à 36 - 38 kmh)
Ah la la, c'est pas vrai, ça. Va falloir que je lui montre :
Je sors les bras, je sprinte et le dépasse au bout de 50 m, il est étonné, c'est une pointe à 42,9 kmh, je continue sur ma lancée, je lui mets 100 mètres et stop en haut du pont, salutations.
Voilà qui met une bonne conclusion au ride, c'est vrai quoi. Disons que ça met de bonne humeur.

peut etre moins pour le gars au vélo la bonne humeur

Mais si, mais si, c'est de bonne guerre. Quand je tente d'accrocher des groupes de cyclistes qui filent à toute allure et que je finis par me faire larguer, ça reste sympa. Justement je trouve cela super sympa de se tirer la bourre, ça créé des liens finalement et c'est bon pour le moral de tout le monde.

Pour moi aussi Bender mes 24h du Mans ont été une source de plaisirs intenses !
Déjà, l'ambiance.
On est dans le même paddock que la jeune équipe Prestige Mixte MARATHON DIJON - 212 tours (3e).
On est donc aussi sur le même point relais : Alors que j'attends le mien (de relais) un des jeune gars de Dijon attend le sien. Et voilà que ça se pointe à l'horizon. Il s'exclame : "Ohlà, ça GLISSE, là…" (je me dis, pour qu'il dise ça, c'est que ça doit avancer !) Donc il se prépare en conséquence, anticipe, démarre… un train de tous les diables passe devant moi, on dirait qu'ils essayent de rentrer à l'intérieur du sol, de patiner en-dessous du niveau du sol, je sais pas. Ils passent dans un bruit de gomme maltraitée. Moment intense !
Pour ma part je me tape des tours au max de mes possibilités physiques et techniques, les longs faux plats comme sur une autoroute, la glisse ! Wow.

En parlant "feeling", hier soir je suis allé rouler dans la "pénombre", sur un grand parking .
Absolument génial comme sensations surtout avec ce froid.

Ce parking est un des derniers ouvert les jours de fermetures, et comme une grande partie est quasiment neuve, le bitume est top .

Il fallait sortir les roller de la voiture mrfroggy, le feeling aurait été encore meilleur
je plaisante

chut !!! C est une photo alibi, que je montre à ma femme.
Elle croit que je pars faire du roller, alors que je vais rejoindre les potes au PMU

Un truc auquel je pense, parfois : Qu'est-ce que c'est qu'un bon souvenir ?
Des époques anciennes, à jamais révolues ? La nostalgie du passé si vous me permettez ce quasi pléonasme ?
Je ne pense pas… j'ai plutôt l'impression que ce sont des souvenirs très proches, très récents (à l'échelle d'une vie disons).
Tel le sportif accro à sa dose d'endorphines quotidienne, qui cherche à renouveler et même surpasser le plaisir qu'il vient d'éprouver il y a 3 jours, voire il y a 3 mois…
Et puis il est plus pratique, plus raisonnable, plus faisable de reproduire un évènement récent qu'un évènement très lointain.
La réflexion est ouverte, je cherche à élargir un peu la discussion sur ce que vous entendez par "meilleur feeling". Mais tous vos témoignages sont les bienvenus. La notion de partage étant ici assez importante, il me semble.

Ca dépend des vies, de la vie de chacun...

Les souvenirs d'aventure, d'efforts intenses ou de prise de risques sont les meilleurs, pour moi...si l'on reste dans le domaine sportif.
Et j'essaye de m'en créer autant que possible (temps de canard aujourd'hui pour de la création de souvenir/feeling intense positif...)

Sinon, y en a d'autres, heureusement

Si je devais choisir le meilleur souvenir de toute ma vie, ce serait le moment où j'ai fait partie du groupe de 25 premières personnes dans le monde ayant dominé le Colisée dans World of Warcraft avec 50 essais restants sans un seul mort dans le raid, clairement un defi, à tel point que blizzard nous a contactés personnellement un par un, c'etait l'été il y a 9 ans.

Pourtant quand je regarde en arrière je me déteste d'avoir joué à ce jeu pendant 7 ans.

La notion de meilleur souvenir est compliquée