www.rollerenligne.com

Regis on y a tous gouter, ca veut jsute dire que tu as pas trouver la bonne, car chq marque, type est pour un certain type d'organisme. (pour ma part j'ai trouvé chez D.... un produit neutre pr effort long et ça passe nickel).
Faut aussi boire d'autres choses, de l'eau seul, un peu d'eau a bulle pr "le sel" et moi j'aime bien de temps a autre un coca. (non non pas de café

).

Roule cool
cpt

ALors sans indiscrétion vous avez fait comment ?]

J'ai la flemme de rechercher (post Le Mans 2008?), mais Youb et Rphil nous ont déjà expliqué comment faire en roulant. Méthode copiée sur les cyclistes...

Autrement, chaque circuit dispose de coins relativement abrités pour s'y arrêter et ne pas transformer la piste en pataugeoire.
Sur le Bugatti, 200m après le double droite, coté gauche dans le faux-plat montant du Chemin aux Boeufs, il y a une voie d'accès goudronnée avec une haie de pneus qui sont déjà de la bonne couleur!

Merci - J'aime bien les petites infos bien utiles de ce genre

Comme ça peut être le jour où j'irai au Mans je saurai

[quote="cpt_caverne"]

Regis on y a tous gouter,

).
Roule cool

Faire 'pleurer popaul' en roulant est une des astuces, que Youb m'a appris, et que j'utilise pour gagner de 4 à 10' sur un 24 heures.
C'est le plus insignifiant des détails, mais lorsque au Mans ou à Montréal je cours après une perf du type 570/580 bornes en 24h, il a une énorme importance.

Lorsque j'insiste sur d'autres points capitaux ceux là (le plan hydrique il faut boire EN PERMANENCE...+ le plan solide sur un 24h il faut bouffer en permanence... la position aéro, le casque aéro, la stratégie arrêt/zéro arrêt ? , la prépa mentale, la simulation de course sur voie verte pendant 3 à 4 heures maxi en conditions réelles, la simulation mentale, etc.) on ne m'écoute guère, alors si aussi peu de patineurs approchent les 600km draftés en 24h, et qu'au Mans l'épreuve se gagne tous les ans avec 123/124 tours au lieu de 136/137 vous savez pourquoi...

Mais si, Rphil, on n'est pas nombreux, mais j'en suis, qui jugent tes approches, analyses, méthodes, comme étant difficiles à mettre en défaut.
Je dis les mêmes choses concernant l'alimentation en continu, la limitation des arrêts et souligne l'avantage aérodynamique qui te caractérise.
D'ailleurs, en adaptant ce qui m'est possible, je progresse encore régulièrement, ce qui n'est pas donné à tous les quiquagénaires...

Mais je ne suis pas prêt à me pisser sur les chaussettes pour espérer combler les 200km qui nous séparent à l'arrivée!

Rphil a écrit :on ne m'écoute guère

c'est pas souvent, mais là tu te goures franchement !
A mon avis, tu es -au contraire- hyper écouté, tout simplement parce que tes méthodes ont prouvées leur efficacité.
Mais ce n'est pas parce qu'on t'écoute qu'on veut tous te suivre dans tes ...mmm.. objectifs!

Je rejoins JP, se pisser sur les pompes ou porter un casque profilé, quand on vise les 400km, c'est un peu décalé...

bon lorsqu'on est adulte on sait prendre de l'élan (surtout à Montréal

) avant un faux plat descendant, sortir sa teub sur le coté de la cuisse en remontant une des jambières du cuissard, sans se pisser dessus, même pas une goutte je vous garanti !
Quant au reste, si vous visez 400km sur 24h, c'est que vous vous sous-estimez, car vous valez mieux.
Et venez plutot à Montréal pour faire une perf sur les 24h, en va presque aussi vite en solo là-bas que drafté au Mans! et avec 400€ l'A/R, voire 300€ en juin.
Imaginons quelques soli français motivés en juin 2010, pas besoin de beaucoup, 2 ou 3 devraient suffire + les patineurs québécois généreux et... ON ATTEINDRA ENFIN CES P..... DE 600 BORNES EN 24H!

On a 11 mois devant nous.

Rphil a écrit : ON ATTEINDRA ENFIN CES P..... DE 600 BORNES EN 24H!

On a 11 mois devant nous.

dsl ce sera sans moi

d'autre chose a faire en l'année prochaine qu'un prepa pour le solo

bon courage en tout cas

Salut à tous,

pour répondre à "gui_gui" : aux 24h00 du Mans, j'ai bu en tout une douzaine de litres de boisson hydrique et je suis allé pisser...... 1 fois !
Alors, soit j'ai éliminé par sudation, soit je me suis pissé dessus sans m'en rendre compte

Rphil : mais non, t'inquiètes pas, tu prêches pas dans le désert. Même si tout le monde ne vise pas tes objectifs, la plupart de tes conseils sont valables pour tous les solos.
Et pour mon cas personnel, les pauvres 123 tours que j'ai fait cette année me conviennent parfaitement..... mais j'ai déjà annoncé la couleur, je ferai beaucoup mieux l'an prochain

84Only

84only a écrit :Et pour mon cas personnel, les pauvres 123 tours que j'ai fait cette année me conviennent parfaitement..... mais j'ai déjà annoncé la couleur, je ferai beaucoup mieux l'an prochain

84Only

pôôôvres 123 tours ? non !
Je tiens une comptabilité de toutes les performances sur 24 heures depuis 2005.
En ce qui concerne LeMans en solo:
- en 2005 l'épreuve se gagne avec 123 tours le précurseur Pascal Fernandez,
- 124 en 2006 avec Eric Thange,
- 112 en 2007 JM 'Gold' à cause de la pluie,
- 123 en 2009 avec 84Only.
On a l'impression qu'à 123/124 tours il y a un mur, pourtant...

Avec 514km tu es le 11ème performer de tous les temps, Thibaut avec 129 tours en 2008 est le 6ème, ce ne sont pas de 'pauvres performances'.

J'ai fréquenté dans les années 90 des compétiteurs 'd'ultras marathons' pédestres, qui m'ont ouvert les yeux.
Ils ne sont pas connus dans les milieux rollistiques, mais ils m'ont énormément influencé et converti à leur 'doctrine' bien malgré eux.

Tu seras capable de dépasser 135 tours en 2010 - sans prendre de saloperies - si tu sais 'ouvir les bons livres'.

Pour revenir au sujet de départ :

Une simple déshydratation équivalente à 3% du poids de corps (soit 2l ou 2kg dans l'exemple de GuiGui) entraine une baisse des performances de l'ordre de 5 à 10%.
A partir de 5% on joue avec sa santé, au delà on court un risque de coup de chaleur.
Sachant que l'estomac assimile difficilement plus de 0,75 à 1 litre d'eau par heure, le mieux est de boire régulièrement, surtout si on part pour un effort long.

Prosper j’ajouterais à tes propos qu’il faut boire isotonique grâce à des adjuvants dans l’eau bue exemple ici, et testés auparavant à l’entraînement, et que l’eau pure fini par être insuffisante, voire nocive si bue seule, surtout l’été.

La gestion des liquides absorbés et éliminés, sur les efforts de longue durée de 3 à 24 H et plus, ça n’est que le dessus de l’iceberg car :

Si vous avez des problèmes digestifs au bout de quelques heures, ça va des douleurs au ventre jusqu’à l’élimination trop fréquente (je passe les détails), en passant par le dégoût de la nourriture, c’est que votre système digestif est niqué.

S’il est niqué il est fort probable que ce n’est pas vos erreurs pendant la course qui l’ont mis dans cet état.
(Au passage sachez qu'avec un bon système digestif, sur un 24 heures, le transit intestinal lui est bien ralenti, et on éprouve seulement le besoin d'uriner à 3 ou 4 reprises maxi).

Il faut donc vous poser les bonnes questions bien avant, et vous les poser dans votre vie de tous les jours, même en période de coupure.

Sur une épreuve de 24h je ne perd que 1 ou 2 kilos (pesée en rentrant en France 48h après l'arrivée des 24h de Montréal: 70kg comme en partant) La récup elle dure des semaines, des mois parfois.

Alors la perte de poids de Guigui mentionnée dans son récit, c'est un non sens à mes yeux, et je ne suis pas qualifié pour interpréter, mais il s'agit probablement d'une perte hydrique excessive donc dangereuse.
Comme le dit JP2, peu de perte de poids en ce qui le concerne, car bien alimenté dans ses 24H solo du Mans.

En lisant les posts de certains pendant des mois, avant le Mans, il y a un travail énorme de fond à faire lorsqu’on apprend dans leurs récits leur mode de vie le reste de l’année et durant toute leur existence, faudra du temps pour remettre tout ceci en état, des mois, des années, c’est par là qu’il faut commencer avant même de rouler.

Pour être à l’aise sur 24h par exemple il faut avoir les intestins et tout le système digestif ‘nickel’ en passant par l’estomac, le foie, les reins, les dents, aucun des maillons de cette chaîne ne doit être défaillant, sinon passage aux stands fréquents ou arrêts si vous êtes en rando.

1/ absorber, 2/ transformer, 3/ utiliser, 4/ éliminer, ces 4 phases vont se dérouler simultanément dans votre organisme pendant des heures, et pendant ce temps là il faut patiner et gérer l’effort, la tactique en course etc.

Au bout de quelques heures, l’énergie qui vous fait avancer, c’est celle que vous avez réussi à synthétiser en roulant, elle n’existait pas dans votre organisme au départ, sauf dans votre Camel Back, vos barres de céréales etc. Les 4 phases énumérées ci-dessus se sont donc déjà déroulées.
Une journée de rando ou une épreuve de 24h sont des aventures inoubliables si on tient compte de tout ceci, sinon : le calvaire.

La plupart des contre-perfs, les renoncements sur longues distances sont souvent dus au non respect d’une condition élémentaire au bien-être : des boyaux en bon état, pas seulement votre système cardio-vasculaire sur lequel on fait une fixation, et si bien entraîné avec vos potes patineurs et coaches, avec vos nombreuses séances de fractionné sur piste, en gymnase.

Alors pour certains, prendre rendez-vous chez un nutritionniste, ou bien alors achetez les bons livres.

Il faut noter que l'isotonique est destiné à favoriser la circulation des nutriments dans l'organisme. Si la boisson contient ces nutriments, ce n'est pas plus mal, à condition que le dosage soit équilibré en fonction du besoin.

Pour ma part, considérant mon effort et donc ma consommation énergétique instantanés comme étant faibles par rapport à ceux de courses plus proches du seuil de résistance, je réduis les doses préconisées.
Sachant que la durée de prise de la boisson sera très longue, on comprend mieux les problèmes de digestion, voire d'intoxication de ceux qui prennent la dose maxi sur de trop nombreuses heures!

Je ne consomme qu'1/3 de produit isotonique par rapport à tout mon apport liquide. Mais je veille à ce qu'il m'apporte en particulier les sels minéraux que j'ai éliminés, sodium et potassium, mais aussi le magnésium qui est nécessaire au métabolisme neuro-musculaire et retarde ou évite les crampes.

Par contre, je peux dire qu'une déshydratation est effectivement très pénalisante pour la performance.
Contrairement à une hypoglycémie qui n'est pas douloureuse mais coupe franchement les jambes, elle est progressivement douloureuse pour tous les muscles du corps qui donnent l'impression de coincer. Un peu comme une crampe généralisée qui arrive très lentement...

cette année j'ai respecté mon protocole d'hydratation a savoir de boire 1 litre par heure en mixant plusieurs boissons

en commençant par un melange de malto et hydrixir bio

au bout de 4 heures j ai intercalé tous les 5 bidons 1 bidon de 640 qui apporte en plus le coté nutritionnel pour ne pas rentre dans les détails
( mais si ça vous interresse je peux developper)

puis au bout de 8 heures de course j'epprouve un dégout pour le sucré alors je bois de l'hydrixir bitter tonic qui a un gout amer

par contre avec la chaleur du dimanche il m a fallu aussi prendre de l eau fraiche au ravito

pour finir je n ai pas perdu un seul gramme cette année

tchusssssssssssss

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