Posté : 26 oct. 2008 19:34
Je ne pense pas que l'origine soit le manque d'infrastructures. Presque pärtout (il y a des exceptions, ou des décalages) les infrastructures arrivent après, c'est un noyau de patineurs motivés qui se structure en club et qui en est à l'origine. Et il y a des clubs qui n'ont jamais réussi à avoir aucune infrastructure pendant des années (sauf des créneaux gymnase, mais il y a des gymnases partout) et qui ont eu d'excellents résultats, je pense à Saint-Germain-en-Laye, que j'ai bien connu, par exemple.
Le problème principal est commun avec la plupart des sports : s'il n'y a pas suffisamment de pratiquants localement, c'est très difficile d'avoir des entrainements et des compétitions locales intéressantes. Alors les débutants, au lieu de faire des compétitions locales, vont faire des compétitions nationales qui ne sont pas de leur niveau, et se découragent.
Et je pense que les implantations durables et les développement réussis sont ceux où la priorité a été donné à la formation des jeunes débutants (7-10 ans) et aux compétitions locales pour eux. Et là le réservoir est inépuisable si on mène bien sa barque, c'est alors la capacité d'accueil des clubs qui limite.
Pour attirer et fidéliser les adultes, je ne pense pas que la solution soit dans de lointaines FIC (clairement ça prend trop de temps et d'argent), mais plutôt, comme tu le dis, dans l'organisation de compétitions locales type 6 h pour randonneurs débrouillés (exemple les 6 h de Bouaye). Mais il faut un noyau de patineurs motivés localement pour organiser.
C'est une caractéristique de la vie associative: la solution du développement local n'est jamais ailleurs et de la responsabilité d'autres mais entre ses propres mains.
Le problème principal est commun avec la plupart des sports : s'il n'y a pas suffisamment de pratiquants localement, c'est très difficile d'avoir des entrainements et des compétitions locales intéressantes. Alors les débutants, au lieu de faire des compétitions locales, vont faire des compétitions nationales qui ne sont pas de leur niveau, et se découragent.
Et je pense que les implantations durables et les développement réussis sont ceux où la priorité a été donné à la formation des jeunes débutants (7-10 ans) et aux compétitions locales pour eux. Et là le réservoir est inépuisable si on mène bien sa barque, c'est alors la capacité d'accueil des clubs qui limite.
Pour attirer et fidéliser les adultes, je ne pense pas que la solution soit dans de lointaines FIC (clairement ça prend trop de temps et d'argent), mais plutôt, comme tu le dis, dans l'organisation de compétitions locales type 6 h pour randonneurs débrouillés (exemple les 6 h de Bouaye). Mais il faut un noyau de patineurs motivés localement pour organiser.
C'est une caractéristique de la vie associative: la solution du développement local n'est jamais ailleurs et de la responsabilité d'autres mais entre ses propres mains.