[Entraînement] Footing : Contre-productif ?
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Attention, être supinateur c'est quand même super rare et les choses sont souvent bien compliquées puisque c'est avant tout la façon de dérouler le pied qui est importante et uniquement en course à pied (donc ne pas regarder l'usure des chaussures de marche). A mon avis, des chaussures pour pied universel avec bon amorti et bonne stabilité feront l'affaire, adaptées au poids du coureur...De mon côté, a***s gel nimbus et m****o wave rider sont des modèles incontournables (jusqu'à 80kg au moins)
- FX (le gros)
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Pour moi qui suis gros (proche du quintal) et supinateur (mes chaussures ne me servent qu'à courir) c'est Nimbus et seulement Nimbus, après, chacun trouve chaussure à son pied mais c'est dommage de souffrir à cause de matos inadapté, que ce soit en roller ou dans toute autre discipline, d'ailleurs...
- gui_gui
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De toutes façons, à la base, le footing ne me passionne pas plus que ça, donc il y a un manque de motivation de ma part. Même si je disposais des meilleures chaussures les plus adaptées à ma physiologie, je n'aurais pas spontanément envie de me donner à fond dans le footing.
Or il est clair que c'est en se donnant à fond, en voulant se dépasser (ce qui est un comble quand même car le jour où je me verrai moi-même en train de me dépasser je commencerai à me poser de sérieuses questions sur de possibles effets hallucinogènes voire délirants dus à des excès d'endorphines)
en voulant se dépasser disais-je, qu'on progresse. Avec le roller, pas besoin de chercher longtemps la motivation, elle est permanente chez moi, et donc j'ai envie de tout exploser à chaque fois que j'y vais, et c'est pour ça que je progresse.
Ainsi, avant même de parler de problèmes techniques, il y a un problème qui précède tout ceci : la motivation…
Or il est clair que c'est en se donnant à fond, en voulant se dépasser (ce qui est un comble quand même car le jour où je me verrai moi-même en train de me dépasser je commencerai à me poser de sérieuses questions sur de possibles effets hallucinogènes voire délirants dus à des excès d'endorphines)

Ainsi, avant même de parler de problèmes techniques, il y a un problème qui précède tout ceci : la motivation…
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- Régis
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- gui_gui
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A la même période de l'année, l'année dernière, mes perfs avaient déjà commencé à baisser… à l'occasion de la pluie et des footings.
Cette année donc je m'abstiens de courir, et je m'en tiens à mes exercices de gainage at home. Il semble que ça marche, car cette année je me maintiens en vitesse, je dirais même que je continue ma saison … à progresser en fait. Hier par ex. 5 départs arrêtés enchainés de 3 km chaque, soit 15 km, à la vitesse moyenne de 27,93 kmh
(5 x 3 km de 21:10'44" à 22:42'57"" soit 32'13" pour 15 km soit 27,93 kmh)
du jamais vu en ce qui me concerne. Plus ça va plus ma motivation grandit, j'en suis maintenant à lorgner sur une autre barre psychologique, celle des 28 kmh de moyenne.
Mes gaffe à ces exercices : ils peuvent générer des douleurs aux muscles du bas du dos (lombaires, je crois ?)
A modérer, donc.
Cette année donc je m'abstiens de courir, et je m'en tiens à mes exercices de gainage at home. Il semble que ça marche, car cette année je me maintiens en vitesse, je dirais même que je continue ma saison … à progresser en fait. Hier par ex. 5 départs arrêtés enchainés de 3 km chaque, soit 15 km, à la vitesse moyenne de 27,93 kmh
(5 x 3 km de 21:10'44" à 22:42'57"" soit 32'13" pour 15 km soit 27,93 kmh)
du jamais vu en ce qui me concerne. Plus ça va plus ma motivation grandit, j'en suis maintenant à lorgner sur une autre barre psychologique, celle des 28 kmh de moyenne.
Mes gaffe à ces exercices : ils peuvent générer des douleurs aux muscles du bas du dos (lombaires, je crois ?)
A modérer, donc.
- gui_gui
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Alors déjà que le footing "pépère" ça dieselise, la marche ça va te transformer en moteur à charbon, au moins ! Quoique, tout dépend de ce que l'on appelle marche ; j'ai croisé et dépassé plusieurs fois le long de la Moselle un gars qui pratiquait la marche rapide (en mode course) et vraiment il allait très très vite.Régis a écrit :Le footing c'est choquant à la longue pour le corps, il vaux mieux marcher rapidement et très longtemps, faire de la piscine ou du rameur.
- gui_gui
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Salut à tout le monde,
je remonte ce petit sujet car il me semble que j'ai un peu confondu 2 choses :
-1) le fait de pratiquer footing + roller dans la même période: En effet, là ça devient contre-productif. Le rythme du footing n'est pas le même que celui du roller, pas plus que les divers muscles mis à contribution. Donc en ce qui me concerne, faire du footing en période roller, c'est une perte d'énergie et une perturbation de mon rythme sportif pour cette période. En effet, pour moi le footing c'est 1h15 voire 2h, en aucun cas 6h ou 12 heures comme en roller. Je ne suis donc pas du tout sur la même stratégie d'entraînement.
-2) le fait de pratiquer ces 2 sports dans 2 périodes différentes. Eh oui, il faut dire qu'il y a un temps pour tout ! Un temps pour le roller, et un temps pour le footing !… Vous l'aurez compris, je me suis lâchement remis au footing. Il en allait de la santé publique
Je vais pratiquer le footing certainement jusqu'en février. Pour ce qui est du vélo, j'en fais aussi, mais avec le froid qui règne actuellement, au bout d'une heure, j'ai les orteils gelés et ça fait très très mal, c'est insupportable. Alors qu'en footing au contraire, j'ai bien chaud partout. Au niveau cardio, j'ai vraiment besoin de ça.
La transition du roller vers le footing, en novembre, ne s'est pas faite sans douleur : une vive douleur étant apparue sous la voûte plantaire gauche, tendon coup de pied gauche. Interruption obligatoire pendant un mois, avec reprise en douceur. Pour éviter les traumatismes du footing, je dois le reprendre avec douceur, sinon, ça se paye cher.
La transition du footing vers le roller se fera donc vers février - mars. Afin d'éviter les mauvaises surprises, genre manque de tonicité au niveau des cuisses, je conserve mes exercices de gainage musculaire spécifiques au roller.
D'une façon générale, la période hivernale est une période d'activités sportives réduites d'un bon tiers voire de la moitié, par rapport à la période roller. J'admire cependant ceux qui réussissent à gérer psychologiquement une période de repos total, sans aucune activité. Pour ma part je dois être trop maniaco-dépressif
je remonte ce petit sujet car il me semble que j'ai un peu confondu 2 choses :
-1) le fait de pratiquer footing + roller dans la même période: En effet, là ça devient contre-productif. Le rythme du footing n'est pas le même que celui du roller, pas plus que les divers muscles mis à contribution. Donc en ce qui me concerne, faire du footing en période roller, c'est une perte d'énergie et une perturbation de mon rythme sportif pour cette période. En effet, pour moi le footing c'est 1h15 voire 2h, en aucun cas 6h ou 12 heures comme en roller. Je ne suis donc pas du tout sur la même stratégie d'entraînement.
-2) le fait de pratiquer ces 2 sports dans 2 périodes différentes. Eh oui, il faut dire qu'il y a un temps pour tout ! Un temps pour le roller, et un temps pour le footing !… Vous l'aurez compris, je me suis lâchement remis au footing. Il en allait de la santé publique

La transition du roller vers le footing, en novembre, ne s'est pas faite sans douleur : une vive douleur étant apparue sous la voûte plantaire gauche, tendon coup de pied gauche. Interruption obligatoire pendant un mois, avec reprise en douceur. Pour éviter les traumatismes du footing, je dois le reprendre avec douceur, sinon, ça se paye cher.
La transition du footing vers le roller se fera donc vers février - mars. Afin d'éviter les mauvaises surprises, genre manque de tonicité au niveau des cuisses, je conserve mes exercices de gainage musculaire spécifiques au roller.
D'une façon générale, la période hivernale est une période d'activités sportives réduites d'un bon tiers voire de la moitié, par rapport à la période roller. J'admire cependant ceux qui réussissent à gérer psychologiquement une période de repos total, sans aucune activité. Pour ma part je dois être trop maniaco-dépressif

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bon si tu dis que le footing c'est pour toi 1h15 voire 2h, méfiance, il ne faut pas en faire trop....Une sortie de 2h c'est long (ça fait 2h...), et si tu n'es pas coureur à la base ça peut être traumatisant. Une méthode assez largement utilisée c'est 1h15 le matin, 45' le soir; ça permet de faire un entrainement de 2h tout en réduisant le côté traumatisant. Mais j'insiste, 2h de course à pied ça ressemble à une préparation marathon...
Sur ReL il y a bon nombre de conseils accompagnés de videos (Y. Guyader) qui à mon avis doivent pouvoir trouver leur place dans une préparation hivernale avec de la course à pied.
Sur ReL il y a bon nombre de conseils accompagnés de videos (Y. Guyader) qui à mon avis doivent pouvoir trouver leur place dans une préparation hivernale avec de la course à pied.
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- Enregistré le : 22 mars 2005 23:17
Je ne pense pas, trop long même pour une préparation marathon en cap, qui doit avant tout être qualitative, et le point de repère c'est le semi (1h30 pour un coureur moyen). C'est plutôt pour préparer un 100 km qu'on enchaine des séances de deux heures.lelapin a écrit :Mais j'insiste, 2h de course à pied ça ressemble à une préparation marathon...
- gui_gui
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Hum !
Pour moi 2h, ça arrive, mais c'est rare ! Le plus souvent, c'est 1h15. Et notez bien que j'ai dit "footing" et pas "Course à pieds" J'ai en effet une allure très lente; je ne suis pas un coureur à la base. Ma moyenne est juste au-dessus des 9 kmh; exceptionnellement 10 kmh. Rien à voir avec les 15 kmh, 20 kmh des vrais coureurs…
Pour moi 2h, ça arrive, mais c'est rare ! Le plus souvent, c'est 1h15. Et notez bien que j'ai dit "footing" et pas "Course à pieds" J'ai en effet une allure très lente; je ne suis pas un coureur à la base. Ma moyenne est juste au-dessus des 9 kmh; exceptionnellement 10 kmh. Rien à voir avec les 15 kmh, 20 kmh des vrais coureurs…
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Euh 2h dans une prépa marathon c'est le tarif il me semble, en fin de préparation...
L'allure de course importe peu en fait, courir à 15km/h pendant 2h pas grand monde est capable de le faire sans un entrainement poussé. L'important c'est de ne pas se griller, entre 70 et 80% de la VMA c'est pas mal.
L'allure de course importe peu en fait, courir à 15km/h pendant 2h pas grand monde est capable de le faire sans un entrainement poussé. L'important c'est de ne pas se griller, entre 70 et 80% de la VMA c'est pas mal.