La requête ultime de l'impossible
Posté : 28 févr. 2018 20:27
Bonjour à tous,
Je remercie par avance ceux qui auront le courage de lire ceci jusqu’au bout ! Et, en premier lieu, en tant qu’adepte des forums depuis l’époque où j’ai sans doute arrêté le Roller (2001), j’espère ne pas créer ici un poste « déjà vu » qui vous agace ! Bref, j’ai passé ma journée à arpenter le net sans véritable réponse à quelques questions. Je vais noyer ça dans un récit qui pourrait vous replonger pour certains dans vos jeunes années… !
J’ai ridé durant toute mon adolescence, à la fin de années 90. Ce fut une drogue ! Par chance, un module se trouvait à l’époque à quelques centaines de mètres de chez mes parents, à Villars, près de Saint-Etienne. La Mairie avait investi très cher dans un module mal conçu dont on avait généralement fait le tour en une journée. Du coup, on se vengeait sur un mini-golf (parfait pour slider) et sur du mobilier urbain que l’on enfouissait sous plusieurs kilos de paraffine.
Mes premiers rollers furent d’immondes jouets colorés à 50 francs ( 7€) achetés chez Auchan. Puis, assez rapidement des Stunty dégueux mais bien utiles pris chez Décathlon à 250 Francs (35€). Jusqu’à que mes parents prennent conscience que je ne pouvais résolument pas prendre le risque de me casser les chevilles dans ce matériel là. Alors, à noël 98, ils ont cassé la tirelire et m’ont offert des K2 Fatty Pro. Des rollers souples, confortables, géniaux… Mais qui n’auront tenus que 8 petits mois.
En effet, je souffre d’un handicap tout relatif : mes pieds sont tordus en dedans, et plats. Si ça permet des extérieurs-du-pied sympathiques au football, mes rollers furent eux soumis à d’importantes contraintes puisqu’il m’est physiquement impossible de rider droit (pieds en dedans). Les rollers cédaient systématiquement au niveau du spoiler. Même les K2 n’ont pas tenu. La tendance a rider avec les rollers non-serrés n’arrangeait absolument rien.
Alors, à noël 99, mes parents se sont une nouvelle fois saignés et cette fois ont pris du matériel bien plus rigide : des Razor Flat. Bleus pour ceux qui dans leurs souvenirs identifieraient le modèle. Cette paire de roller, quoique moins souple et bien moins maniables que les K2 serait ma dernière. Je ne le savais pas encore, mais elle verrait petit à petit ma passion s’éteindre au rythme où l’onéreux module de Villars se vidait de ses quelques rares adeptes. Cette paire de roller fut si solide et résistante qu’elle trône encore sur une étagère, quelques part dans le garage de mes parents.
Cette paire pourrait encore servir. Mais, mes pieds ont grandi. Je fais du 45, elle est en 44. Pas de chance. Je dois donc trouver une paire de Roller ! Car, je souhaite m’y remettre. J’en rêve même la nuit, c’est dire.
Mais, que faire ?
Du fitness ? Du street ?
A vrai dire, quand je regarde les rollers fitness… J’ai la sensation que ce n’est pas fait pour moi. Et puis, esthétiquement, ça ne me va pas du tout. Seulement, je n’ai pas non plus l’intention de remonter sur une rampe. A 31 ans... Mais, pourrais-je vraiment m’empêcher de tenter un 180 de temps à autre, pourrais-je m’empêcher de vouloir caler ma soul-plate sur un trottoirs… ? Hum, pas sur. Et puis, quand on s’est construit, feuilletant les images du Roller Mag avec cette idée peut être saugrenue et bête, qu’une bonne paire de roller devait être massive et prolonger un baggy extra-large…
Alors, je crois, c’est sur : je vais investir dans une paire de roller street. Alors, me revoilà à travers mes recherches, plongé dans un monde où les deux tours du world trade center dominait encore Manathan et où Line Renaud était encore vivante. Où plutôt déjà vieille, pardon. Roces, K2, Razor, Rollerblade… Comme l’immortelle Line, ça existe encore ! D’autres marques sont là aussi. Que valent-elles ? Existaient-elles déjà ou sont elles apparus depuis ? Je n’en sais rien. 18 ans ont passé et 18 ans, c’est long.
Premier problème : mon 45. Il me faut alors du 46… Et en street, ça n’a pas l’air d’exister.
Second problème : Mes pieds. Je dois prendre quelque chose de solide/rigide/adapté.
Troisième problème. Mince, j’ai pris du poids. Et pas qu’un peu. 150 kg. Toutes les pairs de roller semblent indiquer ne pas supporter au-delà de 100kg. Mince.
Quatrième problème: tous les modèles semblent dotés d'antirocker. Et j'en veux pas !
Cinquième problème : En 1998, je me rendais rue Faure Bellon à Saint-Etienne, puisque s’y trouvait un magnifique magasin dedié au Roller « Moove Your Feet ». Il n’existe plus, aujourd’hui. Je me suis bien rendu à Dé cathlon et Intersport… On y trouve surtout des jouets. Des magasins qui gagnent des m² pour une offre vraiment… décevante. Il faudra donc que j’achète sur internet.
Mais où ? Quel site est fiable ?
Bref.
Autant de questions… !
Bravo à vous, si vous avez tenu jusqu’ici !
Je remercie par avance ceux qui auront le courage de lire ceci jusqu’au bout ! Et, en premier lieu, en tant qu’adepte des forums depuis l’époque où j’ai sans doute arrêté le Roller (2001), j’espère ne pas créer ici un poste « déjà vu » qui vous agace ! Bref, j’ai passé ma journée à arpenter le net sans véritable réponse à quelques questions. Je vais noyer ça dans un récit qui pourrait vous replonger pour certains dans vos jeunes années… !
J’ai ridé durant toute mon adolescence, à la fin de années 90. Ce fut une drogue ! Par chance, un module se trouvait à l’époque à quelques centaines de mètres de chez mes parents, à Villars, près de Saint-Etienne. La Mairie avait investi très cher dans un module mal conçu dont on avait généralement fait le tour en une journée. Du coup, on se vengeait sur un mini-golf (parfait pour slider) et sur du mobilier urbain que l’on enfouissait sous plusieurs kilos de paraffine.
Mes premiers rollers furent d’immondes jouets colorés à 50 francs ( 7€) achetés chez Auchan. Puis, assez rapidement des Stunty dégueux mais bien utiles pris chez Décathlon à 250 Francs (35€). Jusqu’à que mes parents prennent conscience que je ne pouvais résolument pas prendre le risque de me casser les chevilles dans ce matériel là. Alors, à noël 98, ils ont cassé la tirelire et m’ont offert des K2 Fatty Pro. Des rollers souples, confortables, géniaux… Mais qui n’auront tenus que 8 petits mois.
En effet, je souffre d’un handicap tout relatif : mes pieds sont tordus en dedans, et plats. Si ça permet des extérieurs-du-pied sympathiques au football, mes rollers furent eux soumis à d’importantes contraintes puisqu’il m’est physiquement impossible de rider droit (pieds en dedans). Les rollers cédaient systématiquement au niveau du spoiler. Même les K2 n’ont pas tenu. La tendance a rider avec les rollers non-serrés n’arrangeait absolument rien.
Alors, à noël 99, mes parents se sont une nouvelle fois saignés et cette fois ont pris du matériel bien plus rigide : des Razor Flat. Bleus pour ceux qui dans leurs souvenirs identifieraient le modèle. Cette paire de roller, quoique moins souple et bien moins maniables que les K2 serait ma dernière. Je ne le savais pas encore, mais elle verrait petit à petit ma passion s’éteindre au rythme où l’onéreux module de Villars se vidait de ses quelques rares adeptes. Cette paire de roller fut si solide et résistante qu’elle trône encore sur une étagère, quelques part dans le garage de mes parents.
Cette paire pourrait encore servir. Mais, mes pieds ont grandi. Je fais du 45, elle est en 44. Pas de chance. Je dois donc trouver une paire de Roller ! Car, je souhaite m’y remettre. J’en rêve même la nuit, c’est dire.
Mais, que faire ?
Du fitness ? Du street ?
A vrai dire, quand je regarde les rollers fitness… J’ai la sensation que ce n’est pas fait pour moi. Et puis, esthétiquement, ça ne me va pas du tout. Seulement, je n’ai pas non plus l’intention de remonter sur une rampe. A 31 ans... Mais, pourrais-je vraiment m’empêcher de tenter un 180 de temps à autre, pourrais-je m’empêcher de vouloir caler ma soul-plate sur un trottoirs… ? Hum, pas sur. Et puis, quand on s’est construit, feuilletant les images du Roller Mag avec cette idée peut être saugrenue et bête, qu’une bonne paire de roller devait être massive et prolonger un baggy extra-large…
Alors, je crois, c’est sur : je vais investir dans une paire de roller street. Alors, me revoilà à travers mes recherches, plongé dans un monde où les deux tours du world trade center dominait encore Manathan et où Line Renaud était encore vivante. Où plutôt déjà vieille, pardon. Roces, K2, Razor, Rollerblade… Comme l’immortelle Line, ça existe encore ! D’autres marques sont là aussi. Que valent-elles ? Existaient-elles déjà ou sont elles apparus depuis ? Je n’en sais rien. 18 ans ont passé et 18 ans, c’est long.
Premier problème : mon 45. Il me faut alors du 46… Et en street, ça n’a pas l’air d’exister.
Second problème : Mes pieds. Je dois prendre quelque chose de solide/rigide/adapté.
Troisième problème. Mince, j’ai pris du poids. Et pas qu’un peu. 150 kg. Toutes les pairs de roller semblent indiquer ne pas supporter au-delà de 100kg. Mince.
Quatrième problème: tous les modèles semblent dotés d'antirocker. Et j'en veux pas !
Cinquième problème : En 1998, je me rendais rue Faure Bellon à Saint-Etienne, puisque s’y trouvait un magnifique magasin dedié au Roller « Moove Your Feet ». Il n’existe plus, aujourd’hui. Je me suis bien rendu à Dé cathlon et Intersport… On y trouve surtout des jouets. Des magasins qui gagnent des m² pour une offre vraiment… décevante. Il faudra donc que j’achète sur internet.
Mais où ? Quel site est fiable ?
Bref.
Autant de questions… !
Bravo à vous, si vous avez tenu jusqu’ici !